24/10/2018

Des thermes Kids Friendly, ça vous dit ?

C’est ce que propose le B’O Resort, un centre thermal et de bien-être est situé à Bagnoles de l’Orne, soit à 2h45 de Paris, en plein cœur de la Normandie. Ce lieu bourré de charme promet une belle parenthèse ressourçante au vert en couple ou en famille


Oui en famille, vous avez bien lu ! Vous ne vous imaginez pas avec vos marmots essayant de vous détendre au SPA ? Et bien pourtant, c’est possible ! L’établissement met une animatrice à disposition des parents pour s’occuper de leurs enfants le temps de leurs soins… Bénéficier des thermes et du spa tout en passant un week-end avec vos enfants, le bonheur intégral :-)


Et dans cet établissement il y a une personne dont j’aimerais vous parler : Coralie une des esthéticiennes. Si je tiens à la mentionner c’est pour son toucher qui vous procurera une détente maximale. Je suis une adepte des massages et je suis donc devenue assez "difficile" à satisfaire : une masseuse a le truc ou ne l’a pas ! Je ne parle pas là de technique mais de ressenti, du feeling qu’elle a au bout des doigts et Coralie l’a(vait) pour mon plus grand bonheur hier... Elle vous chouchoutera avec la gamme de soins B’O Resort, à base de pommes ou de chlorophylle fabriquée en France.


N’hésitez pas à aller faire un tour sur le site internet de ces thermes : www.bo-resort.com Vous trouverez votre bonheur avec une carte de soins très variée et des prix vraiment corrects ! Et en ce moment il y a des prix cassés chez showroomprivé pour une vente exclusive :-)
sophie (at) desperatehouseman.fr

19/10/2018

Le casse-tête des chaussures enfant jamais à la bonne taille

Lorsque l’on devient parent, une de premières choses que notre portefeuille apprends, c’est que les vêtements ne durent pas longtemps, car soit ils sont vite abîmés, soit ils sont vite trop petit. 

A l’heure du digital on ne peut pas dire que cela soit un réel problème : les sites de vente en ligne regorgent de bonnes affaires, sans oublier ceux de revente tels que Little Panda. Le bon coin ou les brocantes annuelles restent aussi des alternatives très intéressantes, sans oublier nos proches, premiers fournisseurs de nos chers bambins.

Par contre, quand on parle habillage, un élément sort du lot et présente un casse-tête un peu plus complexe : il s’agit de celui des chaussures. Je m’explique : autant il est facile de se dépanner par un t-shirt trop petit, un pull trop grand ou un pantalon troué, autant pour les chaussures, c’est peine perdu. L’apprentissage de la marche nécessite des chaussures solides, à la taille exacte (il est d’ailleurs fortement conseillé d’acheter leurs premières chaussures uniquement en magasin de manière à être sûr à 100 % de la taille choisie) et bien renforcées pour éviter que la cheville, encore peu assurée, ne vrille. Les marques préconisées telles que babybotte sont top mais souvent à des prix peu abordables. 


Quand les enfants grandissent et une fois que leur marche est un peu plus assurée, le moyen le plus économique que j’ai trouvé pour allier le meilleur rapport qualité/prix, c’est  d’anticiper d’une taille en faisant une razia sur les principaux sites de vente privée tel que Showroomprivé notamment.

Le problème c’est que ce système a ses limites : peu ou pas de choix de marques, veille nécessaire pour ne pas rater « les bonnes affaires », impossible d’acheter en urgence (comme lorsque ma fille revient avec ses baskets trouées et que je ne peux décemment pas la renvoyer à la crèche ainsi)…

Bref, je fonctionnais ainsi jusqu’à ce que je découvre il y a peu de temps le site Pisamonas, magasin de chaussures enfant, qui propose un large choix de chaussures enfants et adultes (du 13 au 41) à un prix très abordable.  

Créé à Madrid en 2012, Pisamonas est d’abord un fabricant de chaussures pour enfants convaincu de  la nécessité d’allier design et qualité du chaussant pour séduire les parents. Toutes les chaussures sont ainsi fabriquées en Espagne par des experts.


Mais Pisamonas est aussi un commerçant aux petits soins avec des parents qui n’ont que peu de temps à consacrer à la recherche de nouvelles chaussures pour enfants. Pisamonas met ainsi à disposition des parents un service client soigné par email, téléphone, chat et même Facebook. Mieux, les livraisons, les échanges et les retours sont gratuits, ce qui est assez rare dans le secteur pour le souligner. A titre de comparaison, un retour sur Showroomprivé me coûte 2,99 euros.

