23/07/2012

Les dents, cette histoire sans fin...

Les dents. Il n'y a pas grand chose à ajouter en introduction en fait. Les dents de nos chers bambins qui leur causent tant de souffrance (une souffrance si bien décrite par "Je suis papa") n'ont pas fini de nous en faire voir de toutes les couleurs. Et pour cause : jusqu'à 3 ans environ, ils doivent nous sortir une vingtaine de dents ! Et si 3 ans ça passe vite, et bien, une dent, elle, ça ne pousse pas très vite :-/ 

Dents de bébé

Résumons, en gros : 8 incisives, 4 premières molaires, 4 canines, et re 4 molaires. Il y a de quoi faire ! Les molaires étant connues comme étant les plus douloureuses (j'en suis à 6, donc, je suis pas sorti de l'auberge). Bien entendu, les sorties dentaires sont imprévisibles, et entrainent des réactions totalement différentes et pas forcément récurrentes chez les enfants. J'ai ainsi vu certains parents collègues m'annoncer qu'ils n'avaient même pas vu les dents de leur enfant sortir, tellement celui-ci ne s'était jamais plaint (#WTF j'ai envie de dire, mais bon, tant mieux pour eux et le bout'chou en même temps). Tandis que certains me décrivent l'apocalypse (selles liquides, fesses irritées, nez coulant, faible fièvre, bave, nuits impossibles...) à laquelle je semble (pour le moment) avoir échappé.

Car oui, de mon coté, on s'en rend compte, mais ce n'est pas encore non plus la cata. En résumé, chez la mienne, cela se traduit surtout par de la nervosité, de l'irritabilité (mais oui, madame a déjà son petit caractère), le tout signifié par des signes classiques : je mords et je mange beaucoup, je bave un peu, et je chope tous les virus qui passent car je suis fragilisée et surtout, j'empêche mes parents de dormir (ça, c'est le must).

Le constat est donc posé : les dents, c'est la m.... et on sait jamais quand ça va s'arrêter (si, à 20, je l'ai déjà dit, faut suivre :-). A partir de là, que peut-on faire pour soulager nos bambins, ou, à défaut, atténuer un minimum leur douleur.

Dans l'auto-médication légère, on a (testé et pas approuvé par votre serviteur, mais je ne parle que pour mon cas, chaque cas est différent) :
- Gel dentaire de base : ça marche à 3 mois, après, que dalle !
- Dolodent : ça m'a semblé un peu plus efficace, mais avec effet plus court

Doliprane enfant

Bref, passé ces choix, il ne reste pas grand chose, à part, le Doliprane (100 ou 150 mg selon l'âge et le poids), en suppositoire pour une action rapide, seul remède qui ait réellement été efficace et a permis à ma fille de faire quelques nuits réparatrices, pour notre plus grand bonheur du coup, puisqu'on a AUSSI pu dormir !

Après, le problème, c'est qu'on n'est pas sûr à 100% que ce soit les dents. Et puis, le Doliprane en masse, c'est pas super non plus. Donc, on y va avec parcimonie, on tente tout avant, et on finit par ça, lorsqu'on est au point de rupture. Et une fois qu'une dent a percé, on soupire de soulagement, le temps d'attendre la suivante (ou les suivantes, dans mon cas, elle les fait 2 par 2).

En conclusion, vivement les 20 dents, que je sache enfin quel est le caractère de ma fille quand elle n'est pas e...... par les dents. et si vous avez des suggestions pour des trucs que je n'ai pas encore essayé, je suis preneur.

05/07/2012

Bébé et sa santé : comment conserver ces données ?

Ma puce vient de fêter ses 1 an. 1 an c'est rien, et en même temps, vu tout ce qu'on a vécu, c'est juste énorme. A commencer par la santé de bébé, toutes les maladies, petits bobos... qu'elle a vécus au cours de cette année écoulée.

Une année riche en intensité donc, car la santé de nos enfants est surement ce qui nous touche le plus au final. C'est aussi ce qui nous inquiète le plus, ce qu'on ne voudrait pas revivre, ce qui nous épuise et nous vide. Ce sont ces moments où l'on voudrait "prendre leur douleur", comme en a si bien témoigné @jesuispapa.

