08/01/2010

Top of the Week : la nouvelle émission du best-of du Web !

Les émissions qui font le tour des meilleurs vidéos publiées sur le web sont nombreuses. Par contre, aucune d'entre elles n'avait encore pensé à mettre en vedette un présentateur pour les introduire au public internaute.

C'est donc le créneau qu'a décidé d'adopter le site "Top of the week". Et le nom du présentateur, je vous le donne en mille : Michel Vedette ! Ce nom ne vous dit rien ? Pourtant, ce professeur de danse à l’univers didactique et légèrement décalé a démocratisé « l’art du step » grâce à ses fameux cours de danses au Baron, haut lieu de la branchitude parisienne.

"Top of the week" donc, comme son nom l'indique, rassemble pour les "clikeurs" le meilleur des vidéos qui buzzent sur la toile. Un best-of hebdomadaire qui permettra aux fidèles de l'émission de passer un bon moment, et à certaines vidéos, d'obtenir, grâce à cette sélection, une mise en lumière inespérée, qui favorisera ainsi leur buzz.



Une manière drôle et ludique de se tenir au courant du meilleur de l’actu web de la semaine, que demander de plus ? Et bien, une danse par exemple ?

En effet, et c'est là le second plus de l'émission "Top of the week", Michel Vedette vous apprendra dans la foulée, et sur un thème en relation avec sa sélection, à réaliser une danse spécifique et thématique.

Chaque nouvel épisode est disponible dès le vendredi en exclusivité sur le portail SFR. Donc, n'hésitez pas à vous ruer dessus, un bon moyen d'apprendre de nouveaux pas de danse avant votre sortie nocturne du samedi soir :-)

15/12/2009

Florence Porcel : ça, c'est du CV !

Je n'ai pas résisté : article court, pour relayer cette vidéo qui buzz, d'un CV très, très original... Un peu à la mode Amélie Poulain en fait :-)


Souhaitons lui bonne chance, même si au vu du succès de la vidéo, cela semble inutile...

14/12/2009

Réparer son Alfa 147 en commençant par les phares !

C'est bien connu, entretenir sa voiture ça coute cher ! Et pour peu que ce soit une grosse voiture, comme une Alfa Roméo 147 par exemple, ça coute même extrêmement cher ! Alors, place à la débrouille et faisons ça nous même ! Ca tombe bien, j'ai une ampoule de cassé et un clignotant à changer, que j'ai eu la bonne idée de casser aussi... :-(

Clignotant Alfa Roméo 147

Donc, direction le net pour parcourir un peu tous les sites de vente de pièces en ligne, et les forums pour prendre les avis. A même analyse, même résultat : le meilleur et le moins cher semble bien être Oscaro.com (non, non, je précise, ce n'est pas un article sponsorisé).

En même temps, je l'avais déjà testé pour ma courroie de distribution avec succès : 220 euros de pièces, au lieu de 400 chez Alfa, une pièce erronée (ma faute !) renvoyée et remboursée sous 48 heures, avec un suivi en ligne impeccable.

Là, pas de souci pour l'ampoule, je trouve rapidement. Le clignotant, j'ai plus de doute... Du coup, je téléphone. Contact rapide, direct, réponse précise. Je commande, 30 euros le tout avec les frais de port ! 2 jours après, c'était monté. Bon, je vous cacherai pas que l'ampoule m'a pris 20 minutes là où le clignotant m'en a pris à peine 2... J'aurai plutôt cru l'inverse au départ pourtant... :-)

09/12/2009

L'ESCP Europe change de nom

L'ESCP Europe constitue simultanément une École de Management de haut niveau à l’échelle internationale et une institution européenne d’envergure. Fondée à Paris en 1819, elle a formé plusieurs générations de dirigeants et managers. Son nom est une histoire à lui seul et possède sa propre genèse, disponible sur le site de l'école. Mais le plus grand changement a eu lieu le 9 avril 2009...

Car lorsque l’on est une grande école de commerce en Europe, on se doit de le faire savoir et de l'inclure dans l'essence même de l'école, à savoir, son nom. Mais changer de nom est une tâche ardue et complexe.

C'est donc pour cela que l’ESCP Europe a tenu à impliquer ses étudiants dans cette campagne en les plaçant au cœur du projet, tant au niveau de la conception qu'au niveau de la figuration. Une vidéo a ainsi été réalisée sur le concept du "stop motion". Plus de 300 étudiants de l’école ont été mobilisés pour cette vidéo originale et novatrice qui n’a pas tardé à « buzzer » rapidement sur la toile. Une approche communicante novatrice et conceptuelle. Il fallait oser !

Le résultat est là, et le pari est plutôt réussi ! La preuve, avec LA vidéo, qui a tout de même nécessité 316 figurants, 658 t-shirts, 9m2 de carton plume, 4 198 photos, 125 mètres de gaffer (appareillage électrique) pour 3 645 repères marqués ! So, now, let’s start the movie :-)



27/11/2009

Butagaz fête les 40 ans de Bob !


