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27/02/2015

Dépassé...

3 semaines que je veux l'écrire cet article... Je l'ai écrit dans ma tête alors que je donnais un biberon, faisais une purée de 3 légumes et je ne sais plus quel poisson, changeait une couche, filais au parc, courais pour aller à l'école avec la poussette sous la pluie... Bref, vous l'aurez compris, tant de moments à y penser, mais aucun pour mettre l'idée sur le papier. Pardon, sur le blog.

Le titre vous dit tout. Je ne regrette rien, non, n'allez pas croire à un aveu, un recul. Juste, plein de mes innombrables défauts, je pensais avoir sauvé du lot une qualité : celle de l'organisation. Et bien non...

Pourtant c'était bien parti. Congé parental enclenché, je m'évertuais à sauver l'allaitement. J'écrivais un article sur l'après maternité. J’enchaînais les biberons serein et prenais même le temps d'un long tournage pour quelques minutes au 20H de France 2. Ma grande commençait à s'habituer à l'école, à devenir plus facile et à me laisser plus de temps pour souffler de nos bras de fer éreintants post 2nd bébé.

Puis la machine s'est enrayée. Petit à petit. Des vacances de noël éreintantes à voyager à travers la Pologne, le froid, des nuits qui se sont complètement déréglées à base de 25 réveils parfois... La fatigue qui me rattrape. Mon âge surement qui m'empêche de bien la gérer. 


Petit à petit je me suis mis à repousser des trucs au lendemain. Ce que je ne faisais JAMAIS ! Les mails ont commencé à s'accumuler. J'imagine qu'il y a 20 ans ça aurait été le courrier en retard digne d'un Gaston Lagaffe. Mais passons... Des déjeuners annulés faute de temps, des rvs divers et variés (administratifs, médicaux...) qui se cumulaient. Des gens à rappeler oubliés (pardon les gars).  Et on glisse petit à petit. Impossible d'aller aux partiels cette année. Et allez, 250 € de foutu en l'air comme si c'était le moment ! Pas le temps d'ouvrir les livres, d'apprendre, pas le temps de faire l'exposé (de toutes les façons je savais même pas qu'il y en avait un). Puis les nuits, les mêmes, pourries, interminables... Des lendemains où j'utilisais du coup chaque minute pour tenter de dormir. Sauf que je m'endors pas comme un nourrisson (la vieillesse encore et toujours surement). Et ça glisse : mails en retard, courrier, courses, cours, rvs.... Et ça y est, j'y étais, il a bien fallu me l'avouer : je me suis retrouvé DÉPASSÉ !

Le truc que je ne pensais pas possible en étant en congé parental. D'ailleurs, pourquoi ce truc s'appelle "congé" quand c'est tout le contraire : tu bosses toutes le journée, et le soir encore en fait, c'est comme si tu restais tard au bureau et qu'en plus ton boss te rappelle 15 fois dans la nuit pour finir un dossier.


Bref, le temps a filé. J'ai toujours pas repris pied. J'ai tout abandonné, y compris l'espoir d'y arriver. Je ne fais plus qu'une chose : m'occuper des filles. Au moins, ça je le fais pas trop mal. Enfin, je crois, j'en suis même plus sûr. J'en profite, je profite d'elles. Je suis parti seul avec elle en vacances pour tenter de souffler au grand air. Ma grande me scotche de jour en jour. Tellement gentille, tellement grande tout d'un coup ! Ma petite a ses phases (nombreuses) relouds. Mais elle a 8 mois alors c'est normal. Dans ma conception, un bébé c'est sympa jusque 5/6 mois. Puis c'est reloud. Puis ça a 2 ans et ça comprends enfin des trucs donc ça devient moins reloud. J'en suis pas encore là. Je me demande comment font ceux qui en ont 2 relouds. Voire 3. Voire 4. Voire plus. Non, en fait, plus c'est pas possible ou alors tu te drogues.

Là, je suis censé faire les valises. Mais j'avais besoin de vider la mienne de valise. Alors j'ai pris 5 minutes et je publie, très exceptionnellement, sans me relire. Parce que ça fait du bien. Au final, rien ne va mal, rien ne va bien. Je suis juste dépassé. Je fais, je refais, je dors et je recommence.


Mais parait qu'un jour ça s'arrête m'ont dit Cécile et Valérie. Alors je les relis, j'ai un sourire, un peu d'espoir, et je retourne à mes valises et mes biberons.

15/01/2015

2 mois de congé parental en graphiques... #concoursinside

Cela fait à présent un peu plus de 2 mois que je suis en congé parental. Dès le début, et contrairement à ce que je n'ai pas fait pour ma première fille, j'ai voulu tout noter : les couches, les biberons, les heures de sommeil... Sans oublier les vaccins, les fièvres, les médicaments donnés...

Oui, vous pouvez me traiter de psychopathe, ou me dire que ça ne sert à rien... Cependant, de mon coté, si j'ai fait ce choix, c'est que cela m'a servi. Sur certains points, ce recueil de données m'a été très utile. Sur d'autres, c'est pour le fun, voire pour le futile :-)

Pour recueillir ces données et les compiler, j'utilise l'application Baby Connect dont je vous avais déjà parlé ici. J'y reviendrai à la fin de cet article pour vous faire gagner 3 codes pour l'obtenir gratuitement.

Mais en ce qui concerne les données, voici ce que j'ai appris.

Tout d'abord, en ce qui concerne les couches. L'intérêt de le noter, au final, est double : surveiller le transit de bébé, et faire une estimation du coût de revient des couches sur une année. Voilà ce que cela donne sur 1 mois environ. La consommation est finalement assez régulière.

Capture d'écran de l'application Baby Connect

Ensuite, j'avais mesuré les temps de tétées au moment de l'allaitement mixte (matin et soir) pour voir si elle prenait assez au final de lait artificiel en complément. On voit bien la diminution notable avec le temps, qui va jusqu'à la fin de l'allaitement (6 mois et 1 semaine au total). Une difficulté (allaiter et travailler) dont nous avions conscience bien entendu.

Capture d'écran de l'application Baby Connect

Avec cela et en complément, j'ai mesuré le nombre de ml ingurgités par ma fille. Cela m'a permis au fur et à mesure de caler ses repas, et ses horaires. Chaque biberon est pris pour le moment à quelques minutes près, chaque jour à la même heure. C'est aussi un moyen mnémotechnique car cela me permet de voir quand j'ai donné le dernier biberon et si elle est susceptible d'avoir faim (oui j'oublie parfois, avec la fatigue :-).

Capture d'écran de l'application Baby Connect

Bien entendu, je note aussi depuis le début de la diversification les différentes purées/compotes avalées pour éviter notamment de cuisiner de manière trop redondante.

Et enfin, le plus important, les temps de sommeil ! Au final elle est très régulière et dort à peu près le même nombre d'heures sur 24h (entre 13 et 15h).

Capture d'écran de l'application Baby Connect

Par contre, et c'est bien là le problème, les moments sont assez hétérogènes ce qui veut dire qu'elle ne dort pas forcément la nuit du coup :-)

Pour voir (et vous souvenir !) de toutes les nuits pourries, des repas, voire la récurrence de certaines choses, vous pouvez mettre ces données en mode "agenda".

Capture d'écran de l'application Baby Connect

A noter que vous pouvez activer/désactiver les visuels en bas, pour ne voir par exemple que les temps de sommeil, et ainsi constater que vous n'avez pas eu une nuit complète pendant 3 semaines !

