28/11/2007

Immigration : en France, le parcours du polo-combattant

Le site Café Babel publie cette semaine un article consacré aux difficultés rencontrés par les polonais au sein du marché du travail français, notamment en matière d'autorisation de travail :

" Obtenir son permis de travail relève dans l’Hexagone du parcours du combattant. Un cadre doit, une fois la promesse d'embauche obtenue, attendre dès les premières heures heures du matin devant la préfecture pour espérer passer ou être reçu, récupérer la longue liste des papiers, remplir son dossier au complet, et le retourner à la préfecture, en mains propres."



Ce site étant européen, l'article est donc disponible dans toutes les langues, et notamment en polonais.
Cet article fait également partie d'un dossier plus large intitulé : Pologne, au-delà du plombier

19/11/2007

La croix rouge mexicaine

La croix rouge mexicaine a réalisé un petit dessin animé, mettant en scène les services de la croix rouge, des victimes potentielles, et la mort. Ce cartoon à vocation pédagogique a pour but de montrer comment la croix rouge sauve des vies, en boutant littéralement hors de son secteur "la mort", représentée dans son costume habituel.

La faucheuse est ainsi malmenée à plusieurs reprises, et de nombreuses vies sauvées. Un dessin animé très bien réalisé, et très éducatif. Sans paroles, cela en fait également une ressource exploitable par n'importe quel enseignant.

A visionner ci-dessous (après la pub, malheureusement !).

08/11/2007

Les vendredis du centre de civilisation polonaise

Tout au long de l'année universitaire, le Centre de civilisation polonaise de l'université de Paris IV propose des rencontres, à raison d'un vendredi par mois, dans la soirée. Ces rencontres auront lieu en Sorbonne (17, rue de la Sorbonne, 75005 Paris, coté entrée principale) ou au Centre de Malhesherbes (108, boulevard Malhesherbes, 75017 Paris).

Le site du Centre de civilisation polonaise

06/11/2007

Moskau !

Il est de ces vidéos qui se passent de commentaires, de ces vidéos que l'on regarde, encore et encore, sans savoir trop pourquoi, ni ce qu'on leur trouve, ni même, si elles sont de qualité... Mais on ne sait pourquoi, elles nous fascinent.
Celle-ci en est une, que je me repasse en boucle. Le décor : un groupe allemand au nom imprononçable, à consonnance russo-mongol, et un clip datant, si mes renseignements sont exacts, des années 80. A savourer si vous aimez, à zapper sinon...

15/09/2007

Les petits détournements du net

Le web 2.0 a amené son lot de nouveautés. L'une d'entre elles n'est autre que la facilité à retoucher des vidéos, et à les parodier. Tout le monde peut aujourd'hui devenir, avec quelques outils de base, un monteur vidéo. Beaucoup d'internautes se sont déjà lancés, certains allant même jusqu'à en faire un business. C'est notamment le cas du site Improvisio, qui vous propose assistance, aide et idées pour vos détournements vidéos. Un classement des meilleurs est également organisé.
Mais en matière de détournement vidéos, rien ne vaut "Les petits détournements de Mozinor". Cet as du doublage a trouvé là sa vocation. Qui il est ou que fait-il dans la vie, il n'en est nul part fait mention. Par contre, ses détournements constituent des perles rares que l'on peut voir et revoir à loisirs. Ma préférée reste indéniablement la parodie de James Bond. Sa dernière, remake de CSI-Les experts est également un petit régal, comme vous pouvez le constater.

07/09/2007

La fin de Lost : info ou intox ?

Alors qu'une vidéo officielle de la Dharma initiative circule sur Youtube depuis quelques temps, certains blogs français commencent à relayer une information qui, si elle s'avérait exacte, constituerait une première dans l'histoire d'une série télévisée. En effet, alors que la série n'est prévue que pour se finir en 2010, une "fuite" aurait entrainé la dissémination d'éléments clés du scénario un peu partout sur le net. On y apprend entre autre, et bien, quasiment tout : ce qu'est l'Ile, pourquoi elle existe, qui va vivre ou mourir, comment tout cela va se finir... Et le plus incroyable, c'est que tout se tient ! Et qu'en lisant cela (je n'ais pas résisté, j'avoue ;-), on se dit : "Mais oui, bien sûr, ça colle !". Alors, info ou intox ? Et si oui, est-ce que les scénaristes vont laisser faire, où vont-ils se mettre en 8 pour modifier, à nouveau, le script. Réponse très bientôt, avec les premiers épisodes... En attendant, si vous êtes prêts à lire, c'est par ici.

