Depuis que je suis devenu père, ma plus grande trouille en matière médicale, c'est de me retrouver aux urgences. Le truc cauchemardesque dont certains parents vous parlent, et que vous espérez n'avoir jamais à vivre.
Jusque là, j'avais réussi à éviter cet écueil. J'ai géré les quelques urgences nocturnes ou du week-end depuis sa naissance entre SOS Médecins et le pédiatre de garde (oui, sur notre secteur, on a un pédiatre de garde le dimanche, et ça, c'est cool :-).
Mais dimanche dernier, je n'ai pu échapper aux urgences. Et mon cauchemar, tant redouté, s'est transformé en réalité. Petit rappel des faits.
Dimanche 23 septembre 2012, 21h :
Après plusieurs jours de fièvre en raison de la seconde injection du vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) de la marque Priorix, celle-ci est redescendue en journée, et mon bébé a passé plutôt une bonne journée. Mais à 21h, alors qu'elle s'est endormie tôt, ma fille se réveille en pleurant. Elle est fiévreuse, et ça monte vite (on a déjà dépassé 39°). Jusque là rien d'inquiétant. Mais j'allume la lumière, et là, je découvre une vision d'horreur (oui, pour un parent, l'horreur intervient rapidement, je le conçois) : elle est couverte de plaques rouges, sur tout le visage, les plis du corps, les pieds... De grosses plaques rouges qui ont l'air de lui faire bien mal (elle hurle) et chaudes au toucher. Au début, je ne panique pas trop, car j'avais lu (dans une revue médicale et non pas sur Doctissimo, hein !), que certains enfants (- de 3%) pouvaient développer une forme bénigne de la maladie suite à ce vaccin. Donc, la rougeole semblait appropriée, même si l'incubation me paraissait trop longue (+ 8/9 jours).
23h :
J'appelle donc le SAMU pour avoir un avis médical (les seuls à vous passer un médecin). Le médecin qui prend mon appel, m'indique qu'il préfère que ma fille soit auscultée, et qu'il m'envoie quelqu'un.
0h30 :
Le médecin arrive. Après un bref (trop bref à mon goût !) examen, son diagnostic tombe : une scarlatine selon lui. Il ne peut en être certain mais nous envoie sur les urgences pédiatriques à l'Institut Hospitalier Franco-Britannique, 4 rue Kléber à LEVALLOIS (92300). Retenez bien l'adresse car je vais vite vous déconseiller d'y aller.
1h20 :
On arrive sur place, il pleut des cordes, bébé est très fiévreux, il ne faut pas le couvrir. Dilemme, même si tu sais que tout ça c'est pas le plus important. Accueil moderne, dans un lieu moderne. Claque aux idées reçues : il n'y a personne ! On est pris en charge tout de suite, infirmière hyper sympa qui fait les premiers tests, puis direction la salle 1 pour y attendre le médecin. Équipement moderne et classique : un lit, quelques appareils... Mais on s'en fout, on n'est pas là pour visiter. Le pédiatre arrive. Hautain, silencieux, peu rassurant, pas sympathique, non souriant... Il examine à peine ma fille, mais un peu quand même : oreilles (très important), gorge, thorax... Il écarte directement la scarlatine, qualifiant le diagnostic de son collègue de farfelu. Une dose de primalan pour l'urticaire, et ça devrait aller mieux. Ok, un problème de réglé. Et pour la fièvre ? Aucune idée, à part mes théories (et je suis pas médecin, hein !). On va faire une analyse d'urine me dit-il. L'infirmière pose la poche, et il se casse. Durée de l'entretien : 5 minutes. Rien de rasurant, rien d'humain. Après, si tu trouves mon gars, t'es pardonné. Mais il ne reviendra pas.
3h10 :
Après 2h, nue avec sa poche, ma fille n'a toujours pas uriné. Elle est crevée, pas bien, et nous, pas beaucoup mieux. Indice : quand tu as eu 40° de fièvre, tu as plus beaucoup d'eau, donc, essayer de te faire pisser ça va être dur. Mais ça, bien sûr, tu ne le sauras qu'après. Donc, on décide de partir. Ils nous laissent (rassurant selon certains parents, car si tu pars, c'est que c'est pas grave).