Il existe bien d'autres données que je compile aussi : la taille et son évolution (avec affichage des percentiles même si les données ne semblent pas être françaises), le poids, le tour de tête, les vaccins, les rv chez le médecin, les premières fois (se retourne, marche à 4 pattes, debout...). Vous pouvez inscrire plusieurs enfants bien entendu, et procéder ainsi à une comparaison entre le 1er et les autres (à titre informatif bien sûr :-).

Ces données sont également exportables en format .csv au cas où vous souhaiteriez les compiler pour un mémoire d'ingénieur ou de pédiatre par exemple :-)

Bref, si vous aimez les stats, que vous ne voulez pas oublier, que vous aimez les repères, les graphiques... et que cette application est susceptible de vous aider, je vous propose de vous faire gagner 3 codes pour l'obtenir, mais uniquement sur iphone/ipad (disponible sur Android mais pas possible de générer un code cadeau chez eux).

Pour cela, rien de plus simple. Laissez-moi un commentaire en m'indiquant quel type de données de votre enfant vous souhaiteriez collecter avant le 26 janvier à minuit. Je tirerai au sort 3 gagnants à qui je ferai parvenir leur code par courriel (pensez donc à utiliser un mail valable pour laisser vos commentaires).

19/12/2014

Que faire avec ses enfants quand il pleut le week-end ?

Cela fait un moment que je voulais écrire les quelques idées que j'ai eu pour occuper ma grande durant les longs et pluvieux weekends d'hiver.... Voici donc une petite sélection, que j'enrichirai au fur et à mesure, car les hivers se suivent et se ressemblent en général !

Le Kids Palace à Courbevoie (92)
Un espace de jeux intérieurs en mousse, un espace café pour les parents, un prix attractif, la possibilité d'organiser une anniversaire... Bref, ne cherchez plus ou passer votre samedi ou dimanche lorsque le temps est affreux et que votre ou vos bambins le sont également, c'est tout trouvé. Très accessible en voiture, le lieu l'est beaucoup moins en transports. Aucun souci pour se garer par contre.


Le personnel est très sympa et coté sécurité, ma casse-cou n'en est jamais ressorti avec plus d'une bosse :-) L'ensemble est à partir de 3 ans, mais vous pouvez y aller dès 2 ans à condition de suivre votre enfant dans le dédale et dans la piscine à balles donc :-) Le prix est à ce moment là adapté. Pour les tout petits, préférez le dimanche matin avant 11h, plus calme.

Dernière actualité, une structure dédiée aux moins de 3 ans, flambant neuve, vient d'être ouverte !
Désormais les tout petits ont aussi leur terre d'aventure au KIDS PALACE !!! (tarif = 7,50 €)

Kids Palace
8,5 € le matin / 10 € l'après-midi
Formule abonnement : 59 € pour 7 entrées


Les brunchs & Goûters de l’hôtel du Petit Collectionneur
Le luxe des hôtels parisiens est à présent accessible à tous ! La preuve en est avec le lancement par l'hôtel du petit collectionneur, situé à 2 pas du parc Monceau, depuis septembre dernier, des brunchs & goûters avec des ateliers thématiques !


Au programme : des gâteaux succulents, des bonbons, et des ateliers/animations thématiques ! Accessible en voiture et en transport sans aucun souci, vous pourrez vous y mettre bien au chaud dans un lieu magnifique. Bref, un interlude chaleureux et cosy dans l'hiver grisâtre...


Et si votre flemme est telle que même le déjeuner est un supplice, vous pourrez directement tester le brunch !

Hôtel du Petit Collectionneur
51 – 57, rue de Courcelles 75008 Paris
Tél : 01 58 36 67 00
Tarifs enfants 4 à 12 ans :
26 € menu enfant mercredi midi
15 € goûter mercredi 16h à 17h30
28 € brunch enfant dimanche de 12h30 à 15h00
40 € par enfant anniversaire les mercredis, samedis et dimanches
Le programme en 2015


L'aquarium de la porte Dorée
Quoi de plus fun que les poissons ? Ça détends, c'est calme, jolie, les couleurs sont apaisantes...


Situé à la porte dorée, peu accessible en voiture (galère pour se garer) mais très accessible en transports (en face du métro), vous pourrez y passer quelques heures à contempler les plus beaux poissons du monde. Un espace bar au rez de chaussée vous accueillera pour le goûter.


Aquarium de la porte Dorée
Au sein du Palais de la Porte Dorée
Entrée : 5 euros pour les adultes, gratuit pour les - de 4 ans

08/12/2014

Marre de raconter des histoires à vos enfants ? Je vous fais gagner LA solution avec le Sparkup de Lansay !

Le titre est forcément un chouilla provocateur :-) Certes, l'histoire du soir, c'est une tradition ici, tout comme les samedis matins à la bibliothèque, et les lectures pendant certains temps calmes (en l'absence de sieste).

Néanmoins, depuis que j'ai ma seconde, il y a tout de même des moments où je n'ai pas le don d'ubiquité, comme au moment du bain par exemple ! Et si à ce moment là ma fille souhaite que je lui raconte une histoire, je suis coincé :-/

C'est pourquoi Lansay a lancé son Sparkup : un lecteur interactif qui lit des histoires à ma fille pendant que je suis occupé avec le bain de la petite (ce qui m'évite de jeter le bébé avec l'eau du bain dans la précipitation :-). Cet appareil lit et reconnait les livres que vous aurez enregistré préalablement, grâce à une mini caméra frontale qui identifie, reconnait et associe les pages à chaque dialogue. Il vous suffit de les enregistrer avec votre propre voix (cela ne vous prendra que quelques minutes). 


Vous pouvez également les faire enregistrer par vos enfants, ou un tiers (les grands parents par exemple). Personnellement, ma fille a voulu enregistrer la plupart de ses histoires. Elle n'a ainsi plus qu'à clipser son sparkup sur le livre choisi, et c'est parti !

Si vous êtes fan des histoires de Mini-loup, l'une d'entre elle est fournie avec le Sparkup (Mini-Loup au poney-club). On a également la possibilité de télécharger en ligne de nouvelles histoires (à partir du 15/12/2014).

Grâce à son câble USB, vous pourrez sauvegarder vos histoires enregistrés, en ajouter d'autres, et surtout, pourquoi, procéder à un échange avec d'autres parents/ami(e)s ? Bref, de multiples possibilités pour des heures d'histoires (et de tranquillité pendant le bain de numéro "Indiquez ici votre chiffre").


Et si vous manquez de temps, comme tout parent qui se respecte, pour sauvegarder vos enregistrement, rassurez-vous : le Sparkup garde en mémoire jusqu'à 50 livres ! Donc vous aurez un peu de marge :-)

Bref, vous l'aurez compris, j'ai eu un véritable coup de cœur pour ce produit ! C'est pourquoi jusqu'au 14 décembre à 23h59, je vous propose de le gagner. Pour cela, rien de plus simple, un petit mail à concours(at)desperatehouseman.fr en m'indiquant le titre d'un de vos livres préférés que vous souhaiteriez enregistrer à votre enfant. Je procéderai au tirage au sort le lundi 15, et le ou la gagnant(e) recevra son lot avant noël si tout va bien :-) Bonne chance à tous !

Sparkup de Lansay - Produit disponible à l'achat à partir de 43,92 €

Edit : Tirage au sort effectué ce matin et c'est le numéro 5 qui remporte le Sparkup ! Bravo à Vanessa !