Carnet de santé

Et à chaque épreuve, on se dit qu'on en sort un peu plus fort, que la prunelle de nos yeux s'est forgée de nouvelles défenses immunitaires et que la crèche n'a qu'a bien se tenir, même si au final, 2 semaines plus tard, rebelote !

Mais au delà de ça, ce qui importe le plus, c'est de transformer cette (très) désagréable expérience en un essai gagnant, en archivant ces données, et en étant ainsi mieux préparé face à une nouvelle attaque virale ou bactérienne. C'est ce qu'on appelle dans le jargon de mon métier le REX ou Retour d'Expérience.

Et c'est là finalement que le bât blesse : on oublie.... tout (ou presque) ! Et on a beau se dire qu'on ne sera pas comme ses parents, ses amis (qui en ont déjà 3 et dont le dernier a 4 ans), ses connaissances, ses collègues parents d'ados.... qui semblent avoir tout oublié des premières couches aux premières gastros, en passant par les dents, finalement, si, on oublie nous aussi.

La solution pour éviter cela ? Elle m'est apparue très rapidement évidente : les nouvelles technologies. Alors, au début, je me suis lancé dans un complexe tableau excel où j'ai croisé les données sur la fièvre, les maladies, les traitements, l'homéopathie.... Je dois l'avouer : j'ai tenu 3 mois et le dernier remplissage remonte (je crois) à janvier. Car on a beau se faire toutes ses solutions techniques, y mettre toute la bonne volonté du monde, au final, c'est comme ces articles sur ce blog : on manque de temps ! ! !

Mais, finalement, alors que j'avais presque renoncé et que je pensais que son carnet de santé avec l'écriture illisible des différents médecins serait ma seule trace d'archive, la solution m'est apparue au milieu de mon outil quotidien : une application iphone !

J'ai donc d'abord commencé par faire un longue recherche sur les blogs, dans l'appstore... avant de faire mon choix. Au final, ce fut l'application Bébé Connect qui remporta mon vote (et mon paiement pour la somme de 3,99 €). Et je dois dire que malgré quelques écueils et quelques bugs, quelques manquements que j'espère il ne manqueront pas de corriger, pour le reste, c'est plutôt bien fait. Ainsi, taille, poids, fièvre, traitements, doses... tout est personnalisable, s'archive et se synchronise pour une sauvegarde régulière. Un bon moyen de me souvenir, et de garder une trace de tous ces (mauvais) moments, pour pouvoir mieux les affronter la prochaine fois. Sauf si elle ne tombe plus jamais malade, qui sait, on peut rêver ? :-)

25/04/2012

Consulter un pédiatre ou un médecin... sur internet, c'est possible !

Devenu papa il y a peu, je ne vous cacherai pas que ma première angoisse fut celle (comme beaucoup de parents je n'en doute pas) de la santé de ma fille. Si elle avait de la fièvre, si elle venait à vomir, si elle avait un bouton, une piqure de moustique (ce fut un bébé d'été)....  Certes, il y a les visites chez le pédiatre au début (mais bon, pas plus d'une fois par mois finalement), à la PMI (une fois toutes les 2 semaines) qui sont là pour nous rassurer. Le temps était beau, pas de vie en collectivité, un allaitement supposé protéger et donner une certaine immunité....

Mais malgré cela, pour un premier enfant, il reste TOUTES les autres questions : celles du quotidien, des petites choses, des petits détails... Celles où l'on se demande si on a pris le bon liniment, si le parfum (le notre) ne peut pas indisposer bébé, ou encore pourquoi le cérumen coule de ses oreilles tel une fontaine de miel (désolé pour l'image, mais c'était un peu ça).

Croix Rouge

Car, bien entendu, je me connais, et donc je me soigne : pas question de filer chez le pédiatre pour la moindre question. Ma chère et tendre, ainsi que mes proches, étaient d'ailleurs là pour me le rappeler.