4h :
Ma fille est au lit. Elle ne va pas beaucoup dormir.
8h :
Réveil difficile, la fièvre est revenue, l'urticaire a presque disparu. Je n'ai pas dormi (pas pu). Je prends RV avec NOTRE pédiatre. Elle me recevra dans la matinée.
11h :
Débarquement chez le pédiatre, explications, histoire depuis le début. Calme, elle examine (mais vraiment elle, elle connait son boulot et elle le fait bien, merci Dr. F. si vous passez par là !) ma fille. Le diagnostic tombe après, allez, 20 secondes : énorme et belle otite (qui explique donc la fièvre) et urticaire infectieux (suite au vaccin, infections virales...) ET mécanique (énervement). Tout va bien.
13H :
On commence les antibios (Amoxicilline 150 mg), on continue le primalan, et un peu d'Advil pour atténuer la douleur de l'otite qui semble très importante selon notre pédiatre. Ma fille dormira 5h d'affilées, puis 13h. Après, il n'y paraitra plus. Tout rentrera dans l'ordre.
Que conclure de cette triste histoire, certes qui se finit bien, mais tellement stressante et ayant mobilisé tellement de monde (et d'argent !) pour rien ? Que les 2 premiers médecins ne sont pas très compétents, surtout le second, qui est tout de même pédiatre (c'est en tout cas ce qu'on nous a dit, on finit par se demander si c'était pas juste le vigile qui avait mis une blouse). Que je vais pourrir par courrier la BAL du directeur de l'hôpital, au moins pendant quelques temps. Que j'admire toujours autant les médecins, mais que je suis déçu de voir qu'après tant d'années d'études, certains manquent simplement de bon sens, et d'empathie (mais qui suis-je pour dire ça collègues et ami(e)s médecins qui passez par là ?). Que je suis très heureux d'avoir ma pédiatre car elle est vraiment top, et qu'elle, elle connait son métier (et te l'explique en plus). Et que je vous souhaite vraiment, à tous, chers parents, de ne pas vivre ça. Ce moment où vous avez l'impression que ce que vous aimez le plus fort au monde, peut disparaitre.
Cet épisode m'amènera tout de même un moment de bonheur inédit. Lorsque tout fut rentré dans l'ordre, que les choses furent retombées, et que ma fille reprit du poil de la bête, je me mis doucement à pleurer dans sa chambre, devant elle. Du haut de ses 15 mois, elle vint me consoler en me faisant un câlin. #priceless
23h :
J'appelle donc le SAMU pour avoir un avis médical (les seuls à vous passer un médecin). Le médecin qui prend mon appel, m'indique qu'il préfère que ma fille soit auscultée, et qu'il m'envoie quelqu'un.
0h30 :
Le médecin arrive. Après un bref (trop bref à mon goût !) examen, son diagnostic tombe : une scarlatine selon lui. Il ne peut en être certain mais nous envoie sur les urgences pédiatriques à l'Institut Hospitalier Franco-Britannique, 4 rue Kléber à LEVALLOIS (92300). Retenez bien l'adresse car je vais vite vous déconseiller d'y aller.
1h20 :
On arrive sur place, il pleut des cordes, bébé est très fiévreux, il ne faut pas le couvrir. Dilemme, même si tu sais que tout ça c'est pas le plus important. Accueil moderne, dans un lieu moderne. Claque aux idées reçues : il n'y a personne ! On est pris en charge tout de suite, infirmière hyper sympa qui fait les premiers tests, puis direction la salle 1 pour y attendre le médecin. Équipement moderne et classique : un lit, quelques appareils... Mais on s'en fout, on n'est pas là pour visiter. Le pédiatre arrive. Hautain, silencieux, peu rassurant, pas sympathique, non souriant... Il examine à peine ma fille, mais un peu quand même : oreilles (très important), gorge, thorax... Il écarte directement la scarlatine, qualifiant le diagnostic de son collègue de farfelu. Une dose de primalan pour l'urticaire, et ça devrait aller mieux. Ok, un problème de réglé. Et pour la fièvre ? Aucune idée, à part mes théories (et je suis pas médecin, hein !). On va faire une analyse d'urine me dit-il. L'infirmière pose la poche, et il se casse. Durée de l'entretien : 5 minutes. Rien de rasurant, rien d'humain. Après, si tu trouves mon gars, t'es pardonné. Mais il ne reviendra pas.