06/09/2007

L'officelipdub

La très brillante et très jeune agence de communication Heaven a lancé il y a quelques temps une idée inédite : L'officelipdub.com. Il s'agit pour une société, une association, une administration... de choisir une chanson, et de tourner ensuite un clip, dans le cadre du travail de préférence, en se synchronisant sur la chanson. Le tout, en une seule prise, s'il vous plait. Une fois le résultat obtenu, pour ne pas avoir un vulgaire playback cacophonique, on synchronise par montage, la chanson sur les mouvements de lèvres des personnes. Et ça donne, pour le moment, ces 4 superbes vidéos ici. Sans oublier celle-ci, pas encore relayée sur le site officiel, mais pas mal du tout réalisée sur le "Lollipop" du talentueux Mika.
Ma préférée reste celle ci-dessous, même si je doute un peu qu'il s'agisse de leur cadre de travail journalier (ou alors je postule demain chez eux ;-)


27/08/2007

La Croatie, splendeur des Balkans

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler de mon périple en Croatie de l'été 2003. Comme d’habitude, je suis parti en tant que directeur, avec une animatrice, pour un périple de 21 jours.

Island of Korcula, Croatia

Petit rappel :
Pour petit rappel, la Croatie (capitale : Zagreb) est un des anciens pays membres de la Yougoslavie qui, il y a 10 ans encore à peine, était en guerre. Située de l’autre coté de l’Italie, donnant sur la mer Adriatique, ce pays longiligne et découpé dans les côtes n’est pas si éloigné de chez nous. En effet, il faut compter environ 1500 kms pour atteindre les frontières en voiture depuis Paris.
La monnaie officielle est la Kuna, et son taux par rapport à l’euro est fixe : 1 euro = 7,47 kunas. L’entrée de la Croatie au sein de la Communauté Européenne ets prévue pour la prochaine vague à partir de 2005. Pour le moment, un passeport en règle est donc nécessaire pour s’y rendre.

Début du périple : le voyage !
Notre voyage fut une aventure à lui tout seul ! Pourquoi me direz-vous ? Et bien, tout simplement, parce que par souci d’économie, l’association pour laquelle je travaille n’avait pas prévu un départ en avion, mais… en train !
Je vous explique : Départ le 1er août au soir de Paris-Bercy pour une arrivée prévue le lendemain matin à 10 heures en gare de Milan. Puis, transfert en car vers le port d’Ancone. Pour info, Milan-Ancone = 600 kms environ. En ce 2 août, ce fut l’enfer, et nous avons été confronté à un embouteillage monstrueux. Nous avons mis plus de 10 heures pour atteindre notre but. Nous avons au passage raté 3 bateaux, et nous avons pu prendre in extremis celui de 21H30. Nous sommes arrivés en conséquence à Zadar vers 00H30, puis direction l’auberge de jeunesse pour une douche bien méritée, sous une chaleur avoisinant les 40°, même la nuit…En gros, nous avons réellement commencé à visiter la Croatie le 3 au matin, alors que nous étions partis le 1er au soir !

Premier module : les parcs…
Bref, le 3 au matin, départ en car pour Split : 3 heures de route ! Le but : récupérer à l’aéroport nos 2 minibus qui nous permettraient ensuite de voyager de manière autonome.
Résultat : Réel départ vers 15 heures, pour trouver un camping dans la banlieue de Split.
Le guide du routard en indiquait des sympas sur la route de Trogir, en remontant vers Sibenik.
Nous en avons trouvé un petit, très sympa, situé à 30 mètres de la mer, pour 40 kunas par personne. Et là, nous avons pu nous rendre compte de 2 choses : la difficulté de trouver une nourriture diversifiée, et l’état des sanitaires dans les campings, quel qu’ils soient, même si, selon des anciens touristes, ils ont beaucoup progressé par rapport à ça depuis quelques années. Coté nourriture, en effet, vous ne trouverez pas des supermarchés partout comme chez nous, vous ne trouverez pas certaines choses banales comme de la purée par exemple. Coté sanitaire, il y a en général 2 à 5 douches par camping, alors que les campings sont immenses, rarement de l’eau chaude (pas grave en été, mais tout de même), et les fermetures sont disons, parfois très archaïques (vous trouverez un rideau de douche parfois, comme à la maison, et un autre rideau de douche pour vous séparer de la douche d’à coté, si, si ! ! !). Du coup, on s’habitue à se doucher en maillot de bain !