27/11/2014

Dormir ou veiller bébé, il faut choisir : Un projecteur d’étoiles Pabobo + un paquet de couches Pampers Baby Dry à gagner !

En ce moment, et pour ceux qui me suivent sur twitter, vous le savez, je ne dors pas beaucoup. Et jai peu d'espoirs de pouvoir vraiment redormir d'ici peu de temps.

Ma seconde fille a 5 mois et me fait des nuits d'enfer après n'avoir pas bronché pendant les 4 premiers mois. Comme ma première en fait... L'histoire se répète...

Ceci étant dit, je cherche des solutions : nourriture, épaississant, homéopathie, neutralisation de la poussée dentaire, musique douce... Bref, j'essaie tout !

2 choses importantes à ne pas négliger : la couche pour maintenir bébé au sec, et une veilleuse qui apaise.

C'est pour cela que Pampers et Pabobo s'unissent pour aider bébé à passer des nuits paisibles.

D'un coté, la marque Pabobo qui invente et propose tout un univers de lumières pour les petits tout en douceur : berceuses, veilleuses ou encore lampes d’ambiance à l’image des Barbapapas préférés de ma fille. De quoi combler tous les enfants !


De l'autre, Pampers, qui essaye de concevoir des couches toujours plus absorbantes !

C'est pourquoi Desperate Houseman vous propose grâce à l'association de ces 2 marques, de gagner 1 paquet de couches Baby Dry, ainsi qu'un projecteur d'étoiles Pabobo !


Concours Pampers + Pabobo sur le blog

Pour cela, rien de plus simple : répondre par courriel (concours (at) desperatehouseman.fr) à ces 2 questions, avant le 9 décembre à minuit :
- Quelles sont les 4 caractéristiques des Pampers Baby Dry pour aider bébé à passer une bonne nuit ?
- Quels sont les 2 modèles existants de produits Pabobo sur la thématique des Barbapapas ?

Alors à vos claviers et bonne chance à tous et toutes ! Je tirerai au sort le gagnant dans la foulée parmi les bonnes réponses !

Edit : Le tirage au sort a parlé (filmé sur instagram) et c'est donc le numéro 2, Yohann, qui a gagné ! Bravo à lui !

07/11/2014

Ces principes auxquels je n'ai pas renoncé...

Depuis que je suis devenu père, ma rengaine préférée (et celle de la plupart des gens que je fréquente d'ailleurs), c'est "Avant, j'avais des principes. Maintenant, j'ai des enfants".

2 phrases qui résument finalement à elles seules la "violence" que peut représenter ce changement de vie. Car en fait, il y a plusieurs temps :
- Celui où tu penses pas à avoir des enfants et où ceux des autres te font profondément ch....
- Celui où tu penses à avoir des enfants, tu penses à t'y mettre, tu te renseignes, et tu commences à regarder les enfants des autres d'un autre œil : ils te font toujours ch... mais tu te dis que toi, à leur place, tu ferais pas ça, tu ferais autrement et beaucoup mieux. Même que parfois tu vas jusqu'à leur dire, toi petit nullipare prétentieux venu de nul part !
- Celui où tu deviens parent et où tu te dis "Putain, mais pourquoi j'ai pas fermé ma grande g...."

Parce que oui, au final, tes principes tu te les colles bien profond où je pense. Tu subis la vague tel Brice de Nice sur la côte basque (ndlr en pleine gueule pour ceux qui ont pas vu le film et désolé si je vous spoile). Tu essayes de survivre, de t'organiser, de gérer, mais c'est fini : plus rien ne sera comme avant, tes principes fondent comme neige eu soleil, tu cèdes sur tout et rien, tu abandonnes le peu de fierté qu'il te restait.


Néanmoins, et après 2 ans quelques mois quand tu recommences à dormir, que tu as enfin un peu de temps pour toi, tu fais le bilan, et tu coches, tous ces principes que tu as enterré. Et puis tu te dis que non, c'est pas possible, il y en a bien quelques uns que tu as conservé, n'est-ce pas !?

Et bien, c'est le bilan que j'ai fait il y a peu, et plutôt que de vous citer tous ceux auxquels j'ai renoncé (car je n'aurais pas assez d'un billet de blog en fait et vous arrêteriez de lire bien avant la fin), j'ai préféré dresser (et vous inviter à faire de même) tous ces principes auxquels je n'ai pas renoncé. Car même si il ne sont pas nombreux, ils me donnent au final l'impression de ne pas avoir été un si mauvais parent que ça :-)

Avant de passer à la (courte) énumération, je tiens à signaler que ces principes sont les miens et ne sont pas un jugement sur ce que devraient être ceux des autres ! Chacun fait ce qu'il veut, et surtout ce qu'il peut !

Je n'ai donc pas renoncé à :
- Lui faire manger du bio jusqu'à ses 2 ans (même si j'ai pas préparé grand chose au final)
- Ne pas lui mettre la télévision (ou écran) du tout avant très longtemps, et très peu après en fait, passant des semaines de vacances sans aucun dessin animé, film d'animation....
- La sortir au parc presque tous les week end jusqu'à ses 2 ans, qu'il pleuve, vente, neige ou fasse soleil !

Voilà, pour tout le reste, considérez que j'ai échoué et jeté l'éponge très (trop ?) tôt ! J'essaierai de faire mieux avec numéro 2, en espérant que l'expérience et le congé parental m'aideront !

Et vous, quels sont ces principes auxquels vous n'avez pas renoncé ?

PS : J'ai tout de même rencontré il y a peu, une personne, qui, aussi impressionnant que cela soit, n'a renoncé à AUCUN de ses principes ! C'est un truc de malade, mais je vous assure, cette personne existe ! ! ! 

19/10/2014

Ce jour où ma vie a basculé...

Cela a commencé en janvier 2014. Des petits signes, des petites alertes... Je voyais bien qu'il y avait des ratés, que le temps ne jouait pas en ma faveur. Puis les ratés ont commencé à se faire plus nombreux. Plus fréquents. Les gérer fut de plus en plus difficile, même si j'étais bien épaulé finalement. 

Les mois ont passé. J'aurais du le voir venir, comme le nez au milieu du visage. J'aurais du "l'anticiper". Mais voilà, je n'ai pas su, je ne m'y suis pas préparé. Ma seconde fille est née, m'apportant une accalmie. Mais à la rentrée, les ratés me sont revenus en pleine face. Et le couperet est tombé, me mettant face à cette évidence : ma fille ne ferait plus la sieste !


Et là, finalement, tu as beau t'y être préparé, tu as beau réussir tant bien que mal de temps en temps à lui imposer un temps calme, force est de constater que rien ne remplacera jamais la sieste ! Ce moment que tu avais pour toi, qui te faisait une coupure dans la journée, qui te permettait de faire une sieste crapuleuse te reposer, de regarder une série, de faire une pause quoi, une vraie ! Tout cela est bel et bien fini, snif :-(

Certes, cela n'est pas négatif et a (surement) ses avantages : partir plus tôt profiter du beau temps (avec l'été pourri qu'on a eu c'est primordial !), faire plein d'activités manuelles quand il pleut (youpi !), mais surtout, et c'est bien au final la seule chose qui rattrape, la voir se coucher et s'endormir tôt ! Et quand je dis tôt, je parle de couchers négociés parfois à... 19h30 ! De quoi retrouver des soirées séries, films & autres loisirs...