3h10 :
Après 2h, nue avec sa poche, ma fille n'a toujours pas uriné. Elle est crevée, pas bien, et nous, pas beaucoup mieux. Indice : quand tu as eu 40° de fièvre, tu as plus beaucoup d'eau, donc, essayer de te faire pisser ça va être dur. Mais ça, bien sûr, tu ne le sauras qu'après. Donc, on décide de partir. Ils nous laissent (rassurant selon certains parents, car si tu pars, c'est que c'est pas grave).
4h :
Ma fille est au lit. Elle ne va pas beaucoup dormir.
8h :
Réveil difficile, la fièvre est revenue, l'urticaire a presque disparu. Je n'ai pas dormi (pas pu). Je prends RV avec NOTRE pédiatre. Elle me recevra dans la matinée.
11h :
Débarquement chez le pédiatre, explications, histoire depuis le début. Calme, elle examine (mais vraiment elle, elle connait son boulot et elle le fait bien, merci Dr. F. si vous passez par là !) ma fille. Le diagnostic tombe après, allez, 20 secondes : énorme et belle otite (qui explique donc la fièvre) et urticaire infectieux (suite au vaccin, infections virales...) ET mécanique (énervement). Tout va bien.
13H :
On commence les antibios (Amoxicilline 150 mg), on continue le primalan, et un peu d'Advil pour atténuer la douleur de l'otite qui semble très importante selon notre pédiatre. Ma fille dormira 5h d'affilées, puis 13h. Après, il n'y paraitra plus. Tout rentrera dans l'ordre.
Que conclure de cette triste histoire, certes qui se finit bien, mais tellement stressante et ayant mobilisé tellement de monde (et d'argent !) pour rien ? Que les 2 premiers médecins ne sont pas très compétents, surtout le second, qui est tout de même pédiatre (c'est en tout cas ce qu'on nous a dit, on finit par se demander si c'était pas juste le vigile qui avait mis une blouse). Que je vais pourrir par courrier la BAL du directeur de l'hôpital, au moins pendant quelques temps. Que j'admire toujours autant les médecins, mais que je suis déçu de voir qu'après tant d'années d'études, certains manquent simplement de bon sens, et d'empathie (mais qui suis-je pour dire ça collègues et ami(e)s médecins qui passez par là ?). Que je suis très heureux d'avoir ma pédiatre car elle est vraiment top, et qu'elle, elle connait son métier (et te l'explique en plus). Et que je vous souhaite vraiment, à tous, chers parents, de ne pas vivre ça. Ce moment où vous avez l'impression que ce que vous aimez le plus fort au monde, peut disparaitre.
Cet épisode m'amènera tout de même un moment de bonheur inédit. Lorsque tout fut rentré dans l'ordre, que les choses furent retombées, et que ma fille reprit du poil de la bête, je me mis doucement à pleurer dans sa chambre, devant elle. Du haut de ses 15 mois, elle vint me consoler en me faisant un câlin. #priceless
Ouh c'est émouvant tout ça. J'ai très peur que cela nous arrive aussi. Surtout dans un pays qui n'est pas le mien et une langue que je ne maîtrise pas parfaitement. Mais je crois qu'on deplacerait des montagnes dans ces cas là. En tout cas je suis contente pour vous que tout soit rentré dans l'ordre.
RépondreSupprimerTrès émouvant...
RépondreSupprimerSuivre heure par heure est vraiment très saisissant !
De mon côté, je retiens également qu'il est sacrément rassurant d'avoir un médecin/pédiatre de référence disponible et en qui on a confiance.
Je vais d'ailleurs faire lire ton article à ma femme médecin..
Article très analytique mais très personnel à la fois. Belle prose! M'enfin, là n'est pas le plus important.
RépondreSupprimerJe suis ravi que tout aille à nouveau pour le mieux. J'imagine bien toutes les émotions traversées.
Nous avons déjà eu affaire à des médecins peu sympathiques/emphatiques et (pire) peu performants. Nous sommes alors ravis de retrouver notre médecin traitant qui s'occupe tellement bien de notre petit bout.