Point of view, National Park, Croatia

Bref, le 4 au matin, après une nuit moyennement réparatrice en raison de la chaleur et des moustiques, nous avons pris la route pour le parc de Plitvice, situé au nord-est de Zadar. Il n’y a que 200 kms, mais il faut compter 5 bonnes heures, les routes étant très sinueuses. Le paysage, néanmoins, est magnifique !
Nous nous sommes installés au camping Kovana, situé à quelques kilomètres après le parc, sur l’unique route qui passe par là.
Mais ici, ce n’était plus le même style : un camping à l’américaine, immense, 15 douches dans chaque bloc sanitaires, 50 personnes à chaque fois, des files d’attente immenses, et surtout, aux heures de pointes, une arrivée d’un véhicule, chaque minute, avec en moyenne, sur 10 : 5 voitures françaises, 3 allemandes et 2 italiennes (si, si, je vous assure, j’ai observé et fais les statistiques !). Bref, la balade du lendemain, ou devrais-je plutôt dire la randonnée au sein du parc de Plitvice vaut plus que le coup ! Seul problème : si vous y allez en période estivale après 10 hures, vous la ferez en piétinant tellement il y a de monde ! Et je n’exagère pas, croyez moi… Mais les lacs disposés en forme d’escaliers, les cascades, la végétation luxuriante valent plus que le coup ! Et si vous voulez voir des photos, n’hésitez pas à m’en demander, je vous donnerai l’adresse, ça passe très bien en fond d’écran d’ailleurs ;-)

River & lake in Plitvice, Croatia

Le lendemain, nous sommes redescendus vers le parc de Paklenica, en empruntant la toute nouvelle et toute belle autoroute qui se construit, supposée, à terme, relier Zadar et Zagreg, puis, probablement, Zadar à Sibenik. Très sympathique, et car toute neuve, et surtout, personne dessus ! Nous avons du doubler une ou deux voitures, tout au plus ! ! ! Et comme d’habitude, les paysages traversés sont magnifiques ! ! !
Le parc de Paklenica est surtout réputé pour ses murs d’escalade, qui attirent de nombreux amateurs, mais il y a également une longue et grande randonnée qui vous conduira à un refuge auquel vous pourrez passer la nuit. Dans un style complètement différent de celui de Plitvice, il reste néanmoins incontournable dans son coté « Rocheux ».
Petite mésaventure au camping où nous étions : repartis le lendemain vers 13H, nous sommes arrivés ½ heure après le dernier délai pour payer. Résultat, nous avons du payer 2 nuits pour une seule dormie. Et nous étions 17, vous faites le total, avec les minibus et les tentes, ça chiffre vite…
Nouveau départ, nouvel direction (et oui, on arrête pas, on change tous les jours en début de séjour !) pour la petite île de Murter, située entre Zadar et Sibenik. De là, le lendemain matin, nous avions une réservation pour une croisière sur les îles Kornati. Ces dernières sont magnifiques, dans un style, là encore, complètement différent : elles sont vides, complètement brûlés, et très grisâtres ! ! ! Néanmoins, la croisière vaut le coup, et on en prend, encore une fois, plein les yeux.

Cascade in Plitvice, Croatia

Puis, le lendemain, direction le dernier parc naturel : le parc de Krka. Equivalent en beauté au parc de Plitvice, beaucoup plus petit, et avec un avantage non négligeable : on peut s’y baigner ! Le parc, comme Plitvice est blindé de monde, mais une fois dans l’eau, on ne regrette pas d’y être, et la baignade sous les cascades est un souvenir inoubliable…

Second module : Korcula et les îles
Une fois cette visite des parcs terminé, nous sommes définitivement redescendus sur Split pour prendre un bateau supposé nous emmener à sur l’île de Korcula. Alors, là encore, ne vous faites pas avoir : les bateaux, en Croatie, ça se prend un peu à l’arrache : soyez présents un bon moment avant, ayez vos billets, et soyez en première ligne si vous voulez monter ! ! !

Fishes, Plitvice, Croatia

Une fois arrivés à Korcula, nous avons du traverser l’île pour atteindre Korcula City, petite ville insulaire magnifique, avec une vieille citadelle. Nous nous sommes installés à quelques kilomètres dans un camping qui donnait directement dans une baie. En conséquence, j’ai planté ma tente à 10 mètres de la mer, et ça, c’était grandiose.

Island of Korcula, Croatia

Nous sommes restés 6 jours et 5 nuits sur Korcula. Nous avons visités la ville, très animée la nuit en période estivale avec la présence d’un marché nocturne, fait du vélo (vous trouverez plein de loueurs sur la place), et surtout, nous avons visité quelques unes des îles au alentour : l’île de Badija, très connue pour sa petite église typique, et l’île de Mjlet, magnifique île où la mer est à l’intérieur de l’île, et où vous pourrez notamment, pour les plus sportifs d’entre vous, pratiquer du canoë kayak (très sympa).
Pour vous rendre sur ces îles, il vous suffit de prendre un Taxi Boat. Vous en trouverez plein sur le port, prêts à partir toutes les 10 à 15 minutes. Attention, car ils vous font souvent payer l’aller/retour, mais ce ne sont pas forcément eux qui vous ramènent, donc, assurez-vous bien que vous ne paierez pas une deuxième fois ! ! !

