13/12/2019

Et si nous mettions un peu plus de fruits dans notre vie ?!

On le sait depuis longtemps, on l’entend régulièrement, il faut consommer au moins « 5 fruits et légumes par jour »… De saison, c’est mieux et de provenance locale ou proche, c’est idéal ! Mais concrètement, y arrivez-vous ? Vous demandez-vous en fin de journée si le compte y est ? Et pour les enfants et leur légendaire méfiance pour tout ce qui est vert, ce qui est nouveau etc, comment fait-on ?

L’hiver qui s’installe, couplée à l’arrivée d’une nouvelle année, est le moment idéal pour prendre de bonnes et saines résolutions. Pour vous y aider il existe de nombreux sites, blogs, associations, livres de recette, tendances culinaires…  Un des plus riches à mon sens est celui de l’Interprofession des fruits et légumes frais : www.lesfruitsetlegumesfrais.com.

Vous y trouverez tous les fruits et légumes de saison, des recettes pour chaque jour, des livres de recettes entiers à télécharger, des tutos, vidéos, conseils forme et astuces bien-être… et même des chiffres clés qui vous permettront d’attiser la curiosité de vos enfants : par exemple, quels sont les 5 fruits et les 5 légumes les plus consommés en France ? Quel pays est le plus gros producteur de fruits en Europe ? Qu’est-ce que la Pitaya ou le physalis ? Le site dédie d’ailleurs une page sur le sujet « Faire aimer les fruits et légumes frais aux enfants ». Et un fascicule très bien fait a été créé, vous le pourrez télécharger sur le lien suivant :


Un autre petit manuel, à destination des adultes, est également disponible. Véritable petit guide pratique pour bien acheter, conserver et préparer, vous y trouverez notamment les bons réflexes à avoir, quelques pratiques anti-gaspi pour la cuisine et un grand calendrier des fruits et légumes frais pour bien consommer toute l’année ! Téléchargez-le ici ou en cliquant sur l’image ci-dessous :


En plus de ce site, n’hésitez pas à vous renseigner sur les possibilités dans votre ville/ région. Je pense notamment aux paniers AMAP, mais aussi à divers groupes et associations locales.  Dans ma ville par exemple, nous avons la chance d’avoir des ateliers d’éveil au goût pour bébé et de diversification alimentaire. Renseignez-vous dans votre localité.

La santé est dans notre assiette, c'est bien connu, et ce que nous mangeons et notre premier médicament. Prendre le temps de cuisiner, manger de saison, innover.... sont autant d'éléments qui permettront à terme de préserver et de renforcer la santé de nos enfants. Les entendre réclamer du brocolis, les voir dévorer leurs purées de légumes frais, et se précipiter sur les fruits de notre maraichère/maraicher préféré(e) est un plaisir que nous ne boudons pas. Et contrairement à ce qu'on croit, c'est facile ! Alors, prêt(e) à vous lancer ? :-)

Article à 2 plumes par Charlotte & Sébastien

14/11/2019

La Reine des Neiges 2

Sortie le 20 novembre 2019


6 ans après le premier opus, La Reine des Neiges fait son grand retour…

J’ai eu la chance de pouvoir le découvrir en avant-première, avant toutes critiques, avant toutes chansons entêtantes, et laissez-moi vous dire sincèrement que c’est du Grand Disney !

Je vous vois d’ici hésiter, vous demander si vous pourrez y échapper, vous souvenir douloureusement des 6 dernières années et de leur merchandising à outrance, de tout ce tapage médiatique, de cette génération de petites filles chantant/criant à tue-tête, de toutes les parodies qui en ont découlé…. Je vous vois hésiter et je vous comprends, j’étais comme vous ! A tel point que je ne me souvenais même plus finalement du premier film de la Reine des Neiges. Pourtant, ça m’est revenu, j’avais bien aimé ce Disney dans la même veine que les derniers : un beau mélange d’aventure, de princesses fortes et indépendantes, de belles images, de bons sentiments, avec juste un soupçon de tristesse et de peur (pour les enfants, j’entends !) et une bonne dose d’humour. A l’époque, ma fille ainée avait 8 ans et avait beaucoup aimé sans pour autant en faire son film fétiche, nous avions donc pu savourer l’aventure sans la voir s’inviter chez nous et envahir sa chambre d’enfant.