Simple et ludique, le site internet offre une gamme diversifiée de modèles, des mocassins en passant par les baskets, les chaussures anglaises, les chaussons, les bottes, les ballerines… 

A titre d’exemple, je viens de prendre ces baskets fille nike en 26 (affichées à 37,95 €) pour ma petite et j’en suis très satisfait.

Et vous quels sont vos bons plans pour choisir les chaussures de vos enfants, mais surtout connaissiez-vous ce site ?

Article écrit en collaboration avec Pisamonas

02/10/2018

Quels carrés coton nettoyants choisir pour bébé ?

Alors, si vous tombez sur cet article, et que vous n'êtes ni papa, ni maman, et n'avez jamais, mais jamais l'intention de le devenir, alors pas besoin de continuer plus loin, la réponse à cette question existentielle de tout(e) jeune papa/maman ne vous intéressera pas.

Bon, vous êtes encore là ? Tant mieux. Alors, revenons-en à nos moutons, pardon, à nos cotons. Au début, à la maternité, on a souvent des compresses, non emballées, pour nettoyer bébé, et notamment le siège. Mais bon, très vite, on se rend compte qu'il n'y a pas mieux que les carrés de coton pour ce genre de chose, grâce au petit échantillon qu'on a reçu. Alors, on se dit qu'il n'y a pas photo, et on fonce en acheter !

Oui, mais c'est là que le problème survient (ou en tout cas, est survenu en ce qui me concerne :-). Où en trouver (je suis tombé sur une période rupture de stock, si, si, je vous assure !), et surtout, lesquels choisir. Je vous propose donc un petit tour d'horizon de l'existant.

Carrés de coton pour bébé

Personnellement, dès le départ, j'étais assez "coton bio". J'ai donc commencé par internet et déniché le top du top chez Amazon avec ces carrés nettoyants bébé de la marque "Douce nature". Bon, le problème après, ça reste que l'achat ne se fait que sur internet, que les paquets sont petits, et qu'avec la livraison, ça fait assez cher, même si 2,99 euros au départ ça reste correct. 

Bon, sinon, pour les plus connus, il y a les Lotus. On en trouve pas mal chez Carrefour, et Auchan aussi. Enfin, dans n'importe quel supermarché un peu équipé dans son rayon layette je suppose. Via Amazon, cela vous revient à 2,99 le paquet (vendu par lot de 10, soit 700 carrés coton).

© Tidoo

J'ai aussi découvert cette marque française : Tidoo. Des carrés coton tressés, super doux, hyper pratiques et qui ne peluchent pas. Plus larges que les autres, ils sont aussi parfaits pour la toilette du visage de bébé, ou même le reste du corps au début. Plus chers néanmoins, vous les trouverez beaucoup sur internet (notamment chez Brindilles au prix de 3,45 €), et dans les magasins Bio tels que Bio c bon, Natureo, Botanic, l’Eau Vive... (voir la liste complète ici). Je vous les recommande notamment comme coton d'appoint et pas pour un usage journalier : soigner une conjonctivite, période d'érythème fessier...

Du coté des marques distributeurs, elles s'en sortent bien, notamment coté prix. 2,62 € pour les carrés coton bio chez Carrefour, et 1,99 € en moyenne pour la gamme bio de chez Auchan (qui affiche le même prix au carré que le non bio, donc pourquoi s'en priver ?).

Enfin j'ai découvert il y a peu les cotopads : compter environ 5 euros les 200 pièces en pharmacie, vous ne les trouverez pas dans la grande distribution. Très solides, ils ne peluchent pas et sont agréables à utiliser, très pratiques. Leur stockage ne favorise pas le rangement par contre mais osef un peu hein :-)

Bref, faites votre choix, mais faites le bien, car la santé des fesses de votre bébé est en jeu :-)

21/09/2018

La gestion de la fièvre chez bébé & le jeune enfant

L'automne est bien là. Aujourd'hui pour être exact :-) Cela fait un moment que je voulais faire un article sur ce sujet. Une fois n'est pas coutume, je vous laisserai glaner au gré de vos recherches google des éléments scientifiques sur la fièvre en général, le but étant ici plutôt de vulgariser la chose et vous partager mon expérience sur le sujet.