C'est alors que j'ai découvert que ma mutuelle (que je ne citerai pas) m'offrait un service bien original et bien pratique, dans l'ère du temps : un médecin (un vrai !) qui répond personnellement à mes questions, via un site internet et un espace privé dédié. Le site en question : Médecin direct (www.medecindirect.fr)

Avant de vous en dire un peu plus, je vous rassure tout de suite : ce post n'est PAS SPONSORISE ! J'ai juste décidé de parler de ce service spécifique (il en existe surement d'autres) car je l'utilise beaucoup (surtout pour la partie pédiatrie, je ne vous le cache pas) et que j'en suis très satisfait. Il correspond d'ailleurs beaucoup mieux à mes attentes et est de loin bien plus performant que tous les forums d'échanges qui, certes, peuvent apporter une réponse récurrente dans le flot des posts, mais n'ont pas vraiment de fondement médical, et surtout, ne sont pas adaptés à une situation spécifique.

Car, qu'il s'agisse de votre enfant ou de vous, vous êtes 2 personnes à part entière : avec un passif médical, physique, psychique, géographique... Et c'est là tout l'avantage de ce service : vous expliquez au médecin ou au spécialiste (plus de 15 spécialités au total, de la pédiatrie à la traumatologie, en passant par l'homéopathie et la nutrition) votre cas PERSONNEL ! Et ce dernier vous réponds (sous 48 heures en général), en s'appuyant sur ces données. De plus, il dispose des anciens échanges, et du coup, peut effectuer un certain suivi.

Ainsi, pour ne citer que lui, le pédiatre qui me réponds est toujours le même et commence, en conséquence, à cerner les petits tracas de ma fille, la personnalité du papa (un peu angoissé ? :-)... De plus, une réponse peut appeler une autre question, et la conversation possède donc son propre suivi, avec la même personne, avec le même médecin. Un atout essentiel et incontournable dans l'avènement de la télémédecine.

Autre chose, pour ceux qui préfèrent un contact plus "humain" : le médecin peut vous rappeler, sur un téléphone fixe (pas de portable) sur une plage horaire définie par vous-même. La conversation peut donc durer un certain temps, et vos questions trouver des réponses précises.

Après, et c'est là la limite de ce service qui le précise bien : ce n'est pas un service d'URGENCE ! Si votre enfant a 40° de fièvre, ou d'autres symptômes inquiétants (c'est aussi valable pour vous en tant qu'adulte), ce service ne vous sera d'aucune utilité, et seule une consultation auprès de votre pédiatre ou médecin attitré pourra vous permettre de poser un véritable diagnostic.

Cela fait à présent un peu plus d'un an que j'ai recours à ce service de confort, et j'en suis très satisfait. Même si parfois, il faut bien le dire, comme dans la vie normale, votre instinct et votre choix de parent restera la meilleure solution.

03/04/2012

Partir à la Réunion avec un bébé

Il y a quelques années, j'ai eu l'immense chance de découvrir cette magnifique île qu'est la Réunion. 10 ans plus tard, j'ai décidé d'y retourner, mais avec un petit changement notable : un bébé de 9 mois dans mes bagages :-)

Mais reprenons du début : alors que je cherchais une destination soleil, pas trop onéreuse, pas trop risquée sanitairement, avec pas trop de décalage horaire, et que j'arpentais les blogs spécialisés (très décevants au passage sur le sujet), et que je commençais à désespérer, mes pensées ont tout à coup fini par converger vers la même destination : la Réunion.

Petits pieds dans le sable

Pourquoi ce choix au départ ? Et bien, par rapport à mes demandes énoncées précédemment, il s'agit d'un DOM (Département d'Outre Mer) et donc disposant de toutes les infrastructures de la métropole, avec un faible décalage horaire (2 heures seulement en heure d'été), et disposant d'un climat sympathique, sans épidémie ou maladie tropicale à risque pour le bébé.

Première étape : les billets d'avion
En fait, comme d'habitude, nous sommes passés par le site edreams qui, en matière de prix, reste encore une fois le moins cher. Par contre, parmi les multiples propositions, nous avons retenu celle avec Air France, car le vol (11 heures tout de même en moyenne) se fait de nuit. Un avantage non négligeable avec un bébé, qui ne paye pas, mais peut disposer, à votre demande, d'une nacelle. Il s'agit d'une sorte de petit lit, qui est installé devant vous, et dans lequel vous pouvez coucher bébé. Ce qui vous laisse un peu de place et de temps pour vous, car sinon, 11 heures avec bébé sur les genoux, ça se fait mais c'est pas top (surtout avec un bébé agité comme le mien !). En cas de turbulence (légère), vous pouvez attacher bébé dans sa nacelle.
Coté pratique, il n'y a pas grand chose à redire sur le service : biberon chauffé à la demande, plateau repas bébé si nécessaire, eau minérale disponible à volonté, table à langer dans chaque toilette... De notre coté, si le vol retour s'est fait sans encombre (bébé a dormi du début du vol jusqu'à une heure avant l'arrivée), l'aller fut plus agité, bébé ayant décidé de faire... sa première dent !

