14/02/2017

Une Saint-Valentin sans fail : comment conjurer le sort des allergies croisées ?

Savez-vous que si l’on est allergique aux acariens il est possible de l’être également aux crustacés ? C’est ce qu’on appelle les allergies croisées. Alors comment sauver sa Saint Valentin et ne laisser place qu’aux bonnes surprises pour un scenario réussi ? Le laboratoire ALK vous dit tout ! (article non sponsorisé !)

Il est 20h - Rendez-vous au restaurant :
Votre journée harassante se termine et il est temps de se retrouver autour d’un plat savoureux. Mais quand on partage sa vie avec une personne allergique aux pollens, certains aliments peuvent être déconseillés. Pour être sûr de terminer ce diner sans encombre, si votre amoureux est allergique aux pollens de bouleau, il vaut mieux éloigner de sa vue les pommes, les carottes, les panais ou encore les céleris [1], qui sont des aliments auxquels il pourrait mal réagir.

Prenons un autre exemple : une étude clinique a démontré que sur 14 patients allergiques aux pollens d’armoise, tous étaient allergiques au céleri et 12 au persil [2] ! Pourquoi ? Parce que les structures moléculaires allergisantes de ces deux substances sont très similaires ! Faites donc les choix culinaires les plus judicieux en fonction de vos allergies ou de celles de votre partenaire. 


Un baiser foudroyant :
Il est 22h et le diner se termine. La seconde étape d’une Saint Valentin sans fail est de réussir à embrasser son Jules ou sa Valentine allergique sans provoquer une réaction qui ferait baisser d’un cran le niveau de la soirée. Si les conseils donnés pour le restaurant ont bien été appliqués le risque d’avoir une mauvaise surprise est très faible. Pour les autres, inutile de se brosser les dents ou de se ruer sur le premier chewing-gum, même deux heures après avoir manger un allergène un baiser peut foudroyer un grand allergique. C’est le cas de ce jeune américain qui après avoir mangé une pomme et embrassé sa petit-amie allergique aux pollens a vu sa Valentine déclencher une crise d’allergie inattendue [3] ; [4]. Les allergies croisées ne pardonnent pas …

Et sous la couette ?
22H20 et un nouveau rendez-vous se profile, pourtant l’allergie au latex concerne entre 1% et 3% de la population mondiale [5]. C’est une réalité qui mérite une attention particulière puisqu’en France elle représente la quatrième cause de choc anaphylactique [6]. Si jamais son conjoint est concerné mieux vaut avoir évité la banane, l’avocat, le kiwi, la châtaigne au cours du dîner puisque dans un tiers des cas les personnes allergiques au latex le sont également à ces aliments [7]. Pour les autres ? Les conseils distillés ci-dessus devraient avoir permis de passer une fin de soirée des plus inoubliables.

Le saviez-vous ?
On peut être allergique au champagne ! C’est le cas de cet homme de 32 ans qui a déclenché une réaction allergique quelques minutes après avoir consommé du champagne pour la seconde fois de sa vie. Quant à l’intolérance à l’alcool, elle concernerait 50% de la population d’origine asiatique [8].

[1] Hannuksela M, Lahti A. Immediate reactions to fruits and vegetables. Contact Dermatitis 1977;3;79-84
[2] Kauppinen K, Kousa M, Reunala T. Aromatic plants cause of severe attacks of angio-edema and urticarial. Contact Dermatitis 1980;6;251-4
[3] Wuthrich B. Oral allergy syndrome to apple after a lover’s kiss. Allergy 1997;52;236
[4] Wuthrich B, Straumann F. Pollen cross-reactivity. Can we establish a link between the in vitro results and the clinical situation?
[5] https://www.allergienet.com/allergie-latex/
[6]http://www.inserm.fr/thematiques/immunologie-inflammation-infectiologie-et-microbiologie/dossiers-d-information/anaphylaxie

30/01/2017

Reprendre la conversation : 17 principes pour sortir du conflit et se faire entendre

Frédéric est papa de 2 filles. Il vous parle ici de sa dernière lecture...