Quel stress effectivement ! C'est à se demander où certains ont eu leur diplôme :-( quant au côté humain, n'en parlons même pas. Nous n'avons jamais vécu les urgences mais nous avons vécu 3 semaines d'hôpital pour notre Schtroumpf et pas facile. Nous sommes tombé sur des étudiants qui ne savaient même pas branché l'appareil de contrôle. Dur à vivre en tant que parent devant notre petit qui souffre. Contente de lire que la pitchounette va mieux, c'est le plus important. Bonne continuation à vous.
RépondreSupprimerLa visite aux urgences est souvent un passage obligé pour un parent. L'angoisse, l'inquiétude je l'ai vécu pas mal de fois. Parfois, je suis tombé sur les bons et parfois les mauvais.
RépondreSupprimerJ'ai un pédiatre et un médecin généraliste en qui j'ai confiance et j'essaye d'anticiper et d'aller consulter durant leurs horaires d'ouverture.
Tout est rentré dans l'ordre et c'est l'essentiel.
J'ai versé ma larme sur ta dernière phrase. Très émouvant.
ha en effet, vlà la dose de stress!! pff... je ne m'attarderais pas sur les médecins mais je crois bien que mon homme aurait fait un scandale! la fin est vraiment trop choupinette :-))
RépondreSupprimerje me rappelle avoir lu quelques twweets angoissés ce soir là.
RépondreSupprimerchez nous 1 soirée urgence (chute depuis le lit , sur la tête) , 2h d'attente au milieu des gamins qui vomissaient partout (youpi epidemie de gastro) , mais heureusement un medecin efficace au final.
Le bonheur des urgences avec bébé... moi, j'ai déjà connu ça et je ne le souhaite à personne !
RépondreSupprimerL'attente, la boule au ventre, les questions qui tournent... ça me fait froid dans le dos rien que d'y penser !
Biz à ta princesse
Si ça peut te rassurer, ces angoisses épouvantables sur le 1er enfant malade , le choc devant le système médical inégal en France où on passe du meilleur au pire en permanence, mais surtout, où on trouve trop souvent des médecins bourrés de certitudes (et donc très souvent d'autant d'arrogance) quand la médecine n'est pas une science exacte... s'estompe avec les suivants (j'en ai 4 maintenant): on a appris à faire confiance à son instinct de parent plus qu'à tout autre chose, on sait ce qu'on peut attendre (ou pas) des médecins, et on fuit les systèmes d'urgence (tout ce qui n'est pas le médecin habituel donc), que ce soit hôpital ou SOS médecins, comme la peste.
RépondreSupprimer(Expérience traumatisante sur le 1er enfant : pyélonéphrite à 11 mois - plus jamais remis les pieds aux urgences depuis, sauf en prestation de service (radio) sur un diagnostic déjà connu, pourvu que ça dure)
Cher papa,
RépondreSupprimerJe viens de lire ton témoignage qui date de l année dernière sur la réaction au priorix de votre petite fille qui j espère va très bien aujourd'hui !! Très émouvant les larmes coulent alors que j écris... Ma petite fille de 12 mois vient de vivre la même chose horrible. Elle a eu priorix lundi après midi et la nuit même jusqu au lendemain fièvre environ 38,5 rien d inquiétant apriori après un vaccin. Le mercredi tout est ok sauf que vendredi soir des petites plaques et boutons apparaissent sous les bras et le visage. Je commence à trouver étrange mais elle va bien alors je la couche après son bain comme d habitude. Puis elle pleure un peu dans son sommeil, je vais voir et là, la même vision d horreur : des plaques rouges partout sur le visage les poignets, mais comme elle dort bien et pas de fièvre, je n ose pas la réveiller et j appelle les urgences pédiatriques qui me disent que tant qu elle respire bien et pas de fièvre ça peut attendre le lendemain matin... Nuit blanche je vais la voir toutes les heures ça n empire pas. Le matin elle va bien mais au moment de lui changer sa couche c l horreur des plaques géantes sur tout le thorax et les jambes et les bras et tout gonflé ! Urgences direct, (j aurais préféré ma pédiatre mais pas le choix le samedi !!) ils diagnostiquent un urticaire et on rentre à la maison avec du primalan. Ça va mieux mais aujourd'hui dimanche les plaques ont laissé place à plein de boutons étalés plutôt clairs au milieu et rouges au bord donc je suis morte d inquiétude je me demande si c bien dû au vaccin (une réaction 5 jours après c un peu long comme délai pour une allergie) ou bien à quelque chose qu elle a mangé ! En même temps je me souviens qu suite à la première dose de priorix il y a 3 mois elle avais eu un mega érythème fessier avec des plaques identiques genre urticaire... Je ne crois pas à une coïncidence, et comme vous, je n ai confiance qu en ma pédiatre qui est vraiment géniale, je suis sûre qu elle va poser le bon diagnostic avec les soins adaptés, et je l appelle demain à la première heure ! Du coup j aimerias savoir si dans votre cas cette reaction etait bien due au vaccin priorix ? Comment votre puce a t elle réagi aux vaccins suivants ? C une grosse angoisse pour moi à présent, comme ça l a été pour vous .