Dernier module : Dubrovnik
Et oui, nous voilà déjà au 16 août, et la fin du séjour approche. Nous quittons Korcula pour la ville de Dubrovnik, via bateau. Arrivés sur place, nous nous installons à l’hôtel. Et le soir même, direction la vieille ville. Se garer assez loin, car en période estivale, elle est pleine, et donc, n’espérez pas vous garer à proximité !
Mais là, quel régal, sûrement ma destination préférée du séjour ! La vieille ville de Dubrovnik est une ancienne citadelle, parfaitement conservée, ayant échappée aux séismes de la guerre, et uniquement piétonne à l’intérieur. Les lieux, maisons, ruelles, églises et autres bâtiments sont tout simplement magnifiques ! Seul inconvénient en conséquence : les prix flambent, et tout est assez cher !
Le lendemain, direction l’hôtel « Epidaurum », situé à Catvat, à 25 kms environ de Dubrovnik, en direction du bas de la côte (c’est à dire, pas en remontant sur Split).
Nous avons pu y pratiquer de la plongée sous-marine, de la banane de mer, du jet ski… à des prix plus qu’abordables ! Seule réserve que j’émettrai : même si les fonds marins sont magnifiques, il y a assez peu de poissons, la faune n’est pas très diversifiée…

Enfin, le retour…
Puis, ce fut le retour, pour un périple encore plus long, car il a fallu faire Dubrovnik-Split, en 4 heures de route, durant lesquelles, chose assez « marrante », vous passez la frontière car vous traversez la Bosnie. La Croatie a été obligée, à l’issue de la guerre, de se découper ainsi, et si vous ne passez pas par la mer, vous traversez forcément cet autre pays, sur une quinzaine de kilomètres environ.
Une fois à Split, minibus rendus, direction Zadar en car, puis bateau le lendemain matin pour Ancone, puis direction Milan en car, puis Paris en train pour une arrivée le 21 août au matin, complètement épuisé…

En conclusion :
J’espère vous avoir donné envie de découvrir ce magnifique pays qu’est la Croatie, mais si j’ai un conseil, n’y allez pas en période estivale ! Pâques ou La Toussaint me semblent plus appropriés. On ressent dans ce pays encore les séquelles de la guerre et quelques cicatrices parfois, vous traverserez des routes où les traces des bombes sont encore visibles, mais globalement, on sent un pays en pleine reconstruction et en pleine expansion, en renaissance complète, et ça, c’est magnifique à voir. Au niveau social, je dirais que le pays se situe au niveau de la Grèce, mais qu’il devrait la dépasser d’ici peu. Au contraire des grecs, par contre, n’essayez pas de marchander avec les croates, ce n’est pas dans leur mentalité, et ça ne marche jamais ! Souvent taciturnes, et peu souriants, leur visage changera si vous faites l’effort ne serait-ce que de dire bonjour en croate (Dobar Dan). En effet, nous, touristes, avons souvent tendance à croire que parler anglais ou allemand ou français doit être naturels, mais si nous inversions les rôles et que les touristes qui viennent en France ne faisaient aucun effort pour nous comprendre ou apprendre quelques mots de notre langue, comment le prendrions-nous ?
Enfin, dernière recommandation : ne tombez pas malade ou ne vous blessez pas, car le système médical là bas est, par contre, lui, resté à l’époque de la guerre et se faire soigner correctement relève souvent du parcours du combattant ! ! !
Sur ce, bon voyage à tous…

16/08/2007

J will survive !



La vidéo a déjà fait le tour du monde. Il s'agit d'un jeune buffle, d'abord attaqué par un troupeau de lions, disputé par un crocodile, puis repris par les lions, qui est finalement secouru par les siens. Une vidéo amateur extraordinaire, ou la force de survie a été plus forte que tout le reste.

09/08/2007

La boutique Zlio, une arnaque à web ouvert ?

Il y a peu de temps, j'ai découvert Zlio.com. Mais qu'est-ce donc me direz-vous ? Et bien, il s'agit tout simplement, à partir de produits d'autres sites partenaires, de vous faire votre propre boutique, et de vendre une série, ou une catégorie de produits que vous désirez. Exemple, vous êtes fan de Nouvelles Technologies ? Vous crééz votre boutique, en ne mettant en vente que des produits hi-tech. Vous en faites ensuite la promotion auprès de vos proches, sur le web, en la référençant dans google... et si un internaute (ou vous-même) achète un produit via votre boutique, bingo ! Vous touchez la commission qui va avec.


Alléché par ce concept, je me dépêchais de m'ouvrir ma petite boutique, et de la tester très rapidement. Pour cela, j'effectuais 2 achats, sur 2 sites différents, à partir de 2 produits référencés. Montant total : près de 70 euros. Puis, je décidais d'attendre tranquillement de voir mon compte Zlio (dans mon interface de gestion) pour voir combien j'allais toucher de commission, et dans combien de temps. Et pendant ce temps là, la boutique continuait de fonctionner et d'attirer, petit à petit, des visiteurs.