Vous rappelez-vous de votre dernier conflit ? Quelle situation, quel terme a mis le feu au poudre ? Qu'en est-il résulté ? On a souvent peine à revenir sur une situation douloureuse pendant laquelle nos émotions orientent nos actions dans une impasse. Artiste performeuse et danseuse, Dana Caspersen, une spécialiste de la gestion du conflit propose dans cet ouvrage au graphisme attrayant, un regard neuf sur le conflit : il s’agit de le considérer comme une réelle opportunité, car, figurez-vous, qu’il est "le lieu de tous les possibles". L’auteure s'attaque à désamorcer tous les ressorts de la discorde en formulant 17 principes fondamentaux dont le but ultime consiste à cerner l’essence du discours par-delà la colère et l’agressivité. 


Écouter, résister, différencier, se montrer curieux sont les verbes à cultiver dans cette friche que représente la dispute. Rester lucide dans un moment de désarroi, d’injustice, d’incompréhension, toute la difficulté est là : au moment où le conflit surgit toutes ces bonnes résolutions (faciliter l’écoute et la parole, reprendre la conversation, chercher à aller de l’avant) peuvent être balayées en un tour de tempête et d’excitation. Alors que faire ? S’entrainer pour se préparer, comme un diplomate avant sa joute verbale, trouver la bonne formule, celle qui ne piquera pas au cœur mais à la tête. Ne pas lancer : "A quoi bon ? De toute façon tu ne m’écoutes jamais" mais proposer plutôt : "J’ai quelque chose de très important à te dire. Je veux que tu m’écoutes." On est ici dans l’art du détour qui s’apprend par la pratique de ces exercices simples. Résoudre le conflit, c'est en un mot, réinventer la parole.

frederic (at) desperatehouseman.fr

08/12/2016

Ballerina, ou la danse au bout de l'écran {concours inside}

J'ai eu l'occasion de découvrir hier grâce à l'agence Okarina, le très beau film d'animation Ballerina. Après un succulent goûter, ma grande fille de 5 ans (rejointe à la fin par sa soeur de 2 ans et demi mais chut elle était là par hasard :-) a pu découvrir, elle qui pratique la danse cette année, ce film superbe, riche en émotion et en couleurs.


Ballerina, c'est avant tout l'histoire de Félicie, une jeune orpheline bretonne qui n’a qu’une passion : la danse. Avec son meilleur ami Victor qui aimerait devenir un grand inventeur, ils mettent au point un plan rocambolesque pour s’échapper de l’orphelinat, direction Paris, ville lumière et sa Tour Eiffel en construction ! Félicie devra se battre comme jamais, se dépasser et apprendre de ses erreurs pour réaliser son rêve le plus fou : devenir danseuse étoile à l’Opéra de Paris…


Ce film d' Eric Summer et Eric Warin, emmené par les voix françaises de Camille Cottin et Malik Bentalha, réussit le pari de rendre la danse classique... moderne :-) Comment ? Grâce à une bande originale exceptionnellement bien travaillée et bien pensée, qui entraîne le spectateur dans le sillage de l'héroïne sans jamais le lasser. Avec une mention spéciale pour la "battle", traditionnellement réservée au hip-hop qui s'invite en fin de film, pour lui offrir son apothéose.


Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré, tout comme ma fille qui m'a demandé dès la fin du film quand est-ce qu'elle pourrait le revoir !

Et  pour fêter la sortie du film je vous propose de gagner 5 places valables pour 2 personnes pour aller voir le film, et 4 petits livrets exclusifs du film ! Pour jouer, vous avez le choix, soit sur le blog en me laissant un petit commentaire et en m'indiquant avec qui vous souhaiteriez aller voir le film (2 places et 2 livrets ici) ; et/ou en vous rendant sur la page facebook du blog (3 places et 2 livrets). Le jeu est ouvert jusqu'au mardi 13 décembre à 23h59. Bonne chance à tous et toutes !

17/11/2016

Quand Winnie vous invite à mieux manger

Le 14 octobre dernier, les fans de Winnie fêtaient le 90ème anniversaire de la publication du premier livre d’A.A. Milne mettant en scène l’ourson adoré de beaucoup de nos chères têtes blondes. A l'heure du tout numérique, il est vrai que Winnie au travers de ses histoires véhicule des valeurs qui sont chères telles que l’amitié, les joies simples et la curiosité innocente des enfants.


Afin de célébrer comme il se doit cet anniversaire, Winnie  a lancé les journées #HappyWinnie et donne pour la première fois rendez-vous tout au long de l’année aux familles chez Génération Kfé à Paris pour partager des moments de complicité empreints de la magie, de la douceur et de l’émotion des histoires de Winnie l'Ourson.


