Le guide pratique de l'auto-entrepreneur

Si comme moi vous venez de prendre le statut d'auto-entrepreneur, alors vous savez sans doute que, malgré les apparences, tout n'est pas si simple en matière de gestion au jour le jour dans la gestion d'une micro entreprise. Les questions sont nombreuses, et comme souvent dans ce cas, pas souvent évidentes à trouver, notamment sur le net. Mieux vaut alors, dans ce cas là, se tourner vers des valeurs sûres, comme... un livre !

C'est de ce postulat que sont partis Gilles Daïd et Pascal Nguyên pour élaborer leur "Guide pratique de l'auto-entrepreneur", qui tient sur 192 pages. Cet ouvrage sera sans aucun coneste très utile à tous ceux qui souhaitent se lancer, ou viennent de se lancer, dans l’aventure entrepreneuriale, quel que soit leur régime de départ : étudiant, salarié, retraité, demandeur d’emploi, fonctionnaire...

Dans une approche très pratico-pratique, ce livre vous accompagnera dans vos démarches, ou que vous en soyiez dans vos projets, qu'il s'agisse encore de trouver une idée ou au contraire de gérer votre comptabilité au jour le jour. La classification et le chapitrage sont assez bien faits. Les aspects pratiques et réglementaires sont abordés le plus simplement possible, et toujours accompagné d'un exemple pratique, dans lequel on finit par se retrouver. L'ouvrage est complété par de nombreuses adresses et les réseaux qu’il faut connaître. Une synthèse donc, mais essentielle pour répondre aux questions que l'on se pose, et tordre le cou aux idées reçues, ainsi qu'aux nombreux courriers de sollicitations non désirés.

"Le guide pratique de l'auto-entrepreneur" De Gilles Daïd et Pascal Nguyên
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Comment faire un noeud de cravate double ?

Petite vidéo pratique qui vous expliquera comment faire un nœud de cravate double. Bon essayage !

Voyagez "easy" avec les guides de conversation Berlitz

Les vacances approchent, et donc, la plupart d'entre vous s'apprêtent à voyager. Mais, c'est bien connu, les français sont loin d'être les champions des langues étrangères, et se bornent souvent à parler la langue de Molière, quel que soit le pays où ils se rendent. Une façon un peu cavalière de visiter, les populations étant souvent sensibles à ce que quelques mots soient prononcés dans la langue du pays.

Pourtant, il n'est pas très compliqué de parler un tant soit peu la langue dans chaque pays où l'on se rend. Il existe en effet de nombreux guides de conversation de langues, presque toutes étant couvertes. Le plus célèbre éditeur reste sans nul doute Berlitz et ses petits guides au format poche, qui se glissent à l'intérieur de la veste, pas plus encombrants qu'un téléphone, et vous permettront de vous faire comprendre sur l'essentiel à peu près partout.

J'ai eu l'occasion de tester 2 d'entres eux : "Le guide de conversation et lexique pour le voyage - Polonais" et le "Guide de conversation et dictionnaire - Anglais".

Coté Polonais, le guide est organisé autour de 8 axes, aisément repérables sur la tranche à partir de 8 couleurs différents. On y trouve ainsi, entre autres, les expressions courantes, la thématique médecin, restaurant, visites touristiques... Pour l'anglais, c'est à peu près la même chose, sauf qu'à la fin, le lexique est remplacé par un mini-dictionnaire très complet pour son format.

Maintenant, ces 2 langues (même si le polonais comporte ses difficultés) restent écrites dans un alphabet lisible et compréhensible, même phonétiquement. Qu'en sera-t-il si vous décidez d'aller vous perdre à Pékin ?

Là encore, comme à son habitude, Berlitz innove, en lançant sa nouvelle collection Travel-bloc : il suffit maintenant de montrer sa question au premier interlocuteur étranger alentours pour être compris ! Conçu sur le principe "je montre, je parle", ce nouveau concept de guide de conversation se présente sous la forme d’un nuancier très maniable, qui fait un peu penser à ceux des incollables ou des Gafforisk de l'IFFO-Rmé. Chaque carte montre une expression : en français puis sa traduction en gros caractères, pour être lue facilement (en idéogrammes
pour le chinois) et sa transcription phonétique simple, pour la prononcer. Enfin, la phonétique en chinois reste pour moi tout sauf simple :-)

Collection Travel-bloc, « Je montre, je parle ! »
Langues disponibles : Anglais, Espagnol, Chinois.
Langues prévues à la rentrée : Arabe, Japonais et Russe.
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A partir de 9,45 € sur Amazon.fr

Mais où est passé l'argent de mon affiliation ?