Depuis 70 ans maintenant, la compagnie Butagaz est le leader en France du gaz butane et propane. Elle distribue notamment le GPL (Gaz de Pétrole Liquéfié) en bouteille, en citerne ou sous forme de carburant. Ces bouteilles sont assez connues du grand public, notamment grâce à Bob, l'ours bleu, petit personnage publicitaire sympathique qui accompagne la marque et sa politique marketing et publicitaure depuis 1969. Soit, tout juste 40 ans ! Un  anniversaire qu'il aut donc fêter dignement...


C'est pourquoi du 19 novembre au 20 décembre 2009, Butagaz invite tous les internautes fans du petit personnage (et de son histoire forcément !) à participer à un grand jeu-concours on-line sur butagaz.fr. L’heureux gagnant(e) se verra offrir un an de factures d'énergies, qui comprennent, outre le gaz évidemment, l'essence, l'électricité, le fioul... Les 200 suivants ne seront pas en reste pour autant, car ils recevront la peluche de Bob : un cadeau "nostalgique" pour tous ceux qui ont grandi avec cette sympathique mascotte.

Tout le monde peut participer et tenter sa chance ! Il suffit juste de se connecter à l’espace dédié sur le site (http://anniversairedebob.butagaz.fr) et de jouer aux 4 jeux proposés dans un univers de fête d’anniversaire. Dans chacun des jeux, l’internaute teste son adresse pour viser des cibles (Canon Bob), taper sur des Bobs espiègles (Tape-un-bob), collecter des bouteilles de VISEO (Les ballons de Bob) ou encore rattraper des saucisses au vol (le BBQ de Bob). On n’oublie pas non plus sa photo souvenir avec Bob que l’on peut prendre grâce au Bob-o-maton.


Un bien beau cadeau donc, en cette période de crise et de morosité, qui se cumule avec l'hiver approchant. L'idée est originale, et ne manquera pas de mettre en exergue, une fois de plus, à l'approche du sommet de Copenhague, la question inéluctable des économies d'énergie.

Article sponsorisé

25/11/2009

Interview de Elisabeth DUDA, actrice franco-polonaise, héroïne de "Misja Krakow"

Je vous parlais il y a peu de temps du podcast de Misja Krakow, excellente émission de fiction éducative pour apprendre une langue, coproduite notamment par RFI (Radio France International). Curieux d'en savoir plus, j'ai réussi à entrer en contact avec Elisabeth DUDA, actrice franco-polonaise, qui jouait le rôle de Susanna dans cette émission. Mais avec cette jeune femme, il est impossible de se contenter d’une seule phrase :-)

Née en France mais d’origine polonaise, Elisabeth DUDA est un savoureux mélange de ce qu'il y a de meilleur à prendre dans les 2 cultures : belle, talentueuse et passionnée, aussi à l'aise en polonais qu'en français. La preuve en est avec son parcours universitaire, puisqu'elle a intégré l'école de cinéma de Łódź, pour en ressoortir, 4 ans plus tard, première diplômée « étrangère » de cette faculté.

Elisabeth Duda

Sa biographie est impressionnante. Son site officiel vous en donnera un aperçu assez large, à vous faire tourner la tête ! Mais attaquons le vif du sujet...


Moi : Bonjour Elisabeth. Tout d'abord, merci d'avoir accepté de répondre à mes questions. Ma première sera toute simple : comment avez-vous été contacté pour le projet Misja Krakow ?

Elisabeth : C’est Agnieszka Drewno qui était Productrice déléguée de Misja Kraków qui m’a proposé de participer au casting pour le rôle principal. On avait déjà travaillé ensemble sur différents projets en Pologne, mais toujours dans la langue de Mickiewicz plutôt que dans celle de Molière.

Moi : Étiez vous seule en liste ou avez vous du être "castée" ? Si vous étiez plusieurs, combien? Qu'est ce qui, selon vous, a fait que vous avez emporté le rôle ?

Elisabeth : Je vous avoue franchement que je ne sais pas combien nous étions en liste lors du casting. J’étais tellement enthousiaste d’avoir emporté le rôle de Susanna que je me suis mise au travail sans attendre. J’ai posé de nombreuses questions a Lidwien (Coordinatrice de Mission Europe et Productrice déléguée de Mission Paris) à propos de l’interprétation qu’elle attendait. J’ai appris bien après la fin des enregistrements que nous étions très nombreux à vouloir participer à Mission Europe.

Elisabeth Duda

Moi : Qu'avez vous pensé du projet au premier abord ?

Elisabeth : J’ai trouvé l’idée unique. Une « édufiction » qui consistait à apprendre le polonais aux Francais et pour cela prendre le pretexte d’une mission pour sauver la Pologne: génial ! Il n’y avait rien à réfléchir, d’autant plus que mes racines polonaises me disaient : fonces, c’est emballant! L’auditeur va être embarqué dans un jeu de pistes et plongé dans l’environnement sonore de cette langue si particuliere. L’aventure est au rendez-vous !

Moi : Vous avez plusieurs interlocuteurs durant votre aventure : avez vous facilement pu collaboré avec chacun d'entre eux ?