Après, cela signifie aussi que ma fille grandit, qu'elle acquiert plus d'autonomie (commet ça non, pas tant que ça ?), qu'elle devient une véritable petite fille et s'éloigne du bébé que j'ai connu à coté duquel j'ai tant adoré faire la sieste durant ces 2 dernières années et demie. Moi qui ne suis pas un grand nostalgique du temps qui passe par rapport à ma fille, ce moment là est, finalement, un des seuls que je regretterai vraiment...

12/08/2014

Test de la formule "TGV Family"

A mon tour d'apporter ma contribution sur les modes de voyage avec bébé ! Dernièrement, j'ai du me rendre dans le sud (à Bordeaux pour être précis), seul avec bébé (12 mois au compteur à l'époque). Mon choix était donc limité quant au mode de transport : le train. Le covoiturage me paraissant difficile, vu que je ne me voyais pas imposer mon marmot à un(e) inconnu(e) :-)

TGV Family

J'allais donc en agence pour en savoir un peu plus. Le vendeur me voyant avec poussette et comprenant ce que j'allais subir et ce que j'allais faire subir aux autres passagers en cette période estivale, m'orienta rapidement vers la nouvelle offre SNCF en vigueur depuis 2011 : le TGV Family.

Késako ? Et bien, en fait, une voiture réservée aux familles et aux parents avec de jeunes enfants pour que nous soyons "entre nous" et que les autres passagers (que j'ai été un jour il y a tellement longtemps que je m'en rappelle plus) ne soient pas/plus importunés par le bruit et les pleurs de nos chers bambins.

TGV Family

A noter coté pratique : le TGV Family n'existe pas sur toutes les destinations, et certaines destinations n'en ont un que... tous les 15 jours ! Bon, pour Bordeaux, en période d'été (si été il y a un jour), c'est une fois par jour.

Je bookais donc l'option moyennant 5 euros de plus que le prix du billet normal (6 euros depuis), et m'enquillait aussi les 9 euros pour le forfait bambin, histoire d'avoir un siège si bébé voulait dormir, ou foutre le bordel (sur son propre siège, c'est toujours ça de gagné).

TGV Family

Arrivé en gare donc, l'accueil est fait en voiture par une animatrice dédiée qui va officier dans la voiture durant les 3 heures du trajet, et qui dispose pour cela d'une valise remplie de jeux, coloriages... Bien sûr, pas grand chose pour les bébés, mais bon, j'étais prévenu et j’avais prévu. Elle me dégote tout de même gentiment 3 petits bibelots qui font du bruit et qui occuperont ma fille un bon quart d'heure, et lui fait une fausse médaille d'or en papier (ah oui, le thème de la journée c'était les JO !) que bébé déchirera en quelques secondes (mais bon, c'était toujours ça de pris niveau temps d'occupation).

Bref, vous l'aurez compris, l'animatrice, si elle a été super (je la salue au passage) est là pour faire des animations aux enfants à partir de 4 ans. Elle ne vous apportera donc rien. Au mieux, elle surveillera votre progéniture le temps que vous alliez p.....

TGV Family

Parlons à présent des quelques petites choses qui m'ont fait tiquer. Car oui, avec la SNCF, il y en a forcément, ou ça ne serait pas drôle.

Première chose : mon wagon était à moitié vide (cool, non ?) mais certains passagers n'étaient pas du tout au courant qu'ils se trouvaient dans la voiture TGV Family, et semblaient donc agacés de la présence d'enfants et de cette erreur. Je les comprends, surtout que nous, on paye pour les laisser tranquille et ne pas subir leur regard, donc...

Par contre, et là encore, merci la SNCF, le reste du train était en surbooking. Conséquence : la contrôleuse commença à placer d'autres passagers en rade qui, non contents d'avoir une place, commençaient à râler de la présence de ces enfants bruyants (la mienne dormait donc je me dédouane). Alors qu'ils étaient dans notre wagon, b.... ! Je m'insurgeais donc rapidement contre cela, et, effet convaincant ou pas, le placement à l'arrache des boulets cessa. Le reste du voyage se déroula donc sereinement, avec une poussette au milieu du wagon, seule endroit ou ma fille accepta de dormir.

Pousette

En conclusion, si l'expérience est à tenter, je vous confirme que, à moins d'avoir un(e) hyperactif/ve à noyer au milieu des autres enfants, le TGV Family ne sert à rien si votre bambin a moins de 4 ans (3 ans pour les précoces). Préférez plutôt la première, souvent pas plus chère en prem's, et où le taux de remplissage des wagons est faible, vous assurant une certaine tranquillité et un espace de jeu à la hauteur des demandes de bébé.

29/07/2014

Et si ça avait été nous ? Ou la chronique d'une grossesse stressante...

Pour ceux qui me lisent de temps en temps par ici, ou me suivent sur twitter, vous le savez peut être, mais je viens d'avoir une seconde petite fille. Née le jour de l'été, et en parfaite santé pour le moment. Mais pour autant, si la grossesse s'est globalement bien passée pour la maman, on ne peut pas dire qu'elle a été vécue sereinement.

Pour les 2 grossesses, j'ai été présent à toutes les échographies, et j'ai toujours tout fait pour y être. Sauf une. Cette dernière échographie de ce second bébé. Celle qui allait créer une suite d'évènements qui nous a fait vivre un véritable stress, à quelques semaines de la rencontre avec notre bébé. Voici l'histoire condensée, et les questions que cela m'a amené à me poser. Un petit retour d'expérience qui, je l'espère, aidera les personnes qui seraient susceptibles de vivre la même chose.

Monitoring Philips

Cette seconde grossesse se passait bien. Tous les signes étaient au vert, et pour beaucoup de choses, c'est l'avantage du second, on connaissait : les exams, les prises de sang, les taux à surveiller, les trucs à faire/ne pas faire... Bref, tout était sur des rails, jusqu'à cette 3ème et dernière échographie.

Déjà, le destin nous avait prédestiné à un problème. Impossible d'avoir un rendez-vous sur un horaire où notre première fille (la grande) serait gardée. Ce qui signifiait du coup forcément qu'un de nous 2, pour la première fois, ne serait pas à cette 3ème échographie. Je vous laisse deviner qui.

Bref, c'était un samedi matin. Un samedi d'avril, de printemps pluvieux et gris comme on les aime les déteste. La maman revient de son rendez-vous et m'annonce, laconique : "Il y a un problème". Mon sang ne fait qu'un tour. C'est à dire ? Je prends le bilan, et cherche l'indice. Là, dans les mesures, il y a un truc qui ne colle pas : le fémur est "trop petit".

Là, il convient de faire un aparté. Qu'est-ce qu'un fémur dit "trop petit" ? Sur quoi se base-t-on pour avoir une telle affirmation ? Et bien, tout simplement, sur des statistiques, qui donnent des courbes. Des tas et des tas de données qui sont rentrées dans la machine, qui du coup les compile et en sort des résultats attendus par rapport à une courbe.

Et là, c'est le drame : le fémur de notre seconde fille sort de la courbe, vers le bas. Là, le point est juste en dessous. La taille mesurée est en dessous du 3ème percentile. Ce qui signifie que, en résumé, dans toutes les données rentrées de toutes les tailles de fémur mesurées, moins de 3 enfants sur 100 ont une taille comme celle-ci, ce qui les situe en dessous de la moyenne. Et donc, déclenche tout un tas d’événements.