Pour la Reine des Neiges II, j’étais accompagnée de ma fille de 5 ans, qui, je l’avoue, veut à présent « être comme Elsa et sauver le monde ! ». Malgré tout, je ne saurais trop vous conseiller d’aller voir le film avec vos enfants. S’ils ont entre 4 et 14 ans, de toute façon vous n’y échapperez surement pas, mais sincèrement je pense aussi que vous ne le regretterez pas !
En quelques mots :

1)    Les dessins sont vraiment beaux, le graphisme est soigné, les couleurs nous plongent dans un joli monde féérique. Une vraie parenthèse enchantée inspirée des paysages de Norvège, Finlande et Islande, un bel avant-gout de Noël pour petits et grands.

2)    L’histoire est bien construite, ce n’est pas juste une « suite » pour relancer la machine. L’intrigue est bien amenée et s’articule habilement autour du premier. C’est logique et ça répond aux interrogations initiées dans le premier volet : pourquoi Elsa a-t-elle ses pouvoirs et d’où lui viennent-ils…

3)    C’est vraiment drôle ! Les répliques d’Olaf (avec la voix de Dany Boon) animent et rythment bien le film. Disney a même osé un petit clin d’œil ironique à la chanson du premier volet, et un autre improbable clin d’œil aux clips des années 80 ! Avec mon second degré ça m’a fait sourire, mais ma fille de 5 ans, accompagnée de son premier degré, a franchement ri !

4)    On retrouve avec plaisir Elsa, Anna, Kristoff, Sven et Olaf qui ont un peu changé, un peu vieilli et même muri ! C’est une vraie aventure où tout n’est pas rose, il y a un bon rythme et on se prend au jeu, restant captivé pendant toute la durée du film. Garçons et filles de 5 ans et moins vous diront peut être que « ça fait un peu peur » et que « c’est un peu triste quand même », mais c’est aussi pour ça que les grands et les adultes prendront plaisir à voir le film.


Au final, tout le monde y trouve son compte et on ressort tous heureux de ce très bon moment. Sincèrement allez-y sans hésiter, c’est vraiment un beau et grand Disney !

*Spoiler alert* : pendant le film j’ai écouté attentivement toutes les chansons (et il y en a beaucoup) en me demandant si l’une d’elles pourrait devenir la nouvelle « Libérée, délivrée » et je n’ai, à priori, rien identifié de tel ! Ne criez pas pour autant victoire trop vite, les enfants (et Disney) sont plein de ressources ! ;)
Charlotte F.
#LaReinedesNeiges2 
@DisneyFR

22/07/2019

Comment commencer à réduire son empreinte environnementale au quotidien ?

La question environnementale est un sujet qui nous interpelle de plus en plus. Nous sommes nombreux, en tant que parents notamment, à nous poser la question de savoir par où commencer et comment réduire cette empreinte environnementale au quotidien. Pas évident, lorsqu'on connait le rythme imposé par nos 3 journées (matin, travail et soir), le temps souvent manquant et la non disponibilité d'éléments censés nous faciliter notre transition environnementale.
 
Du coup, beaucoup de parents abandonnent avant même d'avoir commencé, découragés par trop d'exemples élitistes et persuadés qu'ils ne seront pas à la hauteur. Erreur, car en matière environnementale, plus qu'ailleurs, chaque petit geste compte. Alors commencer, même petit, c'est déjà un grand pas. Et au fur et à mesure que nos habitudes changent, nos gestes se font plus réguliers, plus sûrs et notre empreinte se réduit drastiquement. Une bonne chose pour la planète, notre conscience, et surtout nos enfants. Alors, convaincus ? Si oui, voici quelques petites pistes toutes simples à exploiter pour débuter, classées par thématiques.
 