Elisabeth : Bienvenue dans le monde magique de la radio ! Je n’en ai rencontré AUCUN. Bien sûr, je ne prends pas en compte le rôle de Michal, interprété par Tomasz Bialkowski. Sa présence était obligatoire! Et puis, nous nous sommes tout de suite entendus, surtout quand nous avons découvert que nous étions diplômés de la même école de cinéma, celle de Łódź, en Pologne. J’ai découvert le reste des interlocuteurs après le montage. Il faut dire que Jean-Pierre Chevillard qui était responsable de toute la partie technique est un amoureux de son métier et un vrai professionnel. C’est aussi grâce à lui que le dialogue s’écoute et s’écoule harmonieusement.


Moi : Qu'avez vous pensé de certaines parties du scénario qui sont difficiles à appréhender (comme le coté magique de l'aventure), ou plus rocambolesque (comme le fait de tomber amoureuse de Michal après seulement 2 heures) ? :-)

Elisabeth : Je me suis volontiers prêté au jeu du rôle de Suzanna. Elle devait être tout à la fois dynamique, entreprenante, émancipée, parfois presque « guerrière » dans sa détermination à survivre et dans celle à se débrouiller dans la langue polonaise ; mais il fallait également la trouver extrêmement féminine, douce, un peu naïve avec une pointe de romantisme non encore exploité… J’avoue que nous nous régalés à travailler avec l’équipe. En particulier j’ai pris du plaisir à jouer avec Tomasz, qui a ce « truc en plus » : il a cette chaleur dans la voix qui donne envie de jouer chaque mot lu. Pendant les enregistrements, nous jouions réellement et entièrement malgré la présence des microphones. Nos pauses, nos regards complices facilitaient la création d’une réelle intimité entre les personnages de Michal et de Suzanna. Je me souviens qu’après avoir joué la scène rocambolesque dont vous parlez, Lidwien a suggéré qu’il serait bon de faire une petite pause-café… pour revenir sur terre…


Moi : Combien de temps ce projet vous a-t-il pris ?

Elisabeth : Nous avons travaillé une semaine. Une semaine qui a passé extrêmement vite. Je ne me suis pas rendu compte du temps qui passait, ce qui est rare dans une carrière de comédienne. L‘atmosphère était tout simplement agréable, l’ambiance détendue et l’environnement de travail très sain. De fait, ces 5 jours sont passés à en un clin d’oeil. Vous savez, c’est le genre de projet dont vous pressentez par avance le succès qu’il va avoir. Si seulement cela pouvait être le cas sur chaque projet auquel je participe… :-)


Moi : Où se sont déroulés les enregistrements ?

Elisabeth : Dans les locaux de RFi, 116 avenue du Président Kennedy à Paris. Je me souviens être arrivée en retard lors de la première journée d’enregistrement à cause du dédale d’ascenseurs qui mène aux studios. Autant que je me souvienne, il y en a 4, éparpillés aux 4 coins du monde : l’ascenseur baptisé « Londres », le « Paris », le « Tokyo » et le « New York ». Ensuite, arrivée au dixième étage telle Thésée, je n’étais pas au bout de mes peines. Heureusement, l’accueil est hospitalier à tous les étages: dans tous bureaux où je suis entrée pour demander mon chemin, on m’a répondu avec le sourire et orientée au bon endroit, à croire que chaque nouveau venu fait les mêmes erreurs !

Elisabeth Duda

Moi : Envisagez vous une suite à ce projet personnellement, ou avec les radios partenaires ?

Elisabeth : C’est une évidence : j’adorerais participer à une suite! Je ne connais pas d’émission de radio éducative de ce type aussi réussie. Croisez les doigts …
Aussi dois-je reconnaître que travailler à la radio est un rêve depuis le début de mes études de cinéma et de Théâtre à l’Ecole de Łódź. Je trouve l’ambiance plus sympathique qu’à la télévision qui est un média plus cru dans les rapports humains.



Moi : Avez vous eu des retours sur le succès de l'émission ?

Elisabeth : J’ai appris par le communiqué de presse du 3 juillet 2007 que m’a envoyé Lidwien que Radio France Internationale, Deutsche Welle et Polskie Radio avaient reçu la médaille d’argent pour leur coproduction européenne « Mission Europe », dans la catégorie meilleur programme radio éducatif aux « Radio Broadcasting awards » de New York. Depuis 50 ans cette distinction récompense les meilleures productions sonores. Elle est considérée par certains comme « les Oscars de la radio ».
Cependant, je sais également d’après les taux d’audience que Mission Krakow a un véritable succès auprès des auditeurs. On dit que c’est l’une des plus réussies : les auditeurs ont bien raison et du goût, en plus ! Et Vous ? Vous en pensez quoi ?


Moi : Personnellement, j'ai adoré, je suis fan, j'ai même progressé en polonais ! :-)
Merci en tout cas de votre temps et bon courage dans la suite de vos projets.
Et félicitations pour votre nouveau site : www.elisabethduda.com

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