Instruments médicaux

L'obstétricien prescrit une échographie de contrôle en Centre Pluridisciplinaire de Diagnostic Prénatal. Bien entendu, il ne lui a pas vraiment expliqué pourquoi, on est samedi, et le temps que je réagisse il est parti. Plus personne au cabinet, et le week-end est un week-end prolongé. Entre temps, ma femme a fait l'erreur à ne pas faire : elle a tapé "risque petit fémur" dans un moteur de recherche. Elle tombe donc sur tous ces témoignages, venus d'on ne sait où (la plupart sont surement vrais je n'en doute pas), non vérifiés, de parents affolés à qui on a prédit un risque d'enfant trisomique

J'avais dit que je ferais court. Pas évident au final. Madame est un peu affolée. J'ai du mal à rationaliser. J'attrape mes bouquins de biologie cellulaire espérant y trouver une réponse rassurante. Rien, nada. Je me décide donc à me rabattre sur le net, et à analyser les témoignages en essayant de les classer : des plus sérieux aux plus complets. J'en sors 4 ou 5, qui ont indiqué tout leur parcours : de l'annonce du fémur trop petit, à la naissance. Dans 95% des cas, l’histoire se finit bien. Ouf, un petit espoir pour rassurer madame. Mais les 5% sont là aussi et vont rester dans un coin de notre tête.

Le week-end se passe. Difficile d'évacuer, on tombe dans l'attente. J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne vois rien de plus : risque faible mais existant, fémur petit mais pas si petit, reste de l'analyse ok....

Mardi arrive. Au saut du lit je cherche le centre le plus proche pour avoir un rendez-vous. J'ai déjà récupéré la liste, elle est courte mais heureusement, là où il y en a le plus, c'est à Paris. Après quelques coups de fils, je décroche le rendez-vous tant attendu, où nous espérons des réponses, des éclairages...

Désinfectants et matériel médical

Le jour J arrive rapidement finalement. La gynécologue obstétricienne qui nous reçoit est très bien. Le 8ème mois de grossesse est en cours. Bébé est viable, entier, bouge, remue. On le sent, il a l'air en forme. L'échographie dure son temps. Le médecin nous livre son analyse : tout va bien, sauf ce fémur, trop petit, là, juste en dessous de la courbe. Elle nous propose une amniocentèse, et si le résultats est positif à la trisomie 21, une interruption thérapeutique. A 8 mois. Je suis scotché... Je ne peux à ce moment là m'empêcher de me souvenir de cet excellent article d'un médecin blogueur. Je me le repasse dans ma tête. Il m'a d'ailleurs beaucoup aidé à relativiser pendant cette période de stress, et rien que pour ça, je l'en remercie.

Je fais un calcul rapide aussi : amniocentèse programmée, résultats sous 3 semaines, ça veut dire résultats durant le 9ème mois. Quel intérêt ? Nous garderons le bébé quoi qu'il en soit. Il n'est pas question ici de religion ou de toute autre croyance : mon bébé aura 9 mois, si elle est différente, nous ferons avec. C'est comme si elle était déjà là. La question de l'interruption est évacuée. Par omission volontaire, ou non, elle ne nous parlera pas de cette nouvelle technique, moins invasive, qui est possible depuis cette année par prise de sang. Il valait peut être mieux finalement. Consciencieusement, et après s'être assurée que nous avions bien tout compris, elle écrira sur son compte-rendu, en guise de conclusion (je vous cite mot pour mot) : "Les parents ont été avertis du risque et sont prêts à accueillir un enfant différent". Elle ne fait que son boulot, je ne la blâmerai pas. Elle se protège, protège l'hôpital. Suit la loi, les protocoles existant. Nous ne sommes au final que des parents parmi d'autres, des statistiques....

Le rendez-vous se termine. Rien ne s'est mal passé, mais nous ne sommes pas plus avancés : le risque est faible mais il existe. D'ailleurs, je le sais, c'est mon métier : le risque 0 n'existe pas. Je garde un arrière goût nauséeux de tout ça. A quoi tout cela a-t-il servi ?

La suite est simple : je recontacte notre échographe, qui nous demande de revenir au début du 9ème mois pour une écho de contrôle de croissance. Cette fois je serai là, pas moyen que je la rate. Je prends le rendez-vous moi-même. On part en vacances quelques jours. On oublie, mais on garde quand même ce truc qui nous gratte, nous trotte dans un coin du cerveau. Un soir je reprends les données des échos de sa sœur que j'ai récupérées. Je compare à semaines égales avec un petit calcul mathématique et quelques exponentielles. A l'arrivée, le fémur de la seconde a 5mm de moins que la 1ère. 5 p.... de millimètres ! La moitié de mon ongle !!!!

Il est temps d'en finir. L'échographie dite "de croissance" se passe bien. Le fémur est toujours hors courbe, mais pour la première fois, le médecin est rassurant. Il semble confiant, pas inquiet. Cela aura son effet. Le dernier mois s'écoule, le jour J arrive, puis le jour J+1, en 3 heures notre petite fille arrive. Elle est là. Un beau bébé de 3kgs800 et presque 50 cms. En pleine forme. "Normale". Je ne retiens pas mes larmes, ni mon bonheur. Tout ça.... pour ça. A défaut d'avoir savouré cette grossesse (je n'ai pas vraiment savouré la première mais ça, je vous le raconterai une autre fois), je savoure cette naissance. Tout simplement....

Résultat de monitoringe en salle de naissance

04/07/2014

Ramener la maternité chez soi : berceau, pèse-bébé, allaitement...

Pour ceux qui me suivent et me lisent régulièrement par ici, vous le savez, je viens d'avoir ma seconde fille. Contrairement à la première fois, on est beaucoup mieux organisé (si, si, je vous assure !). J'ai donc posté quelques photos de mes choix, sur instagram et twitter, et reçu beaucoup de questions. J'ai donc décidé de faire un petit article de blog, rapide, qui vous permette, si vous attendez un enfant dans les prochain(e)s semaines/mois, de vous organiser et de bénéficier de ces choses pratiques.

Location du berceau de la maternité
Mes filles vont dormir ensemble et partager leur chambre. Néanmoins, en attendant, la seconde, allaitée, est dans notre chambre. La question, une fois le choix fait, restait de savoir où la mettre : couffin trop petit à notre goût et pas pratique, lit parapluie obligeant à se casser le dos... Nous avons donc décidé de louer le berceau de la maternité (celui en photo ci-dessous). Très pratique car il possède 4 roues (ne faites pas la course pour autant avec), peu encombrant, transparent pour voir bébé, et surtout friendly pour le dos de celui des 2 parents qui va chercher bébé la nuit :-) Le berceau se loue pour environ 30 euros par mois en pharmacie, compter 2 à 3 jours pour la livraison. Il vous faudra néanmoins (éventuellement) fabriquer le matelas (en le découpant dans une chute de mousse par exemple) ou vous le faire prêter par un(e) ami(e) qui en a déjà un (merci Delphine :-). Dernier choix : l'acheter (compter 54 euros tout de même !) et le mettre ensuite vous-même en location sur un site tel que Zilok par exemple.


Location d'un(e) balance/pèse-bébé
Pour notre première, nous étions tous les 2 jours fourrés à la PMI pour peser bébé et s'assurer qu'elle grandissait et grossissait bien surtout. Pour notre seconde, même si nous étions assez confiants vu son appétit, nous avons tout de même voulu nous assurer d'une prise de poids correcte. Nous avons donc loué en pharmacie une balance numérique pour la peser. Le coût est modique (de 4 à 8 euros la semaine selon les pharmacies). Là encore, compter de 2 à 3 jours pour la livraison selon les officines. Vous pouvez également louer une toise pour mesurer bébé, notamment sur Zilok. Très utile les premiers mois si bébé est un petit gabarit.