Pourquoi mon enfant fait-il de la fièvre ?
En général, un enfant (comme un adulte d'ailleurs) fera de la fièvre en réaction à une infection dans la majeure partie des cas. Le principe est au final assez simple à vulgariser : le corps est victime d'une attaque, virale ou bactérienne, et se défends. Le système immunitaire réagit et essaye de détruire ces intrus qui menacent la santé et l'équilibre de l'hôte. Le problème, et souvent chez les enfants, est que ce système immunitaire est encore peu développé et donc vite dépassé. Comparons le par exemple à une équipe de championnat amateur qui affronterait le PSG ou un autre gros calibre de la D1. La comparaison peut se faire avec l'armée, ou avec n'importe quel autre sport je pense. Bref, toujours est-il que le corps, dépassé, décide alors d'augmenter sa température pour détruire ces intrus qui viennent le déranger. La fièvre est donc non pas le résultat direct de l'infection, mais le résultat de la réponse du système immunitaire qui tente d'utiliser cette nouvelle arme. L'augmentation de la température va donc favoriser la destruction des intrus, et le corps, une fois débarrassé de ces derniers, reviendra à une température acceptable. 

Quel est alors l'intérêt au final de faire baisser la fièvre si c'est une réponse du corps qui est pour son bien, ne devrait-on pas la laisser agir ? 
En théorie, si. Et dans la mesure du possible et si les conditions sont réunies, il faut essayer de laisser cette fièvre agir qui a rarement tendance à perdurer plus de 48 heures. Après, d'autres facteurs sont à prendre en compte tels que :
- Une fièvre bien ou mal supportée : un enfant peut avoir 39,5° et être alerte et en pleine forme ou complètement abattu. Ce constat déterminera si il faut ou non faire baisser la fièvre à l'aide d'antipyrétiques.
- Un risque de convulsions : certains enfants à l'approche des 40° ont tendance à convulser, et dans certains cas (je dis bien dans certains cas), ces convulsions (impressionnantes mais rarement graves) peuvent avoir des conséquences neurologiques. Quand c'est le cas, il faudra alors veiller au final à ce que la fièvre ne monte pas trop haut et la traiter dès qu'elle dépasse 38°. La plupart des médecins s'accordent cependant à dire que si l'enfant n'a pas convulsé lors de ses premières grosses fièvres, il ne le fera pas. A l'inverse, un enfant qui convulse risque de le faire de manière récurrente.



A combien peut-on considérer qu'un bébé fait de la fièvre ?
La plupart des médecins s'accordent à dire que, contrairement à un adulte, une température de bébé n'est pas de la température en dessous de 38,5°. Là encore, l'agrément sur le sujet si il est largement partagé, ne doit pas être considéré comme une vérité absolue, dans la mesure où les cas particuliers existent. La température d'un être humain se situe aux alentours de 37°. Mais d'une personne à l'autre elle peut être variable. Ainsi, par exemple, mes filles (est-ce leur moitié polonaise qui les rends à sang froid ?) ont en général une température corporelle plus proche des 36°. Ainsi, à 38,5°, elles sont déjà presque 2,5 ° au dessus de leur température habituelle et on peut donc en convenir qu'il y a une forte chance d'infection. A l'inverses, certains enfants étant à 37,4° par exemple, ne présenteront que peu de signes d'infections à 38,5° (je caricature un peu mais dans l'idée c'est ça).

D'autre part, il ne faut pas oublier qu'un bébé est un peu comme un chauffage mal réglé : le corps a encore du mal à ajuster le thermostat et peut vite augmenter la température même si au final cela n'est pas nécessaire ou pas à ce point là en tout cas. C'est pour cela que contrairement à nous adultes qui grelottons et aurons tendance à nous réfugier sous la couette, les médecins et personnels de santé vous conseilleront de déshabiller votre enfant. A titre personnel, je conseille également de surveiller la redescente pour qu'une fois la température redevenue acceptable l'enfant ne prenne pas froid.