 2 rendez-vous sont pris avec les familles les dimanches 5 mars et 23 avril 2017*. Les journées #HappyWinnie célèbreront tour à tour (après avoir célébré la semaine du goût) la fête des grands-mères et la journée de la lecture, des thèmes chers aux parents. Chaque journée permettra aux familles de partager des moments privilégiés au travers d’activités gratuites spécialement conçues pour les enfants de 0 à 3 ans et ce, sur simple inscription par mail à l’adresse rsvp (at) disney.fr. Des ateliers spécifiques animés par des experts de la petite enfance au service des mamans et de leurs bébés seront proposés lors de chaque journée. Ces journées seront l’occasion pour les familles d'échanger avec les intervenants qui partageront leurs expériences autour du bien-être de bébé.

Pour le lancement de ces journées Happy Winnie qui ont eu lieu le 14 octobre dernier, l'honneur était à l'alimentation. Quel autre thème aurait pu choisir l’ourson le plus gourmand de la Forêt des Rêves Bleusme direz-vous :-)


Au programme : un atelier éveil au goût et cuisine pour bébé animé par le Dr Christine Zalejski. Ingénieure en recherche et développement, Christine Zalejski a troqué sa blouse de Docteur pour celle de Maman en 2010. C’est là qu’elle décide de fonder son propre site internet dédié à l’alimentation des nourrissons et tout-petits, Cubes & Petits Pois. Elle met à profit ses connaissances scientifiques pour créer des recettes seines et équilibrées pour Bébé, mais aussi simples et rapides pour les parents pressés. Convaincue que l’éveil au goût est un réel chapitre dans l’éducation des enfants, Christine Zalejski a publié en 2014 "365 recettes pour Bébé". 

* dans la limite des places disponibles

14/09/2016

10 choses qui montrent que "ça va mieux" (par Nicolas Kalogeropoulos)

Aujourd'hui, je cède le clavier à Nicolas KALOGEROPOULOS, blogueur et photographe de talent, mais également auteur du livre "Toi, le (futur) papa geek". Il est le 1er à avoir osé dire que lorsqu'on devient parent, au bout d'un moment, "ça va mieux" :-)

On ne le dira jamais assez, devenir parent est une aventure merveilleuse, mais aussi merveilleusement fatigante !

Outre le manque de sommeil (qui est une cause évidente de fatigue) c’est surtout le poids du quotidien, la logistique et la répétition des mêmes petits gestes qui finissent par user et vous donnent l’impression d’être dans un tunnel de l’enfer qui n’en finira jamais un peu long.

Mais rassurez-vous, vous finirez par voir la lumière du train au bout du tunnel (sic), car petit à petit les choses s’améliorent même si on ne s’en rend pas forcément compte.

Alors pour vous aider à vous accrocher un peu au maigre espoir qu’un jour ça finira par aller mieux, voici une petite liste qui, je l’espère, vous donnera du courage.

De quoi parle cette liste ? Des petites victoires du quotidien qui, une fois acquises, vous rapproche petit à petit du bout du tunnel. Tape des mains si toi aussi tu coches des éléments de la liste.

NB : J’ai écrit cette liste en partant du principe que le lecteur n’a qu’un seul enfant. Mais en fait, elle est aussi valable (voir encore plus) si t’en as deux (ou plus) mon ami(e).

1. Vous avez des nuits (à peu près) normales !
La privation de sommeil est la pire des tortures, car nous avons physiologiquement besoin de dormir pour pouvoir vivre. Pour se rendre compte du sérieux de ce problème, il suffit de se pencher sur les faits divers. Lors du dernier mondial de football, au moins trois Chinois sont morts d’un AVC lié au manque de sommeil et au stress. Donc, on ne le dira jamais assez, dormir est vital ! Ce qui explique pourquoi c’est aussi dur au début de trouver le rythme quand les nuits du bébé sont courtes. Mais au bout d’un moment (plus ou moins tôt selon les enfants) ses plages de sommeil sont de plus en plus longues… et les vôtres aussi ! C’est le début d’une longue série de petites améliorations de votre qualité de vie !

2. Il ne retourne plus systématiquement la cuisine lorsque vous mangez, et au passage, la chaise haute n’est plus obligatoire.

C’est clairement ce qu’on appelle une “petite victoire”, mais le fait de ne plus avoir besoin de passer la cuisine au Karcher après chaque repas est une bonne nouvelle. Alors oui, c’est vrai qu’on trouve ça mignon au départ quand il attrape la purée à pleine main pour s’en faire un masque de beauté. Mais bon… Manger proprement, c’est mignon aussi.