Location d'un tire-lait
Dans la mesure où ma femme reprendra le boulot avant les 6 mois de notre fille, elle souhaite, comme pour la première, tirer son lait de manière à ce qu'elle puisse continuer un allaitement maternel par mon intermédiaire au biberon (je serai en congé parental). Nous avons donc loué, là encore en pharmacie, un tire-lait électrique de la marque MEDELA. Là par contre, la sage-femme de l'hôpital, votre gynécologue, ou votre médecin traitant, peut vous faire une ordonnance. Le remboursement via sécu + mutuelle peut alors être intégral.

Tire-lait électrique MEDELA, double pompe

Stockage du lait maternel
Ce lait maternel, il vous faudra le stocker. De notre coté, nous avons choisi de le faire dans des petits pots de conservation AVENT, très pratiques et très ergonomiques (réutilisables pour beaucoup de chose après d'ailleurs : purée, viande, sauces, vin... !).

Pot de lait maternel dans contenants Avent Philips

Après, si comme nous vous faites des bébés d'été, vous risquez de vouloir aller vous balader un peu partout en vacances, et le stockage du lait maternel est alors plus pratique dans des sachets de conservation spécifiques. Ils prennent moins de place et seront plus faciles à stocker le jour du grand retour des vacances dans une glacière électrique par exemple. De notre coté, nous avons choisi de prendre 2 sets de marque différentes : AVENT et ELANEE.

Sachets pour le lait maternel

Voilà, pour le moment par rapport aux questions. J'essaierai d'enrichir cet article durant ce premier mois. Si vous avez des questions, n'hésitez pas : mail, twitter, IG, commentaires !

02/07/2014

Didou, Dora et Mickey partent en vacances...

La tablette et les enfants, c'est une longue histoire et un vaste débat, commencé dès leur apparition. Difficile, dans ce cas là de nous mettre à leur place ou de comparer à ce que nous avons vécu, car notre génération n'a pas connu ce phénomène (enfin, à l'heure où j'écris hein :-).

Je ne vais pas relancer ici le débat sur l'âge et la pertinence de mettre bébé devant une tablette. De nombreux (excellents) articles ont été écrits dessus dont celui d'Anne ici,  et je vous renvoie également à la littérature existante sur le sujet (livre de Serge Tisseron).

Toujours est-il que ma première fille a à présent 3 ans, et que j'ai donc commencé à lui mettre une tablette entre les mains (un ipad pour être précis). J'ai donc essayé de lier les loisirs et les apprentissages, en essayant de sélectionner des applications pertinentes. Je n'ai pas la prétention d'être ici exhaustif ou un référent sur le sujet, mais après plusieurs tests, voici une sélection des 3 applications qui ont le plus retenu mon attention, pour leur pertinence, leur coté ludo-éducatif et leur jouabilité (à noter que je ne suis pas du tout joueur de jeux vidéos, ignorant tout des blockbusters de ce monde :-).

Numéro 1 : Didou apprends moi à compter !

Didou

Des différentes applications testées, c'est mon coup de cœur : extrêmement bien conçue et pensée, progressive, elle permet à l'enfant une autonomie maximale et un apprentissage des chiffres à son rythme. C'est l'application qui, une fois lancée, ne m'oblige pas à revenir toutes les 30 secondes ("papa, j'y arrive pas, papa, c'est cassé, papa, il est où Didou..."). Les niveaux se débloquent quand l'enfant a réussi à relier les chiffres, pour augmenter la difficulté au fur et à mesure. Ainsi, en quelques semaines, ma fille est passée du niveau "3" (donc 1,2,3) au niveau... 9 ! Elle identifie à présent les chiffres et leur ordre, et arrive à respecter le comptage. Elle revient régulièrement sur ce jeu, ne s'en lassant finalement pas trop pour le moment.

Disponible sur Itunes pour 1,79€ - Google Play (Android) pour 0,89 €


Numéro 2 : Dora et le spectacle de fin d'année 


Applis bébé

On ne présente plus Dora l'exploratrice (sinon c'est que vous êtes pire que moi avec le foot, lorsque j'ai découvert qu'il y avait une coupe du monde hier :-) et ses aventures extravagantes avec son petit singe Babouche. Il existe plein de déclinaisons d'applications sur tablette. Après plusieurs tests, j'ai retenu celle-ci, et à l'usage, je ne le regrette pas. Les instructions données par Dora sont claires, les apprentissages diversifiées : agilité tactile, reconnaissance animale, éveil musical...On peut jouer en progression (niveau après niveau) ou choisir de faire à chaque fois un environnement/niveau différent (la forêt, la salle de spectacle...). Là encore, ma fille est relativement autonome (sauf pour la maison des lapins) et semble ne pas trop se lasser. Après, coté adulte, la récurrence des instructions de Dora peut parfois un peu vous taper sur les nerfs (les initiés comprendront) ^_^. Seul regret : seulement 5 mondes pour un prix d'appel un peu onéreux, et produit non disponible sur Google Play (Android).

Disponible sur itunes à 4,49 € - Non disponible sur Google play

Numéro 3 : Disney Junior Play


Mickey saison 1


Contrairement à d'autres enfants, ma fille a mis beaucoup de temps à rentrer dans l'univers Disney (elle n'y est d'ailleurs pas du tout coté blockbusters des dessins animés type Cars, Cendrillon, Toy Story, j'en passe et des meilleurs). Elle a néanmoins commencé suite à l'achat d'une peluche Minnie à accrocher avec les personnages classiques : Mickey, Minnie, Donald... J'ai donc tenté de lui mettre l'application Disney Junior Play. Contrairement à mon choix 2, l'application est très riche, et si on en a pour son argent au final, il est un peu plus difficile pour l'enfant de 3 ans de s'y retrouver dans cette foultitude de mondes variés et variants. Ma fille s'est donc rapidement concentré sur "La maison de Mickey", un monde à l'intérieur des mondes. Les différentes épreuves ludo-éducatives proposées à l'enfant sont là encore très variées, allant de l'agilité tactile (rattraper des pommes dans un panier) à la créativité artistique (la penderie loufoque, pour habiller les personnages de différentes manières et faire des photos, qui remplissent vite votre appli photos d'ailleurs :-). Une richesse difficile à appréhender au départ donc et qui a nécessité un accompagnement de ma part. Bien pratique par contre (même si très marketing :-) le lien vers la boutique vidéo où j'ai acquis plusieurs épisodes de la maison de Mickey : format court, participatif, idéal pour le train, ce qui tombe bien à quelques jours des vacances et du départ en TGV :-)

Gratuite sur itunes (avec pack de jeux supplémentaires payants après, soit 5,99 € pour lot de 4 packs) - Non disponible sur Google Play

06/06/2014

Nos allergies et celles de nos enfants : comment mieux les comprendre et les prévenir ?

Vous faites peut être partie de ces parents qui ont des enfants allergiques : que ce soit aux piqûres de moustiques (comme ma fille), au lactose, aux pollens, aux fruits à coque... A moins que vous ne soyez vous-même allergique, aux chats par exemple ?

L'allergie se définit sur un plan purement médical par une réaction anormale et excessive du système immunitaire générée par un contact avec une substance généralement étrangère à l'organisme, ou non tolérée. Le déclenchement de la réponse immunitaire est alors rapide et peut prendre diverses formes, de la plus bénigne (rougeurs, eczéma, rhinite...) à la plus violente (choc anaphylactique).