L'alimentaire :
Le gaspillage alimentaire est responsable du rejet de 3,3 gigatonnes de gaz à effet de serre par an. Le réduire, c'est contribuer directement à la réduction de ce rejet. Les pistes sont nombreuses. A son niveau, il faut commencer par cuisiner plus de produits frais, moins transformés. Privilégier les marchés (très éducatifs) et les commerces de proximité, qui permettent de mieux ajuster nos besoins. Ne pas hésiter à cuisiner les restes au lieu de les jeter, congeler les éléments qui pourraient arriver à péremption. Diminuer voire supprimer les produits ultra transformés (meilleurs pour la santé également) et cuisiner plus les épluchures (ex : une pomme bio se mange avec les peau, les fanes de radis peuvent servir à réaliser un très bon pesto...). Enfin, si tout cela vous parait trop ambitieux, ne pas hésiter à utiliser les applications de "sauvegarde" alimentaire, tel que "Too good Too go".



La maison & les emballages :
Le plastique, c'est (plus du tout) fantastique. Réduire au maximum tout ce qui a trait au plastique chez soi, c'est réduire son empreinte environnementale. Ça commence par faire ses courses avec ses propres contenant : avoir toujours un sac en tissu, voire en plastique si on ne peut pas faire autrement mais qu'on réutilisera le plus souvent possible. Essayer de prendre du vrac, des produits qui ne sont pas sur-emballés, moins commander sur internet pour éviter trop d'emballages et l'impact du transport. On peut aussi chez soi faire du minimalisme, trier régulièrement ses vêtements et les donner ou les recycler, acheter plus d’occasion et privilégier le prêt (comme par exemple l'application Allovoisins qui permet d'emprunter/louer presque tout à proximité de chez soi, largement suffisant pour un usage unique). Coté chauffage, on réduit à 18 dans la journée, 19 la nuit, et 21 degrés quand on est présents. On se couvre plutôt qu'augmenter ce dernier. On privilégie les douches aux bains, on fabrique ses produits ménagers plutôt que de les acheter ou on privilégie du green (pas du greenwashing par contre). On éteint ses appareils énergivores quand on part (box, télé, chargeurs débranchés...) et au renouvellement, on essaye d'investir dans de l'électroménager avec une bonne étiquette énergie. On réduit ses cosmétiques, et on essaye de mettre des plantes chez soi et sur son balcon/terrasse/jardin si on en a un, et un lombricomposteur si on est prêt à se lancer. Et si tout cela vous parait beaucoup trop ambitieux, contentez-vous de troquer vos vieilles ampoules contre des LED, très peu énergivores.


La pollution numérique :
Le monde virtuel a des conséquences bien réelles sur notre planète. La fabrication des infrastructures et des équipements, mais également l’énergie nécessaire à leur fonctionnement, comme notre usage d'ailleurs, sont source de pollution. Le numérique représente 10 à 15% de la consommation électrique mondiale, et cela ne va qu'en augmentant puisque nous stockons de plus en plus de données qui font tourner de plus en plus de data serveurs. De simples gestes au quotidien permettent néanmoins de réduire drastiquement cet impact. Déjà, sur le plan de l'équipement. On privilégiera des éléments (smartphones par exemple) de seconde main ou reconditionnés à minima. Les marques les plus résistantes et sans obsolescence programmée sont à privilégier. Et si on se débarrasse, on recycle ! Les points de collecte sont nombreux par ici. Coté consommation, on évite de mettre systématiquement en copie lorsqu'on envoie un courriel : moins il y a de destinataires, moins il y a de CO2 émis. On se désabonne des lettres d'information non désirées ou plus désirées. On essaye de préserver les batteries de nos smartphones, ordinateurs... en ne les exploitant pas à outrance et en les éteignant lorsqu'on ne les utilise pas. On désinstalle les applications inutiles ou peu utilisées, on efface ses courriels traités et on vide régulièrement sa poubelle (d'ordinateur, de photos...). On paramètre ses sauvegardes pour qu'elles ne soient ni trop nombreuses ni trop redondantes et on privilégie la sauvegarde de ses photos sur disque dur plutôt que sur serveur virtuel (on peut toujours faire un back up pour avoir 2 sauvegardes). Et si tout cela vous parait beaucoup trop ambitieux, alors éteignez juste votre portable ce soir et lisez un livre récupéré dans une des (nombreuses) boites à livres de votre ville si il y en a :-)