3. Vous pouvez le laisser jouer seul 10 minutes sans surveillance sans pour autant qu’il ne mette sa vie en péril.
Quand l’enfant est très jeune, on se dit “bon bah ça va en fait, je le pose sur son tapis et il s’amuse tranquillement pendant que je peux faire autre chose, je vois pas pourquoi ils en font tout un fromage les autres parents”. Et puis soudain, votre enfant découvre la marche (à quatre pattes, puis debout) et là ça devient BEAUCOUP plus sport. Les moments d’oisiveté s’évaporent vitesse grand V et vous passez votre temps à surveiller votre enfant pour ne pas qu’il détruise tout sur son passage, ou ne se fasse mal, ou les deux en même temps. Quand, finalement au bout d’un certain temps (vers l’âge de 18/20 mois) vous aurez totalement sécurisé le salon et qu’il aura ses petits jouets préférés, vous vous rendrez compte que vous pouvez faire autre chose dans la pièce à côté sans pour autant le conduire inexorablement à un accident. Ouf !

4. Un petit sac vous suffit pour sortir, plus besoin d'emmener le salon avec vous.
Il est assez amusant de constater que plus l’enfant est petit plus la quantité d’affaires qu’on emporte avec nous à la moindre sortie est grande. Et à l’inverse, plus il grandit moins vous emportez de choses. Et arrive le délicieux moment où vous constatez qu’une sortie au parc, au marché ou chez des amis peut s’improviser ! MI-RA-CLE ! L’improvisation, ce concept inconnu du jeune parent vous redevient accessible. Ô joie :’)

5. Vous n'avez plus besoin de rester à la maison, car il dort toutes les deux heures.
Le tunnel du jeune parent n’est pas une simple donnée binaire du genre “on est dedans, on en est sorti”. Il prendre de nombreuses formes et à tous âges de la vie de l’enfant il s’élargit ou se rétrécit. Pour les parents de très jeunes enfants une première victoire arrive lorsque le bébé n’a plus besoin de dormir et/ou manger toutes les deux heures et que vous pouvez envisager de faire une vraie balade et pas une mission express le chrono à la main. 

6. Il peut boire dans un verre, l'oublie du biberon n'est plus une catastrophe.
Je ne vais pas vous faire un dessin : que la première famille qui n’a jamais fait demi-tour, ou acheté un biberon à 25 euros à la première pharmacie à portée de main parce qu’elle avait oublié les biberons à la maison me jette la première couche. Quand l’enfant arrive enfin à boire (proprement) avec un verre d’eau, on est beaucoup plus détendu. Pas de biberon ? Pas de problème ! Yes !

7. Une balade sans poussette commence à devenir envisageable.
Qu’on se le dise, les urbanistes et les maires DÉTESTENT les parents et les gens en fauteuils roulants. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement vu à quel point les villes ne semblent pas adaptées aux poussettes et fauteuils. Là-dessus, les jeunes familles et les personnes handicapées partagent le même combat. C’est très certainement un complot des bobos-illuminatis pour se garder rien que pour eux les centres-villes et renvoyer tous les autres en banlieue… Mais bref, je m’égare. Donc, le jour où vous pouvez enfin vous promener sans poussette parce que votre enfant accepte de marcher, c’est alors une renaissance pour votre jeune famille et vous pouvez enfin redécouvrir le plaisir de flâner dans les rues et de faire les petites boutiques de créateurs. Bon enfin, faut pas abuser non plus, il y a une limite à tout : votre enfant lui aura plutôt envie de faire la tournée des squares et de jouer à chat et 1,2,3 soleil. Mais disons que, théoriquement, c’est possible. Et ça, ça change tout (ou presque).

8. Il s’est enfin habitué à la babysitteuse, sortir le soir devient (enfin) envisageable !
Quand on n’a pas de grand-mère conciliante sous la main, les parents font appel à une babysitteuse. Un geste à priori banal, mais qui n’est pas nécessairement la garantie d’une soirée sous le signe de la détente et de l'insouciance. Quand vous partez et que votre enfant hurle à la mort, vous pouvez être certain que votre mojito à 12 euros aura un gout prononcé de culpabilité. Et la culpabilité, c’est pas bon. Aussi, quand arrive le moment où la babysitteuse est accueillie avec neutralité (voir éventuellement un petit sourire) alors vous partez enfin le cœur léger vers une soirée de débauche sans (trop) d’arrières pensés.