Carnet de santé

Comment mesure-t-on la fièvre ?
La fièvre peut être mesurée à l'aide d'un thermomètre. Personnellement, je suis un peu old shcool et reste convaincu que le meilleur moyen de mesurer la fièvre reste par la voie d'un thermomètre rectal. Même si ce type de thermomètre est en théorie adapté également à une prise sous aisselle (souvent pratiquée dans les crèches) ou orale (pensez à bien le nettoyer si vous changez d'orifice régulièrement hein !).
J'ai cependant eu l'occasion de tester 2 autres types de thermomètres, moins intrusifs (c'est le cas de le dire) et plus faciles d'usage lorsque la température est récurrente et qu'il faut faire des mesures toutes les 6h, voire toutes les 3h.
Le premier fut le thermomètre frontal Predictor (qui mesure également la température de l'eau). Malgré les différents usages et types d'usage que j'ai pu avoir, il s'est tjrs avéré assez inefficace : certes, si l'enfant a vraiment de la fièvre il vous l'affichera mais il sera susceptible de vous afficher une fièvre si il a juste chaud également. Les mesures sont peu fiables et en comparaison lors de mes tests, peuvent afficher jusqu'à 1 degré de différence avec une prise rectacle ! Bref, il est rangé dans mon placard et me serre plus à amuser les filles qu'autre chose.
Le second fut le ThermoScan de Braun. Il s'agit d'une prise de température auriculaire (dans l'oreille donc, donc moins invasive et surtout très usitée en hôpital (testée à maintes reprises aux urgences). Ma pédiatre utilise ce mode de prise de température d'ailleurs. Tout comme de nombreux médecins. Bref, chaque appareil ne se valant pas, et ma fille étant très vite retombée malade (merci la crèche), j'ai pu testé ce modèle rapidement. Tout en faisant quelques prises rectales (sinon ce n'est pas une véritable comparaison hein :-). Et globalement, j'ai été agréablement surpris car le thermomètre a matché à presque tous les coups. Ma réserve reste sur les températures hautes (2 jours à plus de 40°) où on va dire que la précision s'est un peu émoussé. Mais au final, on s'en fout un peu, vu que au dessus de 40° on sait qu'elle a de la fièvre hein ! :-)

Après 2 jours à 40°, mon enfant est descendu à 35,5° (variation posible de + ou - 0,2), dois-je m'inquiéter ?
Non, c'est en général une réaction normale et loin d'être systématique. Néanmoins, et dans de très rares cas, si celle-ci persiste, elle peut être le témoignage d'une infection. Il vous faudra alors consulter. Là encore, et tout comme pour une température élevée, le comportement de bébé sera le 1er signe pour savoir si il faut ou non s'inquiéter.

Peut-on déterminer l'origine de la fièvre de manière systématique ?
La fièvre reste dans la plupart des cas le témoignage d'une infection, qu'elle soit virale, bactérienne, fongique, parasitaire... Déterminer son origine sera possible mais seulement par un professionnel de santé (médecin généraliste, pédiatre, spécialiste...) et parfois après des examens complémentaires. Dans tous les cas, et malgré la peur qu'elle inspire, la fièvre reste avant tout une réponse de notre système immunitaire et disparaitra dès que le corps aura repris le dessus.

05/06/2018

La Banque Postale s'associe à Maxicours pour favoriser l'aide aux devoirs

Cette année ma grande est rentrée au cours préparatoire (CP). Un grand changement donc. Si l'entrée à l'école avait été déjà une grande révolution en soi pour moi en tant que père, l'entrée au CP marque une nouvelle étape, un nouveau challenge : celui des devoirs.

Car oui, maintenant, fini les soirées peinard à jouer aux legos ou avec les figurines Marvel : avant le jeu, il y a lecture, écriture, poésie.... Certes, ne nous enflammons pas : j'y passe en moyenne entre 10 et 15 minutes, 20 grand maximum. Il s'agit avant tout de vérifier sa bonne compréhension du vocabulaire, ses lignes d'écritures et de lui faire réciter ses poésies.

J'arrive encore avec mon 90% (temps de travail ndlr) à être assez présent le soir et assez tôt pour pouvoir superviser tout cela moi-même, en profitant des vacances et des week-end pour faire le tour des révisions demandées parfois par l'enseignante.

Après, je suis conscient que les années passant, pouvoir prendre ce temps pour expliquer et accompagner systématiquement (surtout que Little A sera concernée d'ici 2 ans à présent) deviendra plus difficile : par manque de temps, par manque de connaissances sur certains sujets... A ce moment là, il est possible que je me tourne vers une plateforme numérique d'aide aux devoirs en ligne. Tout en étant conscient que signer pour un service de qualité aura un coût. Un luxe que tout le monde ne peut/pourra pas forcément s'offrir.


C'est pourquoi la Banque Postale a eu la bonne idée de s'associer au service de soutien scolaire en ligne Maxicours.com. Dans le cadre de son programme d’avantages dédiés aux familles, La Banque Postale offre aux parents avec enfants clients de l’établissement un accès gratuit de 12 mois d’une valeur d’environ 200 euros. Avec un million de clients potentiels concernés, La Banque Postale met le soutien scolaire à la portée de toutes les familles via ce partenariat exclusif.