Pour qui possède un site Internet, l'affiliation est un terme commun. Il s'agit, pour faire court, d'une démarche qui consiste à mettre un lien sur son site, vers un site marchand, et à chaque vente généré sur le dit site marchand via ce lien, vous percevez une commission. Un stratagème assez simple en apparence, où les 2 parties sont censées être gagnantes.

Oui, mais voilà, le tableau est loin d'être aussi rose, et l'affiliation possède son coté noir et obscur, qui peut être parfois très déplaisant. Petit tour d'horizon des problèmes récurrents, et des sites à éviter, comme ceux à fréquenter.

Tout d'abord, le premier problème récurrent à éviter, comme je l'avais déjà démontré avec mon article sur Zlio, même si le principe est un tout petit peu différent, c'est la prise en compte du clic, et des ventes. La plupart des plates formes d'affiliation vous rémunèrent à la vente. Mais voilà, malgré ce qu'on nous dit, la prise en compte du clic et/ou de la vente n'est pas si simple. Et il m'est arrivé à maintes reprises de le constater, en effectuant des ventes, via mon site, pour des amis ou pour moi-même, et que celles ci ne soient pas prises en compte ! Donc tout système d'affiliation est à surveiller comme du lait sur le feu... Veillez à consulter régulièrement la plate forme pour constater le nombre de clics, le nombre de ventes...

D'autre part, le commissionnement, déjà faible sur la plupart des plates formes ou sites marchands, s'accompagne également d'un paiement à plafond plutôt élevé ! En effet, comment espérer se faire un peu d'argent quand certaines plates formes comme Public Idées fixent un paiement à 100 euros ! La plupart nécessitent plus de 30 à 50 euros. Il n'y en a que très peu, comme Amazon par exemple, qui payent à 10 euros. Mais là encore, les commissions étant très faibles, le paiement ne sera pas plus rapide pour autant.

Et ne parlons pas des plates formes qui, après vous avoir fait signer un contrat en bonne et due forme, vous annule, du jour au lendemain l'accès à son affiliation et à sa plate forme, sous prétexte que vous ne rapportez pas assez ! Sans même vous avertir avec un courriel... Une expérience amère que j'ai eu cette fois avec Go Voyages qui avait pourtant un concept intéressant et un paiement sans minimum.

Donc, en résumé, et en conclusion, l'affiliation, c'est bien, mais il faut suivre ça de très près et faire un choix des différents sites que l'on sélectionne. Les plates formes communes restent de bons choix au niveau gestion, mais les seuils de paiements et la baisse de la commission font que, au final, je préfère gérer cela directement avec chaque site marchand, au cas par cas.

Acheter ou non un cadre numérique Telefunken, telle est la question...

Le titre ne pourrait être plus clair. Et pour cause... Voici un résumé rapide des faits. En juillet dernier (2008 donc), 2 amis décident de m'offrir lors d'une occasion spéciale un cadre numérique de la marque Telefunken, modèle 7001. Très beau cadeau je dois dire et qui correspondaient parfaitement à mes attentes de l'époque.
Néanmoins, je déchante très vite : malgré mes compétences informatiques loin du débutant de base, impossible de le faire fonctionner. Retour au vendeur (la FNAC) sure ce coup là. Le SAV teste et constate effectivement qu'il est impossible d'afficher une seule photo sur le cadre. Les clés USB, carte SD... ne sont pas lues. Le disque dur coupe les images en 2 en les absorbant. La FNAC me le remplace donc, non sans avoir testé celui qu'elle me refile.
Je l'installe cette fois-ci sans souci, y upload environ 30 photos, et c'est parti. Puis, hier, après quelques mois, je me lasse et me dis qu'il serait bien de changer les photos par une autre série. Quoi de plus normal n'est-ce pas ? Sinon, quel intérêt d'avoir un cadre numérique me direz-vous. Oui, mais voilà, à peine la série originale remplacée, à nouveau, impossible d'afficher une seule photo ! Pourtant, cette fois-ci, elles sont vues, et bien présentes sur le cadre. Mais rien à faire, pas de diaporama, idem en passant par une clé usb. Après m'y être arraché le peu de cheveux qui me restent durant 2 heures, je décide d'abandonner, et me dis que ce produit n'est vraiment, mais alors vraiment pas recommandable.