Je m excuse de vous remémorer ces mauvais souvenirs vous avez raison il n y a rien de pire que de voir ses petits bouts souffrir c insupportable !! Je suis sûre néanmoins que vous comprenez ma détresse , enfin si vous lisez ce message ce qui est peu probable après tout ce temps. Votre témoignage m aide beaucoup en tout cas ce soir où attendre demain de voir ma pédiatre me paraît une éternité !!!
Alors merci et désolée pour ce gros paté que j ai écrit !
Bonjour chère madame,
SupprimerPas d'excuses à donner, par contre, sans mail, j'espère que vous lirez bien ma réponse.
Tout d'abord, concernant votre inquiétude sur les autres vaccins : cela n'a rien à voir. Ma file les a tous très bien tolérés, sauf celui-ci. Dont la place a d'ailleurs changé dans le calendrier vaccinal. Ceci expliquant sans doute cela.
Si vous lisez la notice, 5% des enfants peuvent être concernés par ce type de réaction qui, pr ce vaccin, intervient longtemps après en effet. Il n'y pas de réelle explication et je doute que votre pédiatre vous en donne une meilleure que la mienne : une sorte de réaction/développement de la maladie que le corps a eu du mal à gérer. Et en combattant devant, il a laissé le reste du fort sans surveillance. Conséquence : d'autres microbes peuvent avoir fait leur nid (comme ce fut le cas pour ma fille).
J'espère que votre petite fille va mieux, et rassurez-vous, la mienne n'en a gardé aucune séquelle, et va très bien. Je ne doute pas que ce sera la même chose pour vous.
Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas utiliser mon mail qui figure en haut à droite de ce site, à partir de n'importe quel page.
Amicalement,
ca ne m'etonne pas il ya bien des medecins qui ne connaissent mieux qu'un boulanger en matiere de medecine. je suis pharmacienne et etudiante en 4eme annee medecine et c'est moi souvent qui corrigeais pour le pediatre de mon enfants. oui c'est vrai,en ce qui concerne la bonne dose de medicament ou le medicament approprie ou encore plus le bon diagnostic ,je me trouve etonnee de voir mon pediatre commetant des erreurs. je remercie dieu d'etre dans le domaine de medecine pour pouvoir eviter les grosses betises,excusez moi de ce mot,les grosses betises que mon pediatre ou meme mon gynecoloque commettent souvent
RépondreSupprimerEncore beaucoup d'émotions dans ce post.
RépondreSupprimerJe retiens la bonne idée d'un pédiatre de garde, merci
J'espère que vous allez pouvoir repondre à ma question après tant d'années : vous parliait de la réaction de votre fille après le rappel du vaccin , mais en fait a-t-elle fait une réaction après la première injection? je dois faire le rappel du ROR à mon fils mais j'hésite beaucoup, vu qu'après la première injection il a mal réagi.
RépondreSupprimermerci
Bonjour,
SupprimerOui elle a réagi à la 1ère injection également. Ma seconde a fait pareil mais j'ai été plus précautionneux : vaccin en période chaude et de beau temps = moins de microbes et pas de crèche à la période de réaction (réccurente) à J+5. Ce vaccin crée souvent des réactions car c'est un vaccin avec une souche vivante. Bon courage pour la 2nde injection.