La mise en place de ce service répond à une préoccupation très forte de ses clients parents : la réussite scolaire des enfants. En effet, si deux tiers des parents d’enfants de 11 à 18 ans (68%) ont le sentiment d’accompagner suffisamment leurs enfants pendant leurs devoirs et sont au courant des programmes scolaires, plus des trois quarts des parents interrogés confient éprouver des difficultés pour aider leurs enfants pendant leurs devoirs (76%). *

Des difficultés qui se font notamment très présentes dans les matières scientifiques (80% des parents) mais aussi les langues vivantes (43%). Face à ces difficultés, les outils numériques sont devenus de véritables réflexes pour les parents. Ainsi la quasi-totalité admettent utiliser Internet dans le cadre de l’accompagnement au devoir de leurs enfants (97%). Et ils sont une moitié (49%) à être prêts à aller plus loin dans l’usage d’outils numériques à visée scolaire en inscrivant leurs enfants sur une plateforme numérique. Néanmoins, 68% des parents ne franchissent pas le pas pour des raisons financières.


L’abonnement de 12 mois offert par La Banque Postale à ses clients sur le site Internet Maxicours.com permet d’accéder en illimité :
- à des contenus conformes aux programmes officiels dans toutes les matières, du CP à la Terminale : fiches de cours, vidéos, quizz, exercices interactifs, corrigés, etc ;
- à des modules de révisions dédiés pour le Bac et le Brevet ;
- au service Tutorat : des professeurs de l’Education Nationale accessibles à la demande par chat ou visio pour répondre aux questions ;
- à un espace « parents » leur permettant de suivre les progrès de leur enfant.

Pour bénéficier de cet avantage, il convient de satisfaire deux conditions sur la période allant d’avril 2018 à avril 2019 :
- être bancarisé à La Banque Postale (détenteur a minima d’un compte et d’une carte bancaire) ;
- avoir un enfant mineur client de La Banque Postale (détenteur d’un produit quelconque tel qu'un livret d'épargne par exemple). 

Les nouveaux clients qui rejoindront La Banque Postale en cours d’année pourront également profiter de l’accès au service s’ils répondent aux critères. Les clients éligibles recevront automatiquement un code personnel via la messagerie sécurisée de leur espace Internet Client La Banque Postale ou via des campagnes courriers tout au long de l’année. Avec ce code, ils pourront créer un compte pour leur(s) enfant(s) client(s) sur le site Maxicours.com.

Alors, si cela vous intéresse, vous savez ce qu'il vous reste à faire ? :-)

* Source : Etude IPSOS pour La Banque Postale - mai 2018

08/03/2018

Mère(s), une pièce originale au Théâtre Le Magasin à Malakoff

Mère(s). Méduse et Madone. A choisir entre devenir une mère castratrice, intrusive, jalouse, mais toute puissante ou une mère instinctive, bienveillante, chaleureuse mais asexuée, que décident les filles ? Nina Broniszewski-Madre interroge le désir de maternité et explore les pensées et les fantasmes de jeunes femmes modernes. Mère(s) est un chemin cathartique, du burlesque au tragique. Les portraits de femmes qui y sont représentées ont été créés à partir de témoignages anonymes de femmes de tous âges - 15 à 70 ans avec ou sans enfant - sur leur rapport privé au sujet.


Le metteur en scène, Mathieu Ronceray (qui notamment forme régulièrement des jeunes gens venant de Missions locales ayant des difficultés d'intégration) et Nina Broniszewski-Madre ont souhaité mettre en avant une parole libre, déculpabilisante, sur le sujet. Plusieurs débats sont organisés entre eux et les spectateurs, et ainsi faire circuler la parole.

Le spectacle se jouera au Théâtre Le Magasin à Malakoff (dans le 92) du 27 mars au 7 avril prochain. C'est un seul en scène d'une heure sur le désir et le fantasme de maternité.

Infos pratiques :
144 av Pierre Brossolette
92240 Malakoff
Métro Châtillon - Montrouge, ligne 13
Métro Mairie de Montrouge, ligne 4
Bus 194 et 388 (Arrêt Augustin Dumont depuis la Porte d'Orléans)

Exclusif ! Grâce au blog, vous pouvez bénéficier des tarifs exclusifs suivants :
- Pour le soir de la première (le 27 mars), toutes les personnes qui réservent avec le code Madone bénéficient d'une place à 10 € (au lieu de 16,45 €)
- Pendant le reste des dates de représentations (du 28 mars au 7 avril) toutes les personnes qui réservent avec le code Méduse bénéficient d'une place à 15€ (au lieu de 16,45 €)

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