9. Des phrases comme “Non, je voudrais que tu ranges ce jeu avant d’en sortir un autre” commencent à avoir un effet.
Un enfant est comme ces assistants électroniques sur nos téléphones portables qui répondent à nos commandes vocales. Au début, on leur dit ce qu’on aimerait qu’ils fassent le cœur plein d’espoir, mais ils ne comprennent rien et il faut tout faire soi-même. Et puis avec le temps, soit vous comprenez comment vous faire comprendre, soit l’enfant (ou l’assistant virtuel) finit par comprendre ce que vous demandez. Alors, vous êtes enfin capable de donner des instructions et de les voir fonctionner sans avoir à lever vos fesses et le faire vous-même. Les enfants 2.0, c’est trop bien.

10. Vous commencez à pouvoir faire une activité de votre côté pendant que votre enfant fait la sienne tranquillement, sans vous demander toutes les 30 secondes de l’aide.
Enfin, pour finir cette liste (non exhaustive, il faut bien l’avouer), je dirais qu’un petit bonheur retrouvé est de pouvoir faire une activité pour soi tout en restant dans avec ses enfants dans la même pièce, et sans qu’ils ne requièrent votre attention en permanence. Les fameux : Papaaaaa !
Papa regarde !
Papa tu peux m’aider à faire ça ?
Papa, tu fais quoi ? Je peux t’aider ?
Mais j’ai envie de faire comme toouuuuuaaaaaaaahhhhheuuuuh !
L’autre jour par exemple j’ai eu envie de tester ces fameux coloriages pour adultes (rien de sexuel). Je pensais vraiment avoir au mieux 3 minutes de tranquillité, mais non, les enfants m’ont laissé faire ma vie pendant qu’ils faisaient la leur, sans trop se chamailler. Et ça, vraiment, c’est un fort signal d’espoir !

Cette liste correspond pour beaucoup à notre vécu et notre expérience personnelle à la maison, mais je suis sûr que vous pourrez vous y retrouver d’une manière ou d’une autre. Je tiens à remercier ma femme de m’avoir soufflé cette idée d’article et Sébastien de m’avoir accueilli sur son blog !

Si vous voulez retrouver mes autres écrits, je vous invite cordialement sur mon blog (www.monpapaestungeek.fr) ou ma page Facebook !

04/09/2016

Profitez de Paris en famille…

Venant des Alpes, il m’a fallut du temps pour m’adapter au manque de nature ici, accepter que les jardins publics ont des horaires d’ouverture et de fermeture (!), bref, que notre liberté est quasi réduite à néant finalement.

Mais il faut l’admettre, depuis 7 ans je suis toujours aussi amoureuse de cette ville de part sa beauté et sa richesse culturelle. 


Depuis que je suis maman, il faut dire que mes sorties tournent bien souvent autours des parcs et jardins, qui il faut l’admettre, sont très jolis et certains même très sympas pour nos enfants. Mais au bout d’un moment l’envie et le besoin de varier se fait vivement ressentir.

C’est pourquoi j’aimerais vous présenter deux idées typiquement « parisiennes ».

Les spectacles pour enfants ont toujours un grand succès vis-à-vis de nos marmots, et nous parents, nous sommes tellement ravis de voir leur sourire béa et entendre leur rire :-) Vous trouverez un large choix ici.

Il faut admettre qu’à Paris il y a un grand choix dans les représentations, les genres et surtout (non négligeable) il n’y a aucune dépendance à la météo (dans cette région si ensoleillée ;).

Nous n’y pensons pas toujours assez, mais en week-end ou pendant les vacances scolaires, c’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir certaines histoires et contes.

La croisière enchantée en péniche qui permettra de découvrir Paris sous un œil magique et surtout imaginée pour les enfants. Paris est expliquée en chansons et contes par des guides déguisés. Une ambiance qui ravira petits et grands !


Nous sommes installés dans un bateau totalement vitré pour une vision à 360° donc à l’abri, à privilégier par beau temps quand même pour admirer la vue. Pour en savoir plus, c'est par ici

Sur ce je vous souhaite de très beaux moments en famille dans la capitale, pleins de sourires et de béatitude.

sophie (at) desperatehouseman.fr

Article sponsorisé

Billets antérieurs