Mais, au bout de plusieurs jours (voire même quelques semaines), ne voyant toujours rien venir, je décidais de contacter le service client, qui m'ouvrit un ticket sous le numéro #2007080110000345. Après pas mal d'attente (certes, nous sommes au mois d'aout, mais tout de même), je recevais une réponse, me disant que effectivement, ceci n'était pas normal. S'ensuivait alors un échange de courriels reprenant note de mes transactions (heureusement, j'avais gardé tous les courriels d'accusé de réception des paiements, produits et livraisons), testant mon système... Réponses lentes et longues à venir, parfois décalées... pour, à l'arrivée, recevoir cet édifiant message final :


"Bonjour,
Malheureusement c'est un système automatique, nous ne pouvons vous les créditer. Apparemment vos clics n'ont pas été pris en compte par le tracking.
Nous avons planifié des modifications du service pour palier à ces problèmes.
Veuillez nous excuser pour la gène occasionnée.
N'hésitez pas à reprendre contact avec nous."


Je crois que tout cela se passe de commentaires, non ? Surtout que j'avais bien entendu, envoyé copie de toutes mes transactions. Sans compter celles qui ont probablement été passés par d'autres internautes, et dont, bien sûr, je ne verrais jamais la couleur des commissions.
Alors, Zlio.com, un bon plan financier ? Pour le moment, j'en doute, même si, bête comme je suis je persévère, et vais, à l'occasion retester le système. Mais promis, si ça ne marche pas, je supprime ma boutique...

07/08/2007

Un moteur à eau ?


Et oui, cela semble bel et bien exister : il s'agit du moteur "Pantone" du nom de son inventeur. A la vue de ce très sérieux reportage sur TF1, on peut se demander pourquoi, au jour d'aujourd'hui, nous roulons encore à l'essence... Mystère et boule de... pétrole !

04/08/2007

Jericho, saison 1, le trailer



Peut-être connaissez-vous la série "Jericho" ? Si non, alors c'est le moment de la découvrir à travers ce trailer très bien réalisé et disponible sur youtube. A noter que cette série sera diffusée prochainement sur M6 et que, aux Etats-Unis, alors que CBS avait décidé l'arrêt de la série, la mobilisation des fans a eu raison des producteurs : la série a donc été reconduite pour une ultime saison 2 de 7 épisodes. Voir plus, si le succès était au rv. En tout cas, il s'agit là de quelque chose d'inédit, car jamais la mobilisation de fans n'avait réussi à permettre le maintien d'une série, quelle qu'elle soit.

03/08/2007

Touchez le rêve américain...

New-York, la grande, l’intouchable, ou l’incarnation type du rêve américain. J’ai eu l’occasion de découvrir cette ville magnifique sur 3 jours, au mois d’Août 2001. Je vais donc essayer de vous donner mon programme, au jour le jour, qui fut bien chargé.

Se loger : Pour se loger à New-York, les prix sont chers, très chers. Si votre budget est restreint, ne pensez même pas à l’hotel. Il vous reste les auberges de jeunesse, plus abordables. Pour ma part, étant équipé d’un véhicule, j’ai opté pour… le camping ! Et oui, beaucoup d’américains voyagent ainsi. Bien sûr, vous ne trouverez pas de camping proche de New-York, mais assez tout de même pour vous permettre de profiter d’un logement pas cher, et vous laisser de l’argent pour le reste.

Pour ma part, je suis descendu au Blackbear Campground (http://www.blackbearcampground.com). Les sanitaires laissent quelque peu à désirer, mais au moins, les douches ne sont pas payantes, comme dans de nombreux autres campings aux USA. Le terrain est vaste. Pour y accéder, le plan indiqué sur le site est très bien fait, et si vous suivez clairement les indications, vous n’aurez aucun mal à trouver. Pour rejoindre New-York, comptez environ une heure en voiture.

Se garer à New-York : Malheureusement, la plupart des parkings sont payants, les moins chers étant à 19 $ la journée. Le mieux est donc de vous garer rapidement, et de circuler à pied ou en métro par la suite.

L’arrivée : Ce qui se dégage lorsque l’on arrive sur New-York, en premier lieu, c’est un impression de grandeur, de démesure. Tout paraît plus grand, les distances sont multipliées… Vous aurez aussi une agréable impression de sécurité : il y a des agents de police partout, vous ne pouvez pas les rater ! Et encore, on ne compte pas ceux qui sont en civils pour passer inaperçus.


J’ai eu la chance d’arriver un dimanche. Et le dimanche, c’est jour de messe. Je me suis donc rendu à Harlem, le quartier noir de New-York, pour écouter du Gospel (souvenez-vous des clichés de « Sister Act », ce sont les mêmes !). Pendant très longtemps ce quartier a été l’un des plus dangereux. Mais avec la croissance, les investisseurs sont revenus dans le quartier. Et même si cela ne se voit pas encore, Harlem est en train de devenir un quartier chic où les prix flambent.

