Les dents. Il n'y a pas grand chose à ajouter en introduction en fait. Les dents de nos chers bambins qui leur causent tant de souffrance (une souffrance si bien décrite par "Je suis papa") n'ont pas fini de nous en faire voir de toutes les couleurs. Et pour cause : jusqu'à 3 ans environ, ils doivent nous sortir une vingtaine de dents ! Et si 3 ans ça passe vite, et bien, une dent, elle, ça ne pousse pas très vite :-/
Résumons, en gros : 8 incisives, 4 premières molaires, 4 canines, et re 4 molaires. Il y a de quoi faire ! Les molaires étant connues comme étant les plus douloureuses (j'en suis à 6, donc, je suis pas sorti de l'auberge). Bien entendu, les sorties dentaires sont imprévisibles, et entrainent des réactions totalement différentes et pas forcément récurrentes chez les enfants. J'ai ainsi vu certains parents collègues m'annoncer qu'ils n'avaient même pas vu les dents de leur enfant sortir, tellement celui-ci ne s'était jamais plaint (#WTF j'ai envie de dire, mais bon, tant mieux pour eux et le bout'chou en même temps). Tandis que certains me décrivent l'apocalypse (selles liquides, fesses irritées, nez coulant, faible fièvre, bave, nuits impossibles...) à laquelle je semble (pour le moment) avoir échappé.
Car oui, de mon coté, on s'en rend compte, mais ce n'est pas encore non plus la cata. En résumé, chez la mienne, cela se traduit surtout par de la nervosité, de l'irritabilité (mais oui, madame a déjà son petit caractère), le tout signifié par des signes classiques : je mords et je mange beaucoup, je bave un peu, et je chope tous les virus qui passent car je suis fragilisée et surtout, j'empêche mes parents de dormir (ça, c'est le must).
Le constat est donc posé : les dents, c'est la m.... et on sait jamais quand ça va s'arrêter (si, à 20, je l'ai déjà dit, faut suivre :-). A partir de là, que peut-on faire pour soulager nos bambins, ou, à défaut, atténuer un minimum leur douleur.
Dans l'auto-médication légère, on a (testé et pas approuvé par votre serviteur, mais je ne parle que pour mon cas, chaque cas est différent) :
- Gel dentaire de base : ça marche à 3 mois, après, que dalle !
- Dolodent : ça m'a semblé un peu plus efficace, mais avec effet plus court
Bref, passé ces choix, il ne reste pas grand chose, à part, le Doliprane (100 ou 150 mg selon l'âge et le poids), en suppositoire pour une action rapide, seul remède qui ait réellement été efficace et a permis à ma fille de faire quelques nuits réparatrices, pour notre plus grand bonheur du coup, puisqu'on a AUSSI pu dormir !
Après, le problème, c'est qu'on n'est pas sûr à 100% que ce soit les dents. Et puis, le Doliprane en masse, c'est pas super non plus. Donc, on y va avec parcimonie, on tente tout avant, et on finit par ça, lorsqu'on est au point de rupture. Et une fois qu'une dent a percé, on soupire de soulagement, le temps d'attendre la suivante (ou les suivantes, dans mon cas, elle les fait 2 par 2).
En conclusion, vivement les 20 dents, que je sache enfin quel est le caractère de ma fille quand elle n'est pas e...... par les dents. et si vous avez des suggestions pour des trucs que je n'ai pas encore essayé, je suis preneur.
Car oui, de mon coté, on s'en rend compte, mais ce n'est pas encore non plus la cata. En résumé, chez la mienne, cela se traduit surtout par de la nervosité, de l'irritabilité (mais oui, madame a déjà son petit caractère), le tout signifié par des signes classiques : je mords et je mange beaucoup, je bave un peu, et je chope tous les virus qui passent car je suis fragilisée et surtout, j'empêche mes parents de dormir (ça, c'est le must).
Le constat est donc posé : les dents, c'est la m.... et on sait jamais quand ça va s'arrêter (si, à 20, je l'ai déjà dit, faut suivre :-). A partir de là, que peut-on faire pour soulager nos bambins, ou, à défaut, atténuer un minimum leur douleur.
Dans l'auto-médication légère, on a (testé et pas approuvé par votre serviteur, mais je ne parle que pour mon cas, chaque cas est différent) :
- Gel dentaire de base : ça marche à 3 mois, après, que dalle !
- Dolodent : ça m'a semblé un peu plus efficace, mais avec effet plus court
Bref, passé ces choix, il ne reste pas grand chose, à part, le Doliprane (100 ou 150 mg selon l'âge et le poids), en suppositoire pour une action rapide, seul remède qui ait réellement été efficace et a permis à ma fille de faire quelques nuits réparatrices, pour notre plus grand bonheur du coup, puisqu'on a AUSSI pu dormir !
Après, le problème, c'est qu'on n'est pas sûr à 100% que ce soit les dents. Et puis, le Doliprane en masse, c'est pas super non plus. Donc, on y va avec parcimonie, on tente tout avant, et on finit par ça, lorsqu'on est au point de rupture. Et une fois qu'une dent a percé, on soupire de soulagement, le temps d'attendre la suivante (ou les suivantes, dans mon cas, elle les fait 2 par 2).
En conclusion, vivement les 20 dents, que je sache enfin quel est le caractère de ma fille quand elle n'est pas e...... par les dents. et si vous avez des suggestions pour des trucs que je n'ai pas encore essayé, je suis preneur.
Ici, on a abandonné l'idée du collier d'ambre, trop risquée. En revanche, on lui donne de l'Advil pour remplacer le doliprane innefficace... et ça marche plutôt pas mal.
RépondreSupprimerDepuis 2 mois, miracle : les dents continuent de pousser mais plus de fièvre ni de douleurs trop aigues... on croise les doigts pour que ça dure !
on parie qu'après le dent il y aura un nouveau truc qui nous empêchera nous les parents d'avoir des nuits completes ?! :)
RépondreSupprimerIci on donne du Chamimilla mais en suppos c'est le seul truc qui fonctionne sur tit pimousse (sur le grand on connaissait pas donc doliprane) ;)
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