L'allergie est donc un phénomène complexe, récurrent dans notre société mais néanmoins très individuel car dépendant de nombreux facteurs (génétique, environnement...) propres à chaque individu.


C'est pourquoi les experts de la Fédération Française d’Allergologie ont souhaité éditer un ouvrage vulgarisé, accessible, et donc destiné au grand public. Le but : mieux comprendre et mieux soigner toutes les allergies.

Car s'il est un constat que l'on peut poser et observer au quotidien, c'est bien que ces dernières ont fortement augmenté au cours des récentes décennies dans le monde entier.

Cet ouvrage de référence offre de nombreux schémas et illustrations, et toutes les réponses d’experts, pour vous aider à mieux les comprendre, mais surtout à mieux les prévenir.

Au programme, toutes les clés pour :
- comprendre les mécanismes de l’allergie ;
- découvrir comment se déroule une consultation chez l’allergologue ;
- tout savoir sur les manifestations allergiques ;
- connaître les différents types d’allergènes ;
- se tenir informé des traitements possibles et de l’avancée des recherches actuelles.

Le grand livres des allergies
Fédération française d'allergologie
Editions Eyrolles
378 pages

A partir de 23,66 € sur Amazon.fr

18/04/2014

L'angoisse de la nuit

Je ne sais pas pour vous, mais moi, en ce qui me concerne, avant de devenir parent, la nuit, c'était plutôt synonyme de ça :

Table de fête

Bref, rien d'angoissant à cela, bien au contraire ! Mais à partir du moment où j'ai eu ma fille, la nuit n'a plus signifié du tout la même chose. Surtout l'hiver, où les nuits commencent tôt et sont trèèèèèès longues. Très rapidement, de "c'est la nuit, faisons la fête, sortons, regardons des séries télé à pas d'heure, faisons des parties de jambes en l'air des siestes crapuleuses, mangeons et buvons, festoyons..." ; je suis passé à une sensation complètement différente : celle de l'angoisse de la nuit.

Pourquoi me direz-vous ? Là encore, chaque parent le vit différemment et beaucoup n'ont pas ce souci, mais de mon coté, ce fut :
- L'angoisse de l'enfant qui ne dort pas, te réveille au pire moment (celui du sommeil lourd et profond) et ne veut pas se rendormir
- L'angoisse de l'enfant malade qui plafonne à 40° de fièvre et ne se rendormira donc pas tant que la fièvre sera pas tombée.
- L'angoisse du départ aux urgences car la fièvre ne tombe pas que y'a plein d'autres trucs inquiétants en plus, sous la pluie et dans la nuit, où tu crois être dans un mauvais film de série B
- L'angoisse du réveil lorsque tu n'entends plus ta fille respirer, que tu te précipites pour voir ce qui ne va pas, et qu'en fait elle respire très bien, mais que tu as eu tellement peur que tu te rendormiras pas toi !
- L'angoisse de la toux chronique de l'enfant qui va te réveiller toutes les 5 minutes, rendant ta nuit plus haché qu'un steack "caché" (humour inside) et que quand il arrête c'est l'heure de te lever et d'aller travailler.
- L'angoisse de tes angoisses : celle où tu te réveilles en pleine nuit, tu as chaud, tu penses à des trucs horribles et tu te dis que tu vas crever là d'une crise cardiaque tout seul sur ton carrelage alors que pour une fois tout le monde dort.
- Plus subtil : l'angoisse du soir qui est tombé, de la nuit qui s'est installée alors que l'enfant dort et que toi, tu sais que ta nuit sera pourrie alors tu veux pas aller te coucher même si t'es crevé car tu veux pas avoir à te réveiller (capillotracté je sais mais vrai !)
....

Pluie de nuit

Bref, quand t'as des gosses, la nuit c'est plus sympa. C'est un moment de solitude énorme, où tu te sens seul, où tout est fermé (y'a bien des épiceries ouvertes 24H/24 pourquoi pas les transformer en cabinets de pédiatrie nocturnes où tu pourrais picoler pendant que le doc s'occupe de ton gamin ? Comment ça je divague ?), où le monde semble s'être arrêté (même si t'es en ville ça change rien !), où tu te dis que tu reverras pas le soleil (d'ailleurs parfois tu le vois pas parce qu'il pleut le jour suivant ta nuit pourrie alors que m..., un peu de soleil ça ferait du bien, pfff...)

Bon, heureusement, avec le temps, j'ai trouvé des petits choses à faire durant ces milles nombreuses nuits pourries, pour occuper mon esprit et essayer de me focaliser sur autre chose que mes angoisses. Ainsi, en presque 2 ans, j'ai réussi :
- A relire presque toutes mes BDs (surtout des Tintins au début, me demandez pas pourquoi je sais pas, peut être parce qu'il n'y a jamais de gosse dans ses aventures)
- A finir tous les Angry Birds avec 3 étoiles à chaque fois (je peux le prouver !) car c'est un des rares jeux ou tu peux jouer d'une main pendant que tu berces de l'autre
- A papoter avec des gens formidables (si, si !) sur twitter grâce aux deux hashtags que sont la #teamnuitpourrie et #teamhibou (même si dans le second y'a pas que des parents en fait, alors que sur le 1er, tu peux pas te gourer), ce qui fait que tu te sens un peu moins seul. C'est un peu comme si au final, on était tous dans un salon à bercer nos gosses qui braillent au milieu de la nuit, à discuter de tout et de rien, très détendu(e)s comme si de rien n'était. A tenter comme expérience ?

Bref, tu l'auras compris cher/chère lecteur/trice, j'en ai bavé la nuit. Et je suis bien content d'en être à peu près sorti. Je trouve donc cela très déprimant de me dire que d'ici 2 mois environ, ben j'y retourne :-/ A croire qu'on aime ça au final, non ?

17/03/2014

Sport et Weleda : tout est là ! (un article à 4 mains)

Dans ma jeunesse, j'étais sportif. Ou devrais-je dire en fait "avant d'avoir des enfants". Car il faut bien le dire, je ne fais malheureusement plus beaucoup de sport depuis que j'ai une fille (et bientôt 2). Par contre, là où vous vous dites (surtout si vous êtes parent et dans ce cas là) : "oui, avec les enfants, le sport c'est un peu en option, ou tous les jours selon le point de vue" ; et bien ce n'est pas mon cas !

Le sport est entre parenthèse chez moi pour cause de blessures à répétition (lésions méniscales aux 2 genoux, pubalgie...). Bref, mon corps m'a lâché et le temps de récupération/repos nécessaire avec des enfants pour tenter de soigner tout ça est juste non négociable.

Event Weleda / INSEP

Néanmoins, lorsqu'on m'a proposé de tester une gamme de soin Weleda de récupération au sein de l'INSEP (Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance), j'ai sauté sur l'occasion. Tout d'abord, car ça ne peut pas me faire de mal et que je n'ai pas encore essayé (je parle des soins Weleda pas du sport hein :-). Ensuite, parce qu'étant jeune, l'INSEP, c'était mon rêve, donc visiter leurs locaux, c'était un peu comme réaliser un rêve de gosse...

Par contre, étant complètement cassé et souhaitant avoir le point de vue d'une sportive opérationnelle (pas comme moi), j'ai proposé à mon amie Sophie (qui écrira de temps en temps par ici) de m'accompagner. Avant de vous livrer mon sentiment, je lui laisse le clavier...

En ce vendredi ensoleillé, c’est parti pour une après-midi sport, organisée par la célèbre marque WELEDA pour fêter leurs 10 ans de partenariat.