Les solutions sont nombreuses, et la documentation sur le sujet est partout : livres, internet, ateliers de proximité, échange avec le voisinage, les autres parents.... Alors, allez-y, choisissez juste un item et lancez-vous !

13/05/2019

La prise connectée : réelle économie écologique ou greenwashing individuel ?

Pour celles & ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux, vous savez que cela fait un certain temps que je me suis lancé dans une démarche de réduction de mon empreinte (familiale) environnementale : démarche zéro déchet, chasse au gaspillage alimentaire, jardinage orienté permaculture, lutte contre la pollution numérique... Tout y passe et j'essaye de faire un effort dans la plupart des domaines. Effort toujours plus complexe lorsqu'on est une famille, avec les différentes contraintes liées aux enfants, selon les âges et leur nombre.

Dernièrement, mon cheval de bataille a été de m'attaquer aux appareils en veille qui consomment de manière permanente. En premier lieu, on pense évidemment à la box, toujours branchée et omniprésente dans la plupart des foyers. Mais on peut y ajouter la télévision, le téléphone fixe (quand on en a encore un !), les chargeurs en tout genre d'appareils électroniques...

Certes, vous me direz, il suffit tout simplement de débrancher ces appareils. Oui, mais voilà, quand on a des enfants, un rythme bien soutenu ou que tout simplement on a une tendance à être "tête en l'air", alors on oublie. Et du coup, ça tourne, ça consomme, et on n'économise pas grand chose, aussi bien du coté environnemental que du coté économique.

Quelle prise électrique connectée choisir ?
J'ai donc eu l'idée de m'intéresser à la mise en place d'une prise connectée. Qui se pilote, mais surtout se programme et arrête tous les appareils en veille lorsque je ne m'en sers pas. Et j'ai vite été malheureusement confronté à une réalité toute bête : la plupart des prises connectées sont faites pour fonctionner... avec le wifi ! Du coup, en utiliser une pour couper le wifi, c'est un peu se mettre une balle dans le pied : on peut l'éteindre mais pas la rallumer ! Car en effet, la plupart des constructeurs, revendeurs.... mettent en avant uniquement l'aspect "geek" : éteindre ses lumières, piloter sa maison via la domotique, être compatible Alexa, google Home.... A l'opposé de ma recherche donc :-(

Néanmoins, j'ai fini après un vrai benchmarking et de nombreuses recherches, par arrêter mon choix sur une prise connectée unique (c'est à dire pas une multiprise) de la marque Konyks by Apynov (une marque de la French Tech), la Priska +, qui inclue le compteur de consommation, mais surtout, un programmateur, le plus important ! Ce dernier est hyper important car c'est lui qui va permettre à la prise de se remettre en route alors qu'elle est éteinte et donc que le wifi est éteint.


Installation et programmation :
J'ai donc branché une prise multiple dessus (classique) après avoir mis bien entendu ma Priska + sur une prise de courant. Sur la dite prise multiple j'ai mis mes 2 boxs, ma télévision et mon téléphone fixe. J'ai procédé à l'installation de l'application (version Android) sans problème, et programmé ma prise. Pour cela, j'ai mis en place un planning spécifique à cet objet dans l'application. Ce qui donne à peu près cela.


En résumé, la prise est programmée tout simplement pour s'arrêter ou démarrer sur les plages horaires indiquées. Quand elle est allumée, la box est donc allumée (et donc le wifi) et j'ai la main dessus où que je sois pourvu que j'ai mon smartphone sur moi. Si elle est éteinte, je n'ai pas la main, ni accès au planning. Il faut donc que je sache quand elle redémarrera de mémoire. Néanmoins, je vous rassure un redémarrage manuel est possible tout simplement en appuyant sur le petit bouton :-) A condition d'être chez soi bien entendu.