Pour écouter du Gospel, je vous conseille l’Abyssinian Baptist Church, située à l’angle de la 138ème rue et de la 7ème avenue (Adam Clayton Powell Boulevard).C’est la plus vieille église noire de New-York, mais également la plus célèbre, et donc la plus touristique ! Donc, si vous voulez avoir une chance de vous asseoir, allez plutôt à la messe de 9 heures. Si toutefois vous ne pouvez aller qu’à celle de 11 heures, essayez d’être là au moins une heure avant. Au pire, vous pourrez trouver une autre église dans le quartier, moins populaire, mais tout aussi sympathique. Les voix des choristes sont extraordinaires, et il n’est pas rare d’avoir des frissons… Bien entendu, caméras et appareils photos sont interdits.

Après, je suis redescendu sur Central Park, pour pique-niquer. Je suis aller du coté de la 5ème avenue. Ce parc est vraiment extraordinaire ! Il y a des animaux partout, des routes réservées aux cyclistes, aux rollers, et à tous engins non motorisés ! L’herbe est verdoyante, même en été. Enfin, il y a également un zoo, plusieurs petits monuments, et il n’est pas rare qu’il y ait des animations de rue.

J’ai continué mon bonhomme de chemin sur la 5ème avenue, quartier chic de New-York, entouré de plusieurs tours, dont celles du milliardaire Trump. Pour le shopping, je vous conseille le Rockfeller Center, situé un peu plus en contrebas de central Park, sur la droite. Par contre, ne dépensez pas tous vos deniers, car les prix sont excessifs !

Le deuxième jour, j’ai été au World Trade Center, pour voir les Tour Jumelles ou Twins. Elles sont réellement impressionnantes, surtout lorsque l’on est à leurs pieds ! Bien entendu, aujourd'hui, comme chacun le sait, ce n'est plus d'actualité. De mon coté, j'ai eu la chance d'y aller 3 semaines avant la date fatidique...

Après, je suis descendu sur Wall Street, pour voir un peu à quoi ressemblait le quartier des golden boys. Contrairement à ce que l’on croit, il est très étriqué, et assez petit. J’en ai profité pour déjeuner au Mc Do de Wall Street. Pourquoi ? Et bien, parce que c’est le Mc Do le plus chic du monde (il dispose même d’un pianiste qui joue au milieu des mangeurs indifférents) et le plus cher (près de 50 Frs le premier menu !). Donc, si votre budget est un peu serré, ne faites que passer !

Je suis ensuite descendu à pied aux embarcadères pour Staten Island et Ellis Island. Si vous embarquez pour Staten Island, sachez que vous ne paierez rien. Vous passez tout près de la statue de la liberté, et vous pourrez la prendre en photo. Ne descendez pas, il n’y a rien à voir sur Staten, revenez directement.

Si vous choisissez Ellis Island, ne descendez pas au premier arrêt (statue de la liberté, inutile et pas très impressionnant), mais au 2ème, au musée de la civilisation étrangère. Il est très bien fait, notamment le petit casque audio en français. Prenez le temps de voir un maximum de films. L’entrée du musée est gratuite, vous ne paierez donc que votre place de bateau, soit 7 $ pour les adultes, 3 pour les enfants.

Ensuite, remontez en métro (climatisé s’il vous plait) sur Times Square (c’est direct). Les enseignes lumineuses le soir sont impressionnantes. Si vous n’arrivez pas trop tard, vous pouvez en profiter pour faire la tour Warner Bros. Trouvez-vous un restaurant sympa pour manger dans le coin. Après, si il vous reste encore des forces, tentez l’Empire State Building de nuit, pas très loin à pied. Pas la peine d’y monter, à part si vous avez de l’argent à perdre, car la vue est la même que celle en haut des Twins.

Le troisième jour, j’ai commencé mon périple par Chinatown. De tous les quartiers visités, c’est celui qui m’est apparu comme le plus populaire, et donc aussi le moins sûr. Les odeurs de poisson vous montent vite à la tête également. Parallèlement, en pleine journée, vous n’avez pas grand chose à craindre. Et c’est surtout là que vous devez « claquer » votre argent. Centre de la contrefaçon, vous trouverez quasiment de tout : tee-shirts Ralph Lauren, casquettes en tout genre, babioles diverses, paires de Oakley… Pensez à négocier les prix, et ne vous précipitez jamais pour payer. Prévoyez un budget à l’avance (50 $ me paraît largement suffisant), et ne sortez pas tout votre argent d’un coup.

Après, je suis remonté sur Little Italy, après avoir traversé Canal Street, véritable frontière entre ces deux quartiers. Pour cela, j’ai emprunté Broadway, la grande rue (à na pas confondre avec la petite, située quelques pâtés de maison plus loin). Ici, vous trouverez de nombreuses boutiques de fringues détaxées (Levi’s, Calvin Klein, Docker’s, sweat-shirts…). Celles-là, par contre, sont vraies ! Ce ne sont pas des contrefaçons. Seul inconvénient : vous ne pouvez pas vraiment flâner, un vendeur vous abordera très rapidement.