A l'arrivée, un magnifique buffet nous tend les bras ! Alors même que nous sommes venus pour nous dépenser physiquement et brûler des calories, nous voilà en train de déguster de succulentes vérines et cannelés :-) 

Event Weleda / INSEP

Très rapidement, on rentre dans le vif du sujet. L’équipe très sympathique de WELEDA, à l’image de cette marque très proche du public, nous présente succinctement l’histoire de cette marque et le partenariat avec l’INSEP.

Le programme des activités se précise dans le détail. De mon côté je choisis le groupe "sportif du dimanche" (beaucoup plus dur qu'il n'y parait vous allez voir !) animé par Sylvain Niay, coach sportif. Et nous voilà partis pour une heure sur une piste d’athlétisme à faire des tours en footing, des étirements, du gainage ou encore des fractionnés ! Défoulement assuré au soleil de cette fin d'hiver.

Event Weleda / INSEP Event Weleda / INSEP

Ensuite place à la détente, car il faut bien aller se relaxer de cet effort court mais intense. Mes jambes n’avaient pas autant speedé depuis l'entraînement d’athlétisme du collège :-)

Certains vont se faire masser, moi je tente l’hydrojet. Bon c’est vrai que j’ai longuement hésité, j’adore les massages ! Vraiment, vraiment ! Mais l’hydrojet je n’en n’ai jamais fait, alors je me dis qu’il faut essayer. Allongée dans une pièce au calme sur un matelas d’eau qui vous masse des pieds à la tête, je passe un très bon moment.

Event Weleda / INSEP

Ensuite Sébastien me conseille vivement la Cryothérapie, "épreuve" dont je ne voulais pas entendre parler. Car oui pour moi passer 3 min à -110° en maillot de bain c’est une épreuve, chacun ses limites ! Mais il arrive à me convaincre (quel bagout ce Seb !) et je me lance ! Après tout, c'est le genre de choses qu'on ne fait qu'une fois dans sa vie :-)

Après m’être mise en maillot de bain et avoir revêtu les accessoires indispensables : bandeau pour protéger les oreilles et le front, masque pour la bouche, gants, grandes chaussettes et crocs, je fais moins la maligne en voyant mes prédécesseurs sortir de cette cabine congelée dans un état assez bizarre.

Du coup je flippe, mais bon on y va avec deux autres blogueuses et on se soutient psychologiquement. GO, on rentre dans une première cabine à -10°, une deuxième à -60° et enfin dans la troisième glaciale dans laquelle on va devoir rester 3 min.

Pour se motiver, on danse : Satisfaction à fond dans la cabine, on danse ! C'est surréaliste :-)

Après quelques autres découvertes, retour à la maison. Une bonne occasion de tester les différents soins Weleda de récupération : massage à l'huile d'Arnica pour les parties souffrantes (épaules, genoux) et au gel tonique au cuivre pour les jambes lourdes le lendemain !

Sophie CHEVALIER - sophie (at) desperatehouseman.fr

Bien moins affuté que Sophie (comme vous l'aurez compris), j'ai donc, de mon coté, opté pour l'option "sportifs en herbe". Autrement dit, yoga et stretching. J'ai bien pris soin néanmoins au préalable d'aller essayer la cryothérapie.
 

Je dois bien le dire : au delà du choc thermique, ces 3 minutes ont eu un coté surréaliste. Mes blessures complètement annihilées, j'ai pu danser comme si j'avais un corps de 20 ans de moins ! A fond sur du Stromae, je me suis éclaté pendant 3 minutes avec Marion et Ludivine.Une expérience... inoubliable :-)

Bref, ensuite, direction la salle de sport pour une séance stretching/relaxation avec Julie FERREZ. Une fois n'est pas coutume, me voilà encore le seul mec au milieu de toutes ces dames. Ce qui complique extrêmement la chose lorsque qu'il faut choisir son modèle corporel entre Madonna et Beyoncé #fail.

Cependant, là encore, je pleure : mon genou me fait trop mal pour tenter certaines positions, et c'est bien dommage. Je pleure une seconde fois quand je vois la souplesse de certaines comme Petits Canaillous par exemple !

La présentation de Julie FERREZ tient la route et est intéressante sur plusieurs aspects santé. J'ai donc pris de bonnes notes, si j'ai l'occasion un jour de revenir au sport.

Tout comme Sophie, et malgré mon moindre effort, j'use et j'abuse des crèmes Weleda depuis vendredi, avec une mention spéciale pour l'huile de récupération à l'Arnica.

En résumé, une belle après-midi dans un lieu mythique...

Event Weleda / INSEP

04/03/2014

Le goût, ça évolue !

J'ai eu l'occasion il y a quelques semaines de participer à un atelier culinaire d'éveil au goût, à l'initiative de Paroles de Maman et Blédina. Je ne vous cacherai pas que c'était au départ plus par curiosité et pour me préparer à l'arrivée de bébé n°2, que pour essayer d'avoir des idées ou des astuces pour faire manger ma fille.

Evènement Blédina

Car, comme Cécile de Parispagesblog l'a expliqué ici à travers un excellent article (attention le titre est trompeur :-), ma fille est comme la sienne : je n'ai jamais eu aucun souci coté nourriture. Elle mange de tout, beaucoup et très bien, a des goûts variés, goûte à tout, et j'avoue compter sur les doigts de la main les choses qu'elle n'aime pas. De plus, je suis aussi assez chanceux car elle préférera un fruit à un bonbon, des carottes ou du butternut à des frites... Bref, de ce coté là, nous sommes des parents comblés, je dois le reconnaitre, surtout quand j'entends/ je lis à quel point certains parents ont du mal à faire manger leurs enfants : je touche du bois !

Evènement Blédina

Par contre, si il y a une petite chose que je regrette, et que je voudrais améliorer avec bébé 2 (et avec ma fille accessoirement), c'est la variété des aliments que je lui fais/ferai gouter. Car comme je l'ai expliqué ici, le principal défaut des marques de petits pots (et c'est valable notamment pour les marques bio), c'est le manque de "diversification". En effet, la plupart du temps, on retrouve les légumes traditionnels, et sur le long terme, il devient difficile d'en changer.

Vous me répondrez surement que je n'ai qu'à aller au marché et utiliser mon superbe babycook pour cuisiner des fruits et légumes variés à ma fille ? Certes, mais non. Je ne suis pas assez à l'aise en cuisine pour me lancer dans ce type d'initiative, et surtout, le temps me manque. Pour ma fille et à l'heure actuelle en tout cas. On verra lorsque je serai en congé parental pour ma seconde.

Bref, difficile donc de trouver des légumes qui sortent de l'ordinaire cuisinés en petits pots, comme du Patidou par exemple, ou encore du Butternut.

  
 
Et c'est là que l'initiative de Blédina devient intéressante, car ils viennent de lancer, justement, une gamme de petits pots (pas bio certes, il faut le souligner), avec des légumes originaux. Idem au niveau des fruits, même si il est plus facile de trouver ces variétés en sucré.

Evènement Blédina

Evènement Blédina

Courges, butternut, panais, potiron, mangue... sont donc au programme de cette nouvelle gamme, avec un packaging différent, surement plus pratique pour le voyageur que je suis :-) Une initiative intéressante qui a le mérite d'accentuer l'importance qu'a une alimentation variée chez l'enfant, et ce, dès le plus jeune âge.

D'autres photos/recettes disponibles ici.

Pour découvrir l'ensemble de la nouvelle gamme, c'est par ici.

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