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Enfin, coté prix, il vous faudra compter (hors période scolaire) pour le mois de mars, environ 800 € aller/retour chez Air France, plus vers les 600 € chez Corsair, hors vol de nuit.
A noter au niveau des bagages, que vous avez le droit à 23 Kgs par personne, plus 10 Kgs pour le bébé. La poussette peut être embarquée en plus. Par contre, vous ne pouvez pas cumuler le poids des bagages. Ainsi, une valise à 30 Kgs et une autre à 16 ne passera pas. C'est une exigence Air France, que je ne comprends pas trop d'ailleurs, mais c'est comme ça : mieux vaut 3 sacs qu'une grosse valise (d'où la grosse voiture à suivre :-)

La location de voiture :
Uns fois sur place, il faut bien se déplacer. Et même si je suis très écolo, l'ïle de la Réunion n'est pas connue pour la qualité de ses transports en commun. Nous avons donc loué une voiture, une Dacia Duster, chez "Rent a car" (le moins cher dans mes comparaisons), car les bagages de bébé, ça prend de la place (la poussette surtout). Le siège auto vous est fourni moyennant supplément au moment de la réservation. Toutes les tailles existent : du siège adapté au nouveau né dos à la route, au rehausseur classique pour les plus grands.

Dacia Duster

Le lieu de résidence :
Ce n'est pas le choix des locations qui manque à la Réunion ! Mais avant de trouver son bonheur, il faut d'abord savoir où l'on veut séjourner, et dans quel type de complexe : hôtelier, village vacances, camping, villa... 
De notre coté, nous avons fait le choix de St Gilles les Bains, car nous étions ainsi à proximité de 2 des plus célèbres plages de la Réunion (L'hermitage et Boucan Canot), à un endroit stratégique si nous décidions de bouger un peu. Il faut savoir que malgré ce que l'on croit, peu de plages sont autorisées à la baignade à la Réunion, pour cause de risque de noyade et/ou de requin (environ 10 à 15 accidents par an avec les requins). Et les plages les plus sécurisés (naturellement grâce à la barrière de corail), sont dans ce coin là.

Villa

Au niveau du type d'habitation, notre choix s'est porté sur une maison/villa, avec piscine. J'avais trouvé l'annonce sur "Le Bon coin", mais la location était également disponible ici. Nous avons fait ce choix pour être indépendant niveau repas, pouvoir préparer les repas de bébé quand nous le souhaitions (surtout lui en fait :-). De plus, la location nous fournissait également le lit bébé et la chaise haute pour les repas. La piscine privé nous a permis d'initier bébé à l'eau à notre rythme, sans la présence d'autres touristes que cela aurait pu gêner. A l'arrivée, cela nous a couté 1 100 € la semaine (à 2 couples car c'était une grande villa). Une somme plus qu'amortie grâce aux repas préparés soit même, qui diminuent les coûts.

Que faire avec bébé ?
La vie à la Réunion se vit très simplement : le soleil se lève tôt, et se couche tôt, et avec le petit décalage horaire, et le rythme de bébé, on prend très rapidement le rythme du soleil. Conséquence : des journées qui défilent, à déguster des rafraichissements au bord de la piscine sous un 35° à l'ombre bien ventilé. Bref, on pourrait presque ne rien faire d'autre... Mais là encore, tout dépend de l'âge du bébé, du temps où vous restez, et de votre propre motivation. 
Dans le plus incontournable, beaucoup de gens tentent les cirques, et randonnent avec un sac à dos spécial bébé. Ça se fait, mais il faut partir tôt, s'armer de courage, et être au top sur la logistique, notamment au niveau des repas de bébé. Car chauffer le biberon en pleine randonnée au milieu du volcan, ça le fait pas du tout !