Enfin, je suis aller flâner sur Soho, et Greenwich Village, un peu plus haut. J’en ai profité pour dégoter un petit restaurant très sympa, très bon, et pas cher du tout : le Piccola Cafe, au 594 Broadway. Leurs pâtes sont délicieuses, et leurs sauces encore plus ! Si vous désirez être encore mieux servi, demandez Bhulu Bhuiyan, qui est le gérant depuis plus de 10 ans. Dans tous les cas, même si il n’est pas là, mangez-y quand même, cela vaut vraiment le coup !

Enfin, le ventre bien rempli, pour digérer, je vous conseille d’aller vous balader sur le pont de Brooklyn de nuit. La vue est magnifique. Les piétons marchent au dessus des voitures. Il y a également une voie spéciale pour les vélos et les rollers.

Voilà, à peu près, comment remplir 3 de vos journées à New-York. Restez cependant conscient qu’il reste encore beaucoup de choses à voir. Cependant, si vous suivez à peu près ce programme, vous en aurez déjà vu une bonne partie.
En complément, je rappellerai juste que les taxes, aux USA, ne sont pas comprises. Donc, lorsque vous voyez un prix affiché, n’oubliez pas de lui rajouter 15 %.

En conclusion, je dirai que New-York est une ville magnifique, et que ses habitants sont très sympathiques, très loin de l’image que nous pouvons avoir d'eux par moment.

30/07/2007

Les nouvelles stars chinoises



Au départ, ils voulaient juste délirer... Et puis, la rumeur, le phénomène web les a rattrapé. Leur vidéo a été vue des milliers de fois, ils en ont fait un concept, des internautes du monde entier les ont parodiés... Ou comment un simple délire a fait d'eux des stars, dans le style déjà connu de "Star wars kid". A noter : le "concept" a même été repris dans un des épisodes de la première saison de Heroes, ou l'on voit 2 étudiants, dans un bar-karaoké, avec la même tenue, chanter cette chanson...

Nessebar, Bulgarie

La petite ville de Nessebar en Bulgarie, peu connue encore de nos compatriotes, est une merveille architecturale. Typique des villes de l'est, elle a conservé tous ses vestiges, comme en témoigne cette photo prise de l'ancien théâtre, situé en plein centre ville. Une destination encore peu connue en France, mais où se réfugient déjà beaucoup de scandinaves, de russes et de polonais. A découvrir de toute urgence...

28/07/2007

La place de Sukienice, à Cracovie

La place de Sukienice, à Cracovie, en Pologne. Une place magnifique, qui mérite le détour. Ambiance garantie, à toute heure du jour... et de la nuit !

27/07/2007

Athènes en visite

Voici l’histoire de mon périple à Athènes, destination où je me suis rendu à 2 reprises, en 2001 et en 2002 , durant les vacances de Pâques à chaque fois, et en tant que directeur de centre de vacances.

Hébergement : Nous avons décidé de séjourner à l’hôtel DIETHNES situé au 52 PEONIOU STREET, situé à deux pas de la station de métro Larissa Station. Internet : http://www.hoteldiethnes.gr
Le manager est sympathique (même si il essaiera de vous vendre toujours plus), les prix sont corrects, le service impeccable, le confort excellent (télé dans la chambre, lit fait tous les jours, ménage également…) et vous trouverez sûrement plus d’une personne de service qui parle français. Pour votre sécurité, un gardien de nuit assure la surveillance, même si à priori, ça paraît inutile, vu que le quartier est nickel, et qu’il n’y a pas grand chose à craindre.

Athènes en général : Ce qui marque tout de suite à Athènes, c’est le coté « vieux » ! Et je ne dis pas cela uniquement par rapport aux monuments et aux vestiges, mais également parce qu’une bonne partie de la ville tombe en ruine, et que du coup, vous avez toujours l’impression qu’il vient d’y avoir un séisme ou un cataclysme. Du coup, et depuis quelques année, de nombreux travaux de rénovation ont été entrepris. Il n’est donc pas rare de tomber en plein chantier, ou de prendre un métro tout neuf, et de descendre dans une station toute vieille. L’aéroport est également neuf, et a été refait il n’y a pas longtemps.
Au niveau sécurité, pas grand chose à craindre. Les grecs ne sont pas farouches, il y a des policiers partout, pire qu’à New-York, et la ville est plutôt sûre.
Phénomène spécifique : il y a des chiens errants partout, qui vous suivent régulièrement. Pourquoi ? Parce que là bas, tuer un chien vous vaudra plus d’années de prison que si vous tuez un homme, donc… A réfléchir à deux fois avant de leur mettre un coup de pied :-)
Enfin, la pollution : elle est toujours présente, certes, surtout lorsqu’il fait chaud, mais on la ressent moins qu’avant, car elle a diminué. En effet, en vue des JO de 2004, les grec se sont engagés à réduire leur taux de gaz carbonique de 30 %. ET pour le moment, c’est bien parti.