Un peu esseulé, je décide donc de publier un article sur mon blog. La réaction ne se fait pas attendre, et 24 heures plus tard, à ma grande surprise, je reçois un mail très poli du chef de produit, me demandant de le contacter et me proposant ses services pour résoudre le problème.
Après 2 ou 3 échanges de mails, il me met en contact avec son service après vente qui s'occupe de tout, et m'envoie même le bon colissimo pour leur adresser le produit. Une attitude très professionnel et très positive, qui, du coup, me met un doute.

Retour sur le PC et re-test, en regardant, sous photoshop, les images publiées. Et là, surprise, ces dernières sont sorties de l'appareil dans un format JPEG "Progressif", et non pas "De base". Une nuance qui change tout, et 5 minutes après, le cadre numérique refonctionne.

En conséquence, je rappelle immédiatemment le service après vente, et leur présente mes excuses. Ils restent très pro, et me disent de ne pas hésiter à les recontacter.

En conclusion, devant une attitude si professionnelle et impliquée, difficile de ne pas recommander Telefunken, ne serait-ce que pour le service après vente, qui reste exceptionnelle dans sa réactivité, sa gentillesse et sa sollicitude.

Néanmoins, je maintiendrai tout de même un bémol : convertir des photos d'un format JPEG Progressif à un format JPEG De Base n'est pas donné à tout le monde et demande, outre la possession d'un logiciel de retouche type photoshop, une certaine connaissance. Mes images sortaient tout droit de mon appareil. Enfin, malgré plusieurs essais, et le disque dur étant loin d'être plein, je n'ai, pour le moment, pas réussi à mettre plus de 200 photos.

Du savon biologique et... de la crème dépilatoire !

Une fois n'est pas coutume, j'ai eu l'occasion de tester, ces jours ci, 2 produits assez originaux : un savon certifié biologique, et... une crème dépilatoire ! Comment ça vous n'y croyez pas ? Bon, ok, je l'avoue, je n'ai testé que le savon, et j'ai laissé la crème à une de mes très proche collaboratrice :-)

Mais revenons à nos moutons... pardon, à nos savons. Lorsque j'ai eu entre les mais ce dernier, je vous avoue que j'avais du mal à y croire : entre le soin corporel et la gourmandise, c'est sur ce créneau que se situe le savon biologique de La Falaise. Pourquoi ? Et bien, avez-vous souvent vu un savon au miel ET à la noix de Macadamia ? La preuve à l'appui :

Bref, un produit complètement tendance pour l'été qui approche. Sa formule nourrissante et apaisante, associée au vertus du miel et de l'huile de macadamia prolongeront votre bronzage. De plus, il faut noter que ce savon contient 100% d’ingrédients d’origine naturelle, dont 78.40% sont issus de l’agriculture biologique.

Dans la même gamme de produits, on trouve également :
- Un Gel douche BIO Miel & Macadamia
- Un Savon liquide BIO Miel & Macadamia
- Des Sels de bain BIO Miel & Macadamia
- Un Lait corporel BIO Miel & Macadamia

Les prix oscillent entre 4,40 € et 6,40 €, soit que du très raisonnable pour du produit bio.

Alors, pour vous les procurer, direction :
www.savonlafalaise.fr

Et en ce qui concerne la crème dépilatoire, et bien de l'avis de ma collaboratrice, je cite : "Idéale, très efficace, et surtout, contrairement aux crèmes dépilatoires traditionnelles, ne sent pas mauvais !" Tout est dit, non ? :-)

Le produit, ça donne ça :

Pour le site officiel de la marque : www.laurence-dumont.fr

Vous y trouverez l'ensemble de la gamme de produits, et les différents points de distribution.