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De notre coté, je ne vous cacherai pas que nous ne l'avons pas tenté : manque de temps, déjà fait pour moi (égoïste je sais :-), et logistique trop compliqué avec un bébé encore trop petit à mon avis. Par contre, nous avons fait pas mal de marchés (St Paul, St Gilles...), ce qui a bien plus à bébé. Les marchés locaux constituent non seulement une attraction touristique qui plait à bébé, mais également un reflet de la société réunionnaise, de ses productions, de sa culture.... Avec un aspect développement durable non négligeable, puisque ce que vous y achetez y est produit on ne peut plus localement.

Restaurant "Le DCP", St Gilles les Bains

Nous avons également fait l'aquarium de la Réunion à St Gilles les bains, et tenté 2 fois un restaurant, que vous recommande : le DCP.

Aquarium de la Réunion

Conclusion :
Une destination à faire donc, et à refaire. Si vous êtes un peu frileux pour vous lancer, n'hésitez pas à me poser vos questions en commentaires, ou par mail, ou par twitter. Je tacherai de compléter mon article ci-dessous avec quelques astuces, détails et autres conseils pratiques qui me reviendraient au fur et à mesure.

Lézard réunionnais

Bon à savoir / détails pratiques :
- L'aéroport de St Denis de la Réunion comporte, après le passage de la sécurité, une salle de bain pour bébé (avec baignoire, espace à langer...), très pratique après une journée dans la moiteur et sans point de chute, et un chauffe-biberon, peu visible et disponible près du bar au fond à droite dans le hall.

25/03/2012

Le Rexy club et les soirées polonaises...

J'ai tenté samedi soir, les soirées polonaises du Rexy Club, un bar-boite situé dans le 1er arrondissement, rue de la Grande truanderie.


Déjà, au départ, difficile d'avoir des infos. Les soirées polonaises ont été relayés dans un supplément Zurban spécial Pologne daté de 2006. Donc, à moins de ne pas avoir raté le numéro, il ne reste que quelques bribes d'infos sur le site officiel du club ici. De plus difficile de s'y retrouver entre les soirées polonaises, les soirées russes et les soirées roumaines, annoncées elles aussi également, le samedi soir. Et sur le net, les autres soirs sont essentiellement consacrées aux soirées gays, ou aux soirées célibataires, sans oublier les after before, très tendances (soirées post 5h30 du matin).
Bref, j'ai tenté, et j'ai apprécié. L'ambiance est, globalement, assez bon enfant, même si on ne peut pas parler d'ambiance avant facile 1h30 voir 2h du matin, y compris au niveau de la musique, plutôt tendance "soupe" que house. Les consommations restent globalement assez chères (ou devrais-je dire, le prix d'un club normal). Il vous faudra donc débourser pas moins de 8 euros pour une bière 100% polonaise (Tyskie ou Zywiec).
Au niveau de la piste de danse, 2 ambiances différentes (une à l'étage et une au sous sol), de grandes glaces pour se voir danser (très apprécié par les polonais) et de la place pour remuer (même si j'ai testé en plein mois d'aout).
Voilà, si vous testez, n'hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous en avez pensé. De mon coté, je retenterai en septembre, je pense, histoire d'avoir un autre point de vue à une autre période de l'année.

Rexy Club
Soirées polonaises du samedi soir, à partir de 23 heures
9, rue de la Grande Truanderie
75001 PARIS
M° : Etienne Marcel
Entrée : 15 € avec conso
Gratuit pour le filles

17/02/2012

Le restaurant "Brown"

Le 3ème et dernier restaurant que j'ai testé à Barcelone est le restaurant Brown. Dans un tout autre genre, très chic et un peu plus cher, ce dernier vous accueille dans un cadre très chic, très cosy. Les plats sont variés, et savoureux. Le service est exemplaire, et le vin délicieux. Le cadre est hyper romantique, avec une ambiance feutrée, et une grande vitre donnant sur la rue. A tester les yeux fermés, mais prévoir un budget plus large (environ 30 euros par personne minimum).

Pour vous loger dans le coin et dans ce quartier très sympathique et très cossu, vous pourrez trouver de nombreuses locations à prix raisonnables sur le site de Housetrip, même si vous avez décidé de visiter Barcelone en famille :-)


Le plan et la carte pour localiser le restaurant, ainsi que les coordonnées complètes :

Billets antérieurs