Quelles économies d'énergie pour quelle rentabilité ?
A partir de là, on peut suivre rapidement sa consommation et cela devient intéressant pour faire un calcul de la rentabilité, des économies réalisées, aussi bien financières qu'énergétiques. Prenons par exemple le mois d'avril, mois type (quelques jours de vacances et un rythme scolaire le reste du temps). Ces appareils branchés sur la Priska + ont consommé au total 13,62 Kwh. La prise étant en gros connectée aussi souvent qu'elle ne l'est pas (en gros au final branchée 12h, éteinte 12h à quelques minutes près), on peut dire que j'ai économisé au total environ 14 Kwh. Le prix du Kwh varie selon les opérateur mais il est en moyenne de 0,15 € actuellement. J'ai donc économisé au mois d'avril avec ce système 2,10 €. Ma prise m'a couté 26,90 € chez Amazon (il existe de nombreux revendeurs mais c'était le moins cher à l'époque de mon achat). Mon achat commencera donc à être rentable d'ici 13 mois environ. De ce coté là donc, rien à dire : simple, design épuré, fait le job et application bien conçu, je suis content de mon achat et de mon choix. Maintenant, et si vous êtes toujours là, attaquons-nous à la réduction de mon empreinte environnementale : a-t-elle vraiment diminuée ?

L'empreinte environnementale : un calcul complexe
Car si je vous ai parlé de mes économies d'énergie, assez simples à calculer, il en est autrement de mon empreinte environnementale. Car pour savoir si les économies d'énergie que je fais profitent vraiment à la planète (en consommant moins d'électricité), il faut prendre en compte tous les paramètres. Car en matière d'empreinte carbone, ma prise est loin d'être green : émissions de CO2 pour la fabriquer, pour la transporter, et pour la recycler ! Sans compter les données stockées dans le cloud par l'application (et donc la consommation des data servers qui entraine ce qu'on appelle de plus en plus communément la pollution numérique), même si il semble y avoir une petite boucle locale qui minimise cette consommation. Autant vous dire que malgré mes recherches pour le moment sur le sujet, je suis incapable d'évaluer cette empreinte carbone. 

Au niveau des économies d'énergies, le calcul et un peu plus facile car les données existent. Il s'agit au final de connaitre l’empreinte carbone de l’électricité française : combien de CO2 par kWh sont économisés au final. Pour cela, il faut d'abord connaitre quel type d'électricité nous est fourni par notre opérateur : nucléaire, hydraulique, éolienne... Car l'empreinte environnementale n'est bien sûr pas la même vous vous en doutez. Là où le nucléaire "coûte" 12g de CO2 par Kwh, l'éolien n'en coute que 11 (car le renouvelable coute aussi oui, il faut prendre en compte sa construction, son entretien...). Ces données sont essentiellement issus du rapport du GIEC. Ainsi, si mon opérateur ne me revend par exemple que de l'électricité produite à base d'énergie nucléaire (ce qui est fort probable vu que près de 72% de l'électricité française est produite par des centrales nucléaires à ce jour), on pourrait faire rapidement le calcul suivant : 14 Kwh (énergie économisée) x 12 (mois) x 12 (g de CO2 par Kwh), soit une économie pour la planète de 2 016 g de CO2 que je n'émet pas en utilisant cette prise et ce système. Le bémol reste finalement de réussir à savoir si ce que je n'émet pas est plus important que ce que j'ai émis en achetant la prise (fabrication, transport, recyclage...). Une chose est sûre, plus elle durera longtemps, plus il y a de chances que mon empreinte environnementale via l'achat de ce produit soit meilleure car moins émissive. (l'article sera mis à jour si j'arrive à glaner de nouvelles données pour alimenter mon calcul)

Article non sponsorisé, objet acheté par mes soins

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