1er jour : Nous avons commencé par la relève de la garde à la station Omonia (Panepistimio) devant le palais. Il y en a une toutes les heures, et ça vaut le détour, mais pas plus d’une fois. Ensuite, petit détour par le syndicat d’initiative, et visite du musée archéologique national. Un très beau musée, pas très cher (la plupart des musées sont gratuits), mais attention : ne prenez pas un guide français ! Ils sont chers, parlent très mal français, et surtout, sont nuls ! Le mieux est de vous procurer une documentation en français, et d’organiser votre propre visite.

2ème jour : Nous avons été aux puces de Monastiraki (station de métro du même nom). Là, le quartier est un peu plus mal famé, mais rien de bien méchant, faites juste attention à vos effets personnels. Depuis le passage à l’euro, les prix ont flambé, et ce qui pouvait paraître intéressant avant ne l’est plus. Il faut s’enfoncer un peu plus dans les puces, dans les boutiques un peu reculées, pour trouver des prix intéressants.
Après, une fois que vous êtes là, le mieux est de déjeuner sur place (l y a des pitas pas chers) pour pouvoir enchaîner directement avec l’Agora (juste derrière), puis l’Acropole (visite assez cher en comparaison des autres).

3ème jour : Nous nous sommes rendus sur Egine, dite « L’île de la Pistache ». Pour cela, vous rendre en métro au port du Pirée, puis prendre vos billets sur place. Attention ! Il y a plein de compagnie, plus chers les unes que les autres ! Le mieux, c’est d’acheter son billet dans les petites guérites situées directement sur le port, vous les paierez moins cher. Il y a environ 1 heure de traversée. L’île est sympa, mais à part un monastère et des pistaches, il n’y a pas grand chose à voir. Eviter de manger dans un restaurant sur place : ils sont chers et pas bons ! Les plages sont sales, n’hésitez donc pas à louer des vélos et à vous éloigner.

4ème jour : Nous avons été visiter les Halles, situées un peu au dessus d’Omonia. Âmes sensibles s’abstenir ! On ne peut les visiter que le matin, et on assiste à un spectacle de boucher : animaux éventrés, viscères pendues… Mais il paraît que c’est typique, alors…
après, nous avons enchaîné avec le Temple de Zeus, le vieux stade olympique (énorme, faites vous une course absolument !), et pour finir, l’ascension du Mont Lycabette, plus haut point d’Athènes, qui domine toute la ville. La montée est assez dure, alors avis aux asthmatiques : n’oubliez pas votre ventoline !
Enfin, nous avons fini par le Plaka, quartier chic et artistique d’Athènes, réplique de notre Montmartre. Très sympa, mais très chic, et donc très cher ! Mais bon, manger là bas vaut le coup, ne serait-ce que pour l’ambiance…

5ème jour : Journée au Cap Sounio. Prendre le bus local près de la place Victoria. Départ toutes les heures et demie environ, compter 3 heures de route à peu près. Une fois sur place, idem que pour Egine, il n’y a pas grand chose à faire, à part la plage (sympa), et le temple de Poséidon, magnifique vestige. La vue est également superbe, donc, ne pas oublier l’appareil photo !

6ème jour : Pour finir, musée des Arts Cycladiques, très sympa, mais pas souvent ouverts, donc se renseigner avant pour les horaires ! Et pour le dernier dîner, nous sommes allés déguster une sélection de spécialités grecques dans un restaurant pas très cher, situé dans une rue parallèle de la Plaka, et dont le patron est français. L’adresse : Sholarhio Ouzeri Kouklis, Tripodon, 14 Str. PLAKA. Tel : 10-3247605

Voilà, pour conclure, je dirai que Athènes est une ville sympathique, mais que une semaine suffit pour en faire le tour. Si vous souhaiter communiquer, sachez qu’il y a énormément de cabines et de cybercafé, le meilleur étant celui près de la place Victoria.
Le seul reproche que je ferai, c’est que les athéniens ne sont pas globalement super sympathiques. Très blasés vu le nombre de touristes qu’ils voient défiler, ils feront rarement l’effort de vous aider ou de vous comprendre, même si bien sûr, il ne faut pas généraliser, et qu’il y a des exceptions. Il ne faut pas non plus croire que les athéniens sont méchants, en fait, ils s’en foutent, tout simplement, ils ne vous calculent pas. En tout cas, si j’y suis allé deux fois, ce n’est pas à cause de ses habitants :-)
Sur ce, bon voyage, et surtout, racontez